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15/06/2019

Ce matin

Hier j'ai vu le film d'Arte concernant le viol d'une enfant. Qu'est-ce qu'un violeur ? C'est quelqu'un qui veut posséder autrui comme sa chose.

Le film est pessimiste car on voit la victime assoiffée de vengeance, donc non libérée,  être toujours la chose du violeur.

Je trouvais l'actrice subjectivement laide tant elle jouait bien la haine. Pour le regard d'enfant le visage de Claudia Schieffer est laid s'il est pétri de haine.

La victime a beau prier, rien n'y fait. Si au fait, quelque chose y a fait : elle n'a pas tué l'enfant du violeur comme on laisse penser dans ce film qu'elle s'apprête à le faire. Mais jusqu'au bout on laisse entendre qu'elle pourrait bien se jeter dans le vide. Donc, le violeur d'antan, paie son crime de la plus mauvaise façon : celui qu'il a été a gagné sur celui qu'il est devenu. Celui qu'il a été, possède toujours "la chose" et revient au présent flinguer celui qu'il est devenu. Quand je vous disais que cette fiction est pessimiste. Une autre sur le même sujet où il y a rédemption de celui qui veut posséder l'autre, le violeur, et où la victime n'est plus victime et devient libre, serait une idée pour renforcer le bien en soi.

Ce matin, je prends mon grand parapluie cloche car je retourne à Outreau, et donc, je vais en bord de Liane respirer et regarder les oiseaux, les écouter aussi.

06:13 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

11/06/2019

La grosse frayeur ♣♣♣ La scène

Hier je parlais des conseils des mères et non pas maires, qui conseillent souvent à leurs enfants de faire pipi s'ils ont eu une émotion forte et j'ai parlé, je ne sais trop pourquoi, de grosse frayeur, et voilà que quelqu'un dont j'avais déjà noté certains déséquilibres mentaux, par téléphone, m'en cause une ce matin.

 

Me disant d'abord des choses d'une violence certaine de par l'absurde qu'elles dégagent et qui, faisant montre de cette violence, me demande d'un ton innocent de me rendre chez elle comme si de rien n'était d'où, vu l'ampleur des propos de plus en plus absurdes cette frayeur qui s'installa peu à peu... j'en arrive à penser qu'il est possible, vu leur état, qu'on empoisonne mon café.

Première chose : débrancher le téléphone au cas où un autre coup de fil de ce genre serait à nouveau donné et ensuite respirer profondément, car au niveau évacuation par l'urine les reins semblent bloqués pour le moment.

 

Et maintenant, une séance de purification par le qi gong.

  En fait je prie quand je suis en sécurité, pour remercier. Donc, d'abord la séance, que je mets en ligne ici car il n'y a pas besoin d'avoir enduré une peur ou un stress pour la faire :

 

 

Séance faite. Et que vois-je dans ma barre de droite ? Dame Ke Wen qui "s'est infiltrée" telle une belle espionne et qui me propose d'abord de "soulever le colosse". Comment ne pas aimer ces dames ? Grandes d'âme comme dirait Millie. Ici :

 

 

Et pour définitivement débloquer les reins :

 

 

♣♣♣

 

J'ai réussi à écrire une scène qui me donnait du fil à retordre dans la fiction que j'écris, qui croise trois générations. Je l'ai écrite après ces séances, j'étais bien concentrée. Comme c'était en manuscrit, me reste à la taper et à l'enregistrer dans le fichier.

 

 

 

 

15:35 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

27/05/2019

Une écoute plus poussée

 

Une écoute plus poussée de ces mots de Jésus dans le jardin des oliviers quand il dit "Que ta volonté soit faite" me fait entendre "J'espère qu'ils vont t'écouter, Père, et ne pas me mettre à mort".

 

Il était question d'aller jusqu'au bout de la volonté des hommes dans cette situation, pour les mettre en face d'eux-mêmes.

La rédemption, suite au désastreux passage à l'acte, étant l'accueil de Jésus, signifiant l'accueil de l'autre.

C'est pourquoi il dit que tous les chemins vers le ciel passent par lui. Il faut d'abord lui ouvrir la porte en soi pour que le ciel s'ouvre à nous.

Il s'agit d'un processus d'ouverture à la compassion, et non une obéissance contrainte.

Ceci est ma méditation matinale.

 

 

04:44 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)