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24/01/2019

Le Pouvoir ♣♣♣ Voilà l'accent parisien !

 

He who has great power should use it lightly.

~ Seneca

 

Celui qui a beaucoup de pouvoir doit l'utiliser sans peser, légèrement.

 

L'homme débordant sur ses prérogatives assez souvent qui plus est, le contre pouvoir est donc essentiel en politique, jusque dans n'importe quels microcosmes, afin d'éviter les abus. Cela va de soi et pourtant dès que c'est possible d'aucuns ne demandent qu'à abuser, il faut donc le rappeler souvent. Les gendarmes, eux aussi, pour prendre un exemple, ont besoin de "contre gendarmes" parfois. Même dans l'entre soi, où l'on a besoin parfois d'un œil extérieur. Il faut doser cela dit, car il ne faut pas non plus de surveillance maniaque, qui ressort à nouveau de l'abus de pouvoir.

 

                                           ♣♣♣

À l'écoute d'un authentique accent parisien. Qui plus est ce qu'il dit est "Oui, c'est vrai." Du même coup, l'envie de le ménager fortement dans la critique, ne surtout pas l'accabler,  et même de le trouver de plus en plus sympathique me vient.

Écoutons (ou lisons sur les lèvres ou en anglais !):

 

 

 

 

 

08:42 Publié dans Lecture, Note | Lien permanent | Commentaires (0)

20/01/2019

Pourquoi la violence ? ♣♣♣ Une des violences cachées

 

On raconte que Hitler pouvait se montrer "très bien élevé", le gendre parfait, buvant le thé et devisant avec humour, dès lors qu'il se trouvait dans la compagnie qu'il adoubait ; la grande Histoire raconte que ceux qu'il n'aimait pas n'ont pas eu droit à la moindre élégance de sa part. Les chambres à gaz ont vraiment existé.

Ado je disais un jour à un professeur d'histoire géo que la politique ne m'intéressait pas. La politique ne t'intéresse pas Léturgie ? Mais tu verras que la politique va s'intéresser à toi, que tu le veuilles ou non.

 

Vous payez votre loyer, ne faites de mal à personne et pourtant, un jour, des politiques peuvent vous déporter. Soyez déjà contents si vous n'êtes pas gazés.

 

Mais mourir dans la rue c'est aussi une forme de mort en chambre à gaz.

 

C'est pourquoi, je trouve que cette violence des gilets jaunes n'est en fait qu'une défense. Une légitime défense certes maladroite. Il ne faut pas imiter les bourreaux. La consolation est bien sûr la prière au Christ pour moi,

et aussi de "danser" avec eux par exemple, en écoutant la musique de cette vidéo d'une douceur revigorante :

 

 

                                          ♣♣♣

 

Une des violences cachées ; la guerre "organisée" ? par des gens conscients ou pas, mais qui ont de quoi bien vivre, entre les gens dans la précarité.

Chacun sait que désormais en France des enfants vont à l'école sans avoir pris de petit déjeuner parce que le frigo est vide chez eux ; par ailleurs on voit le nombre croissant de SDF. Il nous revient aussi aux oreilles d'étranges choses. Par exemple, en région parisienne, une femme, a bien voulu rapporter la presse, a accouché dehors, à la porte d'un hôpital qui n'avait pas voulu faire son admission. Il y a quelques années de cela, pas si lointaines, deux ou trois ans. L'enfant ne s'en est pas remis, il est mort très vite.

Par ailleurs, des bobos organisent des jeux et avec la cagnotte, ils vont donner à manger à des pauvres, en Afrique. Comme si les politiques de là-bas étaient incapables de s'occuper de leurs citoyens avec justice, alors qu'eux, si : en France tout le monde mange à sa faim, selon eux.

 

Sur le site Marie de Nazareth, une parole que l'on n'a pas l'habitude d'entendre, où il est question aussi de violences dont cette fois, les gens ont rarement conscience à ce qu'il me semble, se croyant même "du bon côté de l'histoire" et donc, insultant copieusement leurs opposants pacifistes. Ici :

 

"L’objection de conscience est un droit humain fondamental.

 

Curieusement, c’est au « pays des droits de l’homme » qu’il est le plus vigoureusement attaqué dès qu’il s’agit d’avortement ou de bioéthique. On vient encore de le vérifier avec le véritable lynchage médiatique dont est victime, de la part de son propre camp, la députée LREM de l’Oise Agnès Thill. Motif : elle s’est courageusement élevée contre la partialité du rapport de la mission d’information sur la révision de la loi bioéthique. « Ce rapport aurait pu être écrit d’avance », proteste-t-elle. Au mépris des principes protecteurs de la bioéthique française réaffirmés au cours des consultations, ce rapport ouvre en effet la porte à toutes les transgressions (extension de la PMA, création d’embryons transgéniques, FIV post mortem, aggravation de l’eugénisme par la traque du handicap, pression sur les personnes en fin de vie pour obtenir des organes…). En retour de son opposition à la « PMA pour toutes », Agnès Thill est qualifiée d’« homophobe » entre autres gracieusetés, et menacée d’expulsion de LREM."

