Francis Jammes
image: http://matierevolution.fr
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Elle peut servir d'écran solaire pour filtrer certains ultraviolets et je l'ai utilisée comme support à une huile essentielle, pour masser nuque, front, plexus solaire, tempes.... un peu de vaseline et dedans une goutte de ravintsara (qui contient du camphre), cela ressemble à un baume du tigre. J'ai fait cela en prévention car des gens toussent et ont la grippe ces temps-ci .... c'était délicieux, un massage qi gong en fait.
Francis Jammes
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Ce "billet" d'Angèle, qui est exigeante en ce qui concerne la qualité d'amour que l'on porte à Dieu. Si c'est par intérêt de gloriole personnelle et de confort, Angèle pense que c'est un faux-amour :
Angèle de Foligