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14/05/2019

Le cheminement vers la non souffrance sacrificielle des animaux et des humains

 

Je me souviens d'une parole de Jésus disant qu'il se trouve notamment dans le mendiant, ou toute personne souffrante, or Jésus durant sa vie terrestre était bien portant, doublé d'un guérisseur.

Si le mendiant en appelle à quelque chose en nous qui est le contraire de l'égoïsme,  depuis le temps on aurait dû faire bien plus que tendre la main au mendiant. Plus personne ne devrait avoir à mendier du fait de l'évolution de l'humanité  dans le bon sens.

 

Les animaux sont encore maltraités, peut-être plus qu'avant, il ne faut donc pas s'étonner qu'il y ait encore des gens sans toit, qui mangent mal etc. La maltraitance des animaux que l'on appelle de boucherie, dénote une mentalité qui permet l'émergence d'une grande pauvreté chez les hommes aussi : ceux qui paient pour les autres.

 

Pour ma part, je mange encore de la viande blanche et du poisson, en petite quantité...j'alterne avec des protéines végétales présentées sous forme "d'escalope végétale" ou "steak végétal". J'aimerais me passer totalement de viande blanche et de poisson, arriver à diminuer jusque plus du tout.

 

On sait que Jésus aidait les pêcheurs à avoir une pêche abondante. S'adaptait-il à l'état d'esprit des hommes de son époque et de son environnement, sachant qu'il n'aurait eu aucune chance de faire bouger les choses s'il s'était interdit le poisson dans le contexte où il se trouvait.

Pour les gens qui vivent dans des régions très froides, seule la consommation de poisson pouvait leur permettre de survivre. Mais ils pêchaient selon leurs besoins et non pour alimenter un commerce gigantesque qui éradique le poisson des mers. 

 

France Culture aborde le problème de la consommation de viande avec une série thématique qui s'intitule Les paradoxes de la viande :

 

https://www.franceculture.fr/emissions/series/les-paradoxes-de-la-viande

 

 

 

 

 

 

 

07:33 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

12/05/2019

Prière enseignée par l'ange ♣♣♣ L'extrait

Prière enseignée par l'ange :

"Mon Dieu, je crois, j'adore, j'espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n'espèrent pas et qui ne Vous aiment pas.

Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, je Vous adore profondément, et je Vous offre le très précieux Corps, Sang, Ame et Divinité de Jésus-Christ, présent dans tous les tabernacles de la terre, en réparation des outrages, sacrilèges et indifférences par lesquels il est Lui-même offensé. Par les mérites infinis de son très Saint Cœur et du Cœur Immaculé de Marie, je Vous demande la conversion des pauvres pécheurs. Amen."

 

Lue sur le site Hozana, ce soir.

 

Mon commentaire : l'ange parle de l'Ame, du Corps, du Sang et de la Divinité de Jésus Christ. Le tout est un Temple que le Chrétien qui a la foi intègre, ainsi que l'histoire de ce Temple, faite de l'incarnation de Jésus, fils de l'homme comme il s'est lui-même appelé, du sang versé et de cette foi en Dieu.  Voilà ma façon de comprendre le propos de l'ange. En fait, le chrétien intègre tout cela s'il comprend. Sinon il sera amené à comprendre (ce qui est mon cas car je ne comprenais plus il fut un temps), à moins que la personne opère un autre choix et soit chrétien.ne de vitrine ou une personne qui prend un autre chemin ou encore, "qui s'en fout". Il s'agit de Liberté. La conversion ne s'impose pas, c'est une prise de conscience. Si le Christ est offensé, c'est par l'indifférence aux cruautés du monde sur les plus vulnérables et à l'inconscience et indifférence de ceux qui veulent dominer à tout prix. Au prix du crime.

J'ai dit la prière de l'ange, en toute liberté, cela va de soi. Et je pense que c'est une prière pour ceux qui ont été confiés au Christ et qui sont perdus pour le moment.

 

♣♣♣

 

Extrait lu sur le site Marie de Nazareth :

 

 

"Plus d’un demi-siècle s’est écoulé, l’Arche est devenue une communauté présente dans le monde entier. Quant à celui que Jean Vanier considérait comme son père spirituel, le père Thomas Philippe (mort en 1993), une enquête canonique a conclu à sa culpabilité dans des affaires de mœurs en en 2015. Ce fut pour Jean Vanier, au crépuscule de sa longue et belle vie, une nouvelle et terrible épreuve qu’il accueillit comme les précédentes, avec cet étonnement douloureux d’un « fou en Dieu » pour qui « tout est grâce » : la miséricorde divine se sert de tout !  

