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19/04/2009

Grégaire contre grégaire

Drôle de film qui se joue en France, à beaucoup de niveaux. Dissensions multiples, les intérêts communs semblent voler en éclats. C’est ainsi que l’on peut se retrouver "pris à parti" dans un autobus. Un peu comme si le consumérisme exacerbé de groupes de consommateurs insatisfaits ne s’adressait plus aux pouvoirs publics, non plus à l’industrie alimentaire, et se mettait à agresser le premier quidam venu, ayant l’air un peu isolé sur les bords, condition idéale semble-t-il pour les passages à tabac musclé. Faute de savoir se faire entendre, ces groupes se défoulent donc. Basculement dans le grégaire, et même parfois dans le - grégaire contre grégaire - film qui fait pleurer les enfants, et toutes les personnes isolées. Car dans cette conjecture ils se savent potentiellement candidats bien malgré eux pour le prochain « règlement de comptes » des accros de la société de consommation qui leur feront "essuyer les plâtres", une de leur expressions favorites.

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08/04/2009

Mot du jour

Lisant cet article de La Voix du Nord, je tombe sur sybarite, un mot finalement assez peu employé dans la bouche de nos contemporains. Mais le maire d’Hénin-Beaumont a eu droit à un sybarite, nom commun (du point de vue grammatical), accompagné de l’adjectif désinvolte.

À l’heure où l’on commence enfin à se préoccuper sérieusement de la planète et du droit au bien être de tout un chacun, (tout au moins au mieux être), le sybaritisme tend à se démoder au point que j’en avais oublié l'existence de ces mots (sybaritisme compris). Vous trouverez l'expression désinvolte sybarite, aussi délicieuse qu'un œuf de Pâques, dans cet article, pour peu que vous cliquiez sur La Voix du Nord, détectives en herbe.

 

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21/03/2009

Lectures

Librairie hier, où je me suis procuré, « Les grecs et nous » de Marcel Detienne, deux cent vingt pages à contre-courant des idées reçues d’après la post face. (J’en commence la lecture tout à l’heure) et Bibliothèque municipale où sans le chercher j‘ai trouvé « Contes Derviches » de Idries Shah. J’en ai déjà lu trois, dont un que j’ai mis en ligne hier soir. Comme vous le constaterez, c’est beaucoup plus que de la littérature ordinaire, il s’agit de poésie-enseignement. Avec ces deux bouquins, et mon entourage félin, impossible de m’ennuyer ce week-end. J’en espère de même pour vous.

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