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15/01/2022

La vie spirituelle à l'heure du numérique

C'est ici :

http://www.belgicatho.be/

 

 

04/01/2022

Lu ce soir ♣ Le don de crainte

Sur la misère, et la rédemption malgré les visions cauchemardesques.

 

Extrait de la chronique :

 

"Pourtant, cette vie de dèche, de galères, de pauvreté voire de franche misère et de folie, résumée dans une vision englobant les morts et les vivants d'une même famille ou même d'une commune lignée sous un unique paletot de décadence et de crasse sordides (cf. pp. 151 et 174), est supérieurement précieuse car, comme l'écrit McCarthy, «un homme c'est tous les hommes» (p. 554), ou, plus loin, parce qu'il n'existe en fait «qu'un seul et unique Suttree» (p. 607). Ainsi, les multiples aventures picaresques de Cornelius Suttree tracent la trajectoire d'un bolide traversant le ciel et qui se désagrègerait en tombant sur une terre polluée, vaine, qu'il semble désormais impossible non pas même de sauver mais de tenter d'assainir, colonisée qu'elle est par la démesure des villes modernes, la fallacieuse solidité de milliers de villes construites «en dehors de tout modèle connu, architecture bâtarde, catalogue des œuvres humaines, condensé d'aberration, de désordre, de folie» (p. 8, l'auteur souligne)." 

 

La chronique intégrale :

https://www.juanasensio.com/archive/2021/03/21/suttree-de...

 

 

Monde terrible dont parle le livre en question, monde qui est un  "condensé d'aberration, de désordre, de folie". Le Miserere parle de repentir, pour un monde de nouveau beau et pur :

 

https://youtu.be/fcWo1hKHu40

 

 

 

Le don de crainte, ici :

 

https://youtu.be/mDPX1pgGjJw

22/12/2021

Présent dans sa Parole ♣ Luc-Olivier... présent dans sa parole

Sur le site Hosana : ici

 

 

Luc-Olivier, extrait  :

 

"La vanité moderne, son subjectivisme, ses sentiments (qui composent ce qu'il croit être lui-même) lui interdisent de se concevoir comme le véhicule d'une vérité ou d'une beauté qui le dépasse. Il reste ainsi sur place dans un immobilisme terrifiant et terrifié dont son "bougisme" est l'expression la plus immédiate. Mondialisation: règne du touriste dont le mouvement perpétuel équivaut à ne jamais sortir de lui-même. D'un "lui-même" amas sentimental auquel il est attaché sentimentalement, c'est-à-dire avec la cruauté infinie, subie et infligée, du supplice de Tantale"

 

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