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27/06/2013

parfum de poésie

A butterfly fluttered in through the window

a light breeze stirred the leaves

He carrefully stepped round the sleeping dog.

 

Un papillon entra par la fenêtre en voltigeant

une brise légère agitait les feuilles

il contourna prudemment le chien endormi.

 

J'estime ici que le hasard parfois propice à la poésie est le véritable auteur de ce petit poème, qui évoque un haïku, bien qu'un peu long pour en être un vraiment. 

 

15:11 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)

22/06/2013

Alain Suied - La poésie dérobée

Ici :

http://www.espritsnomades.com/sitelitterature/suied/alain...

08:05 Publié dans Poésie, Site | Lien permanent | Commentaires (0)

John Keats

Bright Star, Would I Were Stedfast as Thou Art

Bright star, would I were stedfast as thou art --

Not in lone splendor hung aloft the night,

And watching, with eternal lids apart,

Like nature's patient, sleepless eremite,

The moving waters at their priestlike task

Of pure ablution round earth's human shores,

Or gazing on the new soft-fallen mask

Of snow upon the mountains and the moors ;

No -- yet still stedfast, still unchangeable,

Pillow'd upon my fair love's ripening breast,

To feel for ever its soft swell and fall,

Awake for ever in a sweet unrest,

Still, still to hear her tender-taken breath,

And so live ever -- or else swoon to death.

1819, dans Life, Letters and Literary Remains of John Keats (1848)

 

 

 

 

Etoile éclatante, puissais-je comme toi être figé -

non pas dans une solitaire splendeur suspendue au dessus de la nuit,

et guettant, éternellement séparé par des couvercles,

Tel un malade de la nature, un ermite sans sommeil,

Les eaux mouvantes toutes entières à leur prêche

pour purifier par leur pure ablution les rives humaines tout autour de la terre,

ou fixant le masque nouvellement et doucement tombé de la neige

sur les montagnes et les landes;

Non - pas encore totalement figé, encore immuable,

pelotonné sur la poitrine mûre de mon bel amour,

pour ressentir à jamais son suave parfum et son automne,

à jamais éveillé en une douce agitation,

immobile, immobile pour entendre son souffle arraché à la tendresse

et ainsi vivre pour toujours - ou sinon me pâmer dans la mort.

(Adaptation personnelle)

Le site :

 

http://www.espritsnomades.com/sitelitterature/keats.html

07:04 Publié dans Poésie, Site | Lien permanent | Commentaires (0)