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01/10/2017

Le film vu hier

 

Le film commençait bien, cette fraîcheur dont je parlais pour les livres que j'ai lus de Pullmann, et puis ça a tourné en choses grinçantes jusqu'à basculer dans un film franchement d'horreur. Les enfants chez Pullman, même dans une histoire horrible d'adultes  monstrueux pour certains et donc très mortifères, maintiennent  la fraîcheur de leur paradis intérieur (pour les livres que je connais de lui en tout cas). Et cela produit un double miracle chez le lecteur adulte, qui bascule du côté de cette fraîcheur et affronte "les monstres moraux" (ou monstres, moralement parlant)  avec ces enfants presque dans le ravissement grâce à eux.  Concernant le film, c'est brutal, d'autant plus qu'on ne s'y attend pas, on est constamment pris par surprise.  Je cousais (à la main) tout en  regardant de temps à autre l'écran, cette activité constituait un bon ancrage pour supporter la mauvaise surprise, mais j'entendais tout des bruitages grinçants qui se voulaient angoissants. Quel est le message de ce film, intitulé Saint Ange ? J'avoue que ça m'a échappé. Est-il de ne pas violer les tabous, sinon gare ? De rester à sa place sinon la mort ?

 

Résumons : une  jolie femme de ménage se met en tête de découvrir ce qu'il y a au-delà du miroir d'une maison hantée par la présence d'enfants maléfiques. Le concept déjà d'enfants maléfiques ne m'a pas plu. Et le plus  logiquement du monde, je n'ai donc pas aimé ce film. Lou Doillon y jouait. Je lui ai trouvé l'esthétique africaine (juste selon moi), l'autre actrice avait, elle, l'esthétique française à la Sophie Marceau. Les deux actrices ne méritaient pas de jouer dans un film aussi négatif. Pourquoi ont-elles accepté de jouer dans un tel scénario ? Mystère et boule de gomme.

Encore une fois : merde à ce concept et pas dans le sens où je lui souhaiterais bonne chance. Patrick quant à lui est en colère si l'on peut dire contre ce film. Nous n'avons pas aimé ce film, na.

01:26 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

25/09/2017

Une note supprimée

 

J'ai supprimé l'avant-dernière note, me demandant si, bien que rien de  mal intentionné de ma part y ait été écrit, des propos ne pouvaient pas être mal interprétés.  Car je ne veux offenser personne bien entendu.

19:45 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

24/09/2017

Cet après-midi

 J'ai terminé la lecture d'Un long dimanche de fiançailles. Japrisot parle à un moment des yeux de son héros, Bleuet, que la guerre a rendu amnésique.... bleu pâle presque gris avec au fond une âme qui appelle au secours, un regard que ceux qui le voient  n'oublient pas.  Ce livre, je l'ai perdu deux fois dans la maison, et chaque fois il m'est retombé entre les mains. Parfois les livres se cachent, trop bien rangés, ou dérangés d'autres fois. La Guerre 14-18, la Grande guerre dit Japrisot avec ironie avant d'ajouter, "comme s'il y en avait de petites". L'un de ses personnages, écœuré par la violence avoue que tuer une poule pour se nourrir (car il est fermier) le dégoûte. Il n'y avait pas encore de conseils diététiques Vegan à l'époque.

 

Il fallait le lire ce livre, et je salue le courage de l'auteur. Pour  autant, présentement, j'ai besoin d'une autre séance des six sons... celle que j'ai pratiquée l'hiver dernier un peu tardivement et qui m'a aidée quand même. Agréable à faire, on est dans l'instant avec bonheur. Ici :

 

https://www.youtube.com/watch?v=q-6e-RDf8S4

 

 

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