La question du film

L’expérience, c’est bien connu donne à réfléchir, surtout quand le jugement est question de survie. Mais quand le contact avec les autres devient impossible, sur quoi débouche-t-elle ? À quoi tient notre humanité ? That is the question dans cet article…

 

« Pour cela, avec le scénariste Akiva Goldsman (A Beautiful Mind, The DaVinci Code) et le réalisateur Francis Lawrence, il a rencontré et longuement parlé à d'anciens prisonniers de guerre qui avaient été séquestrés et gardés en isolement pendant longtemps. Un point revenait tout le temps dans leur discours, une manière d'art de la solitude : l'emploi du temps. Se créer un horaire, une routine.

«Même pour se curer les ongles. C'est la seule manière de rester sain d'esprit et c'est ce que nous avons essayé d'installer au début du film», ait Will Smith qui, dans ces scènes d'ouverture-là, se livre aussi à pas mal de «monodialogues». «Quand vous n'avez pas de stimulus extérieur, vous en arrivez à perdre des concepts de base. Un gars nous racontait qu'il avait passé quatre heures à se regarder la main avant de se rappeler le mot doigt.»

 

Lire la critique intégralement

La clémentine

 Le père Clément, j'ai bien envie de connaître son histoire. Vous également ? Cliquez ici 

"Vous connaissez tous le Père Noël. Certains, comme moi par exemple, y croient encore. Mais connaissez-vous le Père Clément ? C’est le papa de la petite Clémentine. C’est à lui en effet que l’on doit ces merveilleuses petites boules couleur orange, qui foisonnent partout en ce moment dans nos rues et nos souks, et qu’on pendrait bien, en ces fêtes de fin d’année, à un arbre de Noël. Sauf qu’elles sont trop délicieuses pour les laisser sécher aux branches d’un sapin enrubanné"

Le chemin

Aujourd’hui Pierrot vient à la maison. Je vais lui proposer le CD de Diana Krall. J’ai supputé son style de musique d’un coup d’œil à la photo de la pochette. Et j’ai fait mouche en ce qui concerne Patrick, moi-même et probablement Pierrot qui aime surtout la musique british. Chaque fois qu’il vient, j’ai un petit trac qui passe en général au cours de sa visite. Quand j’étais enceinte de lui, j’ai souvent pensé : je me fous qu’il soit beau ou non, c’est son bonheur qui est important. Physiquement, il n’a pas à se plaindre, mais il a du mal à être heureux dans la parcours chaotique de sa vie.

Les chats s’aperçoivent de sa venue à certaines de nos attitudes et ont le regard grave. À demain.