Site Marie de Nazareth

 

Comment :

LRME, c'est la République en Marche... c'est bizarre ! Sauf si l'on ajoute "arrière". Arrière comme rétro, que l'on trouve dans "Vade retro satanas. "

 

 

 

 

 

 

 

 

12:27 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

14/01/2019

Retour de l'ordinateur ♣♣♣ Méditation

 

Assouplissement de la colonne vertébrale :

 

https://youtu.be/bXz9ZSVlSKo

 

                                                         ♣♣♣

 

Méditation avec les carmes :

 

"La première chose que Jésus a proclamée au début de son ministère est une parole d'espérance : " Les temps sont accomplis, le Règne de Dieu est tout proche", les temps sont accomplis, ceux dont Dieu gardait le secret. Et parce que Dieu a jugé que le monde avait suffisamment mûri, son Règne est là, parmi les hommes, en son Fils, Jésus de Nazareth.

En réponse à cette avance inouïe que Dieu nous fait en son Fils, que nous demande-t-il ? Deux choses indissociables : la conversion et la foi : "convertissez-vous""croyez à la bonne nouvelle", croyez à l'espérance.

La conversion et la foi : impossible de vivre l'une sans l'autre. Si nous nous convertissons, si nous tournons le dos à nos idoles, c'est pour donner notre foi à Jésus-Christ ; et inversement, venir à Jésus-Christ, c'est accueillir un amour qui nous transforme, et c'est cela, la conversion.

Puisque le temps se fait court, puisque déjà, dans le Christ, nous touchons au port, notre rapport aux choses se présente autrement : "Que ceux qui achètent soient comme s'ils ne possédaient pas ; que ceux qui tirent profit de ce monde, comme s'ils n'en profitaient pas vraiment".

Là encore, il n'est pas question de déprécier le travail d'un homme ni de dévaloriser sa compétence, mais simplement – et c'est tout un programme – de ne pas s'aliéner dans les choses, les choses possédées comme les choses à faire.

Le but est que le travail et l'usage de ce monde redeviennent un service de Dieu et de l'homme, et une attente active de la venue du Maître.

Puisque le temps se fait court et que chaque jour la vie éternelle est à portée de notre foi, notre propre cœur peut jeter l'ancre dans le monde de Dieu où Jésus est entré : "Que ceux qui pleurent soient comme s'ils ne pleuraient pas, ceux qui se réjouissent comme s'ils ne se réjouissaient pas".

Certes, il faut rire et chanter, demeurer jeune avec les jeunes ; certes, il faut compatir et ne pas se cuirasser contre le chagrin. Le but réel n'est pas de se déshumaniser par une sorte d'indifférence à la douleur et à la joie, mais de replacer toute joie et toute souffrance sur l'axe de l'espérance chrétienne, car "elle passe, elle est en train de passer, la figure de ce monde".

On peut suivre Jésus de bien des manières. On peut le suivre seul, on peut le suivre avec femme et enfants, avec mari et famille. On peut le suivre dès sa jeunesse, ou dans la longue patience de la vie monastique. C'est toujours le service du même Seigneur, l'épanouissement de la même foi, de l'unique baptême.

Jésus passe à toute heure de la vie au bord du lac de notre histoire personnelle, familiale, communautaire. Dans un instant, présent en nous par son Eucharistie, il nous fera réentendre l'appel du premier jour, et en silence, dans notre cœur, nous nous lèverons pour le suivre."

 

                                                  ♣♣♣

Dehors des oiseaux chantent comme si déjà le printemps arrivait. Ils ont repéré l'allongement des jours et s'en réjouissent. Les oiseaux célèbrent la lumière comme une première nourriture.

 

Je retiens ce que disent les Carmes avec Jésus : ne pas s'aliéner dans les choses.

Pas d'indifférence pour autant, mais rester libre.

Je pense que jésus apprécie cet apprivoisement du corps :

J'écoute et je fais les mouvements. Comme danser en écoutant la musique et faire du bien au corps et à l'esprit. La plus belle gymnastique que je connaisse :

https://youtu.be/xBoCrEswHvQ

08:37 Publié dans Lecture, Note | Lien permanent | Commentaires (0)