En lien ci-dessous, une très belle biographie de Jean Vanier par Charles Wright dans l’hebdomadaire « La Vie »."

Philippe Oswald

21:32 Publié dans Note, prière | Lien permanent | Commentaires (0)

09/05/2019

Les explications pour les non initiés ou non avertis ♣♣♣ Pigé ou compris comme "je prends avec moi" ♣♣♣ Elles arrivent à la rescousse

Oups, Jean Vanier ! J'ai tout écouté de la vidéo, post précédent.

 

Je trouve certains mots maladroits, du coup inutiles, mais les actes sont là. Il donne l'exemple en actes et non en mots.

 

À un moment, il parle de l'eucharistie, et aussi pour moi qui ai entendu cela dès l'enfance, le propos m'a paru proche d'une scène de cannibalisme. Or, je n'ai jamais pensé que les gens autour de moi, qui parlaient de l'eucharistie étaient des cannibales parce que les religieuses nous disaient que, quand nous communions, avalant l'hostie, (sans toucher avec les dents (de lait encore pour certaines, je crois), nous avait-on précisé), nous faisions entrer Dieu dans notre propre maison, qui est notre corps. Il entre dans ta maison, moment sacré. Du coup : trac !

Un jour, je ne voulais tellement pas le contact avec mes dents que j'avais pourtant petites, que l'hostie s'en est collée à mon palais et à petits coups de la pointe de ma langue, j'ai réussi à la décoller pour faire entrer Dieu dans ma maison et ce jour-là, c'était laborieux. 

 

C'est plus tard, que le côté carné de la chose, exprimé par des mots "crus" à mon sens, côté curé, sans les religieuses pour me redire ce qu'elles en pensaient, m'a gênée.

D'aucuns insistent "je mange le corps, je bois le sang".

 

Mouais. Mais bon, pour le coup, ce sont les enfants qui ont raison : "Dieu entre dans ma maison". Attention : je dois être à la hauteur !

 

Réfléchissons, sans nous laisser impressionner par les mots ou par le symbole ainsi dévié par la maladresse des mots, un corps inépuisable depuis 2000 ans, idem pour le sang  : acte symbolique donc, exprimé bizarrement pour dire en fait que Dieu, à un moment donné a envoyé Jésus, dans lequel il s'est incarné. Trop de fioritures, ou plutôt, de crudité dans la sophistique, peut détourner de l'essentiel.

 

Mais les mots crus de certains pour parler de l'eucharistie, peuvent révolter ou scandaliser. Ils devraient donc faire attention, sans vouloir donner de leçon.

 

♣♣♣

 

Je pige ici ce qui est dit, et pourtant c'est un homme qui s'exprime sur le sujet. Lu sur le site Une minute avec Marie :

 

"Le chapelet a toujours été un élément important lors des apparitions de Marie ; il est arrivé qu’elle égrène le chapelet en même temps que les fidèles. Pourquoi cela ? Pour que nous préférions lui adresser notre prière plutôt qu’au Christ ou au Père ? Il n’en est rien. Mais pour qu’au contraire, nous portions sur les mystères de la vie de Jésus, et par là sur le mystère du Dieu trinitaire, le regard même de Marie ; pour que notre contemplation prenne sa source dans sa mémoire.

Nos yeux sont troubles ; pour bien voir (que l’on me pardonne cette image), il nous faut regarder au travers de la lunette de Marie.

« Il a souffert pour nous. » Ces mots prennent tout leur sens lorsque nous imaginons ce que Marie a pu ressentir dans son esprit et dans son cœur lors de la Passion. Il ne s’agit pas d’une quelconque pitié ; Jésus écarte les filles de Jérusalem « qui se lamentaient sur lui ». Mais sa Mère, silencieuse et voilée, marche à ses côtés dans une extrême faiblesse, tout en étant animée d’une force suprême. Son cœur est un suaire, plus vrai que le linge de Véronique. Jésus-Christ, Dieu, doit être pour nous, ce qu’il est pour Marie. C’est donc à travers elle que nous devons chercher à pénétrer le mystère de la Rédemption."

 

♣♣♣

 

Les Carmes parlent justement du sujet abordé par moi en parlant de certains mots "crus" (et non pas cris) de Jean Vanier.

Le lien :

 

https://valtorta.fr/troisieme-annee-vie-publique-de-jesus/pain-du-ciel.html#vision-354.12

08:49 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)