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23/04/2019

Vu hier soir à la télé

Vu hier soir, le polar style fantaisie sur la deux, avec la grande et belle secrétaire blonde amoureuse de son boss, pince sans rire, tous les deux d'un autre siècle mais s'entendant très bien avec la moderne journaliste tout de jean vêtue, comme une Perrette au pot au lait moderne .J'ai aussi appris à apprécier la personnalité de la personne qui joue le capitaine Marleau, mais ce capitaine est l'anti-thèse des personnages de la série polar sur la Deux. C'est étrange en somme de se détendre tout en traitant de choses graves, comme le crime. Comme si la dose de folie douce des personnages, propre à charmer et détendre l'entourage, dans une vie réelle, leur servirait de médicament pour supporter tout ça. Le boss oppose à la violence du contexte, d'être amoureux en sourdine, de façon ultra discrète et un peu dans le déni, de la secrétaire qui vit elle, sur le mode d'une constante déraison, dosée et charmante. La journaliste déboule sur leurs plates bandes et ils sont les premiers à en être contents. C'est sublime cette façon de supporter les crimes qui s'égrènent autour d'eux.

Le capitaine Marleau a une autre façon de délirer face au réel, plus brut de décoffrage, à l'emporte-pièce, comme un mère courage qui va au taff.

 

Il en faut en effet, du courage pour affronter le réel quand il est si dur... et des déguisements aussi comme on peut le constater, pour ne pas se laisser happer par la laideur du monde criminel.

 

Et puis, qu'ai-je vu encore à la télé ? Colette, l'écrivain. À mon humble avis elle joua un personnage aussi, pour supporter son énorme libido. Si colossale qu'il fallait ruser aussi avec elle, ce genre de libido, je veux dire.

Elle a fait ce qu'elle a pu. Je sais qu'elle a écrit magistralement bien sur les animaux, donc si elle les aimait tant, elle n'était pas une mauvaise personne.

 

What else about the TV ?

Hier soir je l'ai trouvée intéressante.

07:27 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

22/04/2019

La série ♣♣♣ Découverte de la vie d'Élisabeth Leseur

La télé ne m'a pas manqué pendant trois mois, et depuis quelques jours je la regarde un peu à nouveau.

 

Qu'y ai-je vu ?

Trois épisodes sur France trois d'une histoire qui tourne autour d'une jeune fille disparue plus de quinze ans plus tôt au moment de l'action.

Vu le jeune âge de sa sœur jumelle il faudrait supposer que la jeune fille assassinée faisait le ménage pour des particuliers à l'âge de 13 ans environ, dans un pays occidental où le droit du travail applique ses règles depuis un bon moment. Erreur chronologique et un peu d'invraisemblance quand on prête une mémoire d'éléphant à des gens, capables de fournir un emploi du temps précis d'une journée de réveillon très lointaine, mais l'histoire met en scène des personnages poignants de vérité au niveau des tourments qui les habitent  ; on s'arrange donc avec ce qui devient des détails quant au reste.

 

C'est une histoire qui parle de l'amour d'une sœur et d'une mère pour la victime dont les vestiges du corps viennent d'être retrouvés par la police.

Le chagrin  a terrassé la mère.

C'est le rappel d'une réalité de tant d'amour chez des gens du quotidien, menant de "petites vies ordinaires", amour rimant va avec profondeur et sincérité.

On n'est pas dans le monde du fétichisme et de l'idolâtrie, mais dans le monde de gens ordinaires capables d'extraordinaire les uns envers les autres par les liens qu'ils ont su tisser entre eux.

Bravo à ces acteurs qui ont transmis ce message, propre à faire renaître à elle-même une personne qui s'égarerait dans des problèmes d'ego, à la guérir des mensonges qui servent à entretenir l'ego.   

 

Comment s'appelle cette série dont trois premiers épisodes sont passés sur la trois hier soir ? Il va falloir que j'aille m'informer de cela car je me suis branchée sur la chaîne au hasard, le premier épisode venait juste de commencer.  

 

♣♣♣

 

Un chemin de sainteté :

 

http://www.op.org/fr/content/elisabeth-leseur-un-chemin-unique-de-saintete

07:56 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

20/04/2019

"L'affreux" doute ♣♣♣ Marie

J'ai relu mon post précédent quand un doute "affreux" s'est emparé de mon esprit jusque là tranquille. Je me suis souvenue ou je me suis souvenu ? Le participe passé prend-il un -u- ou un -ue- ?

 

Je suis allée vérifier. Je ne m'étais pas trompée, et c'était finalement pas logique de l'avoir écrit comme cela, après coup, étant donné que je n'avais plus la règle en tête . D'après l'article du Figaro sur le sujet (le premier qui traitait de la question du souvenir au participe passé avec un sujet féminin sur ce moteur de recherche), au féminin, c'est bien -ue-

 

Pourtant c'est pronominal.  Avec la nuance significative : "Je souviens moi de quelque chose", et pas  "je souviens à moi de quelque chose" (COI en ce cas incorrect).

 

Le charabia comme moyen mnémotechnique :

 souvenir moi de ceci ?

 

Charabia mnémotechnique à la noix car "se souvenir soi" ne peut pas se dire. Voici donc la règle à se remettre en tête :

 

 

♣♣♣

 

Marie se souvient par la voix de Maria Valtorta :

 

https://valtorta.fr/passion-et-mort-de-jesus/la-lamentation-de-la-vierge.html#vision-612.7

 

Lien que je vous laisse ouvrir vous-même si vous le désirez.

 

 

10:40 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)