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01/06/2018

Le cobra sans les bras

 

La posture du cobra, avec Maryse, qui apprend à corriger cette posture du cobra à de très nombreuses personnes. Avant, ne la "sentant pas", je ne la faisais pas. J'ai dû l'essayer une fois ou deux grand maximum, car il me semblait bien qu'au niveau du cou et du bas du dos, il y avait comme un problème. Avec Maryse tout s'éclaire,  faire le cobra devient bienfaisant  :

 

https://youtu.be/21dX91AlYbw

 

Je continue avec cette séance de yoga formidable dans sa simplicité et sa profondeur :

 

https://youtu.be/cBJbwju0alw

23:07 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)

Respect ♣♣♣ Marie Trintignant et son père - Xavier Cantat

 

Respect est le mot qui m'est venu en premier concernant la personne d'Andreï Makine. Il est né en 1957 et a connu, à travers les récits,  (parfois faits de bribes de conversations mises bout à bout), de ses parents adoptifs  et de sa grand-mère, des expériences de vie qu'il a faites siennes ou intégrées, vécues presque dans sa chair par le biais de sa sensibilité,  et cela l'a grandi.

 

Pour "faire sien" ou intégrer, par exemple, comme s'il l'avait lui-même enduré et par certains côtés commis, le viol dont a été victime une grand-mère à l'époque où elle était une jeune femme, il est passé par ce profond respect qu'il porte à la personne en question, sa grand-mère, respect que l'on peut traduire par le mot amour ; lequel est une réponse à celui que lui donne cette personne, véritable  passeport pour se construire.  Il est la base et va permettre à Andreï Makine de pouvoir se mettre en quête d'un espace qui va s'oxygéner par la rencontre du vivant en lui et du vivant chez les autres.

 

Il se rencontre et se rend compte.

 

Andreï Makine rencontre par exemple sa propre sensualité quand ses hormones commencent à le travailler à l'âge de l'adolescence ; il dompte ce "quelque chose d'animal" grâce à cet amour que sa grand-mère à éveillé en lui et qui le conduit à respecter les femmes.

D'autre part, il s'est frotté aux réalités de ses contemporains. Le respect des uns pour les autres dans le contexte où il s'est trouvé, existait peu car ce contexte était fait principalement de l'angoisse existentielle d'hommes politiques exerçant d'énormes abus de pouvoir  provoquant la mort de ceux qui dérangeaient. L'intolérance ou l'irrespect de l'autre  est cause de difficultés  pour  construire son propre espace de respiration.

 

Andreï Makine est un être aimant, de cet amour respectueux,  et c'est ce qui l'a sauvé du désespoir qui n'en finissait pas de le tarauder à une période difficile de sa vie. Je me base sur deux livres que j'ai lus de lui pour parler de lui en ces termes, le deuxième s'intitulant Le testament français. 

La grand-mère dont il question dans le livre a construit son univers en puisant dans la poésie française, ne rejetant pas parmi tous les poètes, celui qui a terminé sa vie dans un certain déséquilibre... je pense à Gérard de Nerval. Pour se trouver elle-même en sa jeunesse, elle s'est approprié le sublime qui se dégageait de la langue de ces poètes français et françaises,  et a transmis ce sublime à notre cher Andreï Makine... sublime qui prend sa source je le rappelle dans l'amour et le respect que ces poètes incarnent dans leur verbe. La poésie française en héritage ou l'Amour ! Et il en fallait pour surmonter toutes les épreuves qu'ont dû surmonter cette femme, son petit fils et toute leur famille ! 

 

"There was a child went forth every day,
And the first object he looked upon and received with wonder or pity or love or dread, that object he became,
And that object became part of him for the day or a certain part of the day . . . . or for many years or stretching cycles of years.

 

Il était un enfant qui allait de l'avant chaque jour,

La première chose sur laquelle il posait le regard, il la recevait avec émerveillement ou pitié ou effroi, si bien qu'il devenait cette chose.

Et cette chose devenait une part de lui durant la journée ou un certain temps de la journée.... ou durant de nombreuses années, ou elle se prolongeait sur des années."

 

La berceuse n'endort pas, elle éveille à un autre état de conscience.

 

Cette dernière phrase est de moi, si vous tenez à savoir de qui c'est, et constituait mon commentaire. L'auteur du poème :

 

 

https://www.poets.org/poetsorg/poem/there-was-child-went-...

 

 

                                                   ♣♣♣

 

Ici :

 

https://youtu.be/n1X4TfeZ-iU

 

Ici :

 

https://youtu.be/Y4Em3Vfq9pI

 

 

 

 

 

13:42 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

31/05/2018

Photos de ce matin et la deuxième ainsi que la troisième sont d'hier soir ♣♣♣ Frisson musical

 

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La journée de ce 31 mai 2018 commença ainsi pour Yoko !

 

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Passé double. Un thriller qui donne grandement à réfléchir sur les tenants et les aboutissants de certaines réalités sociétales.

 

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Le moral est bon, les yeux sont plus ouverts.

 

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 Yoko se rend... au rez-de-chaussée.

 

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Le revoilà ?

 

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Ceci n'est pas une poule.

 

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Passé double vient de paraître. C'est un thriller qui donne la chair de poule.

 

♣♣♣

 

Frisson musical :

http://citerahiadesgenettes.hautetfort.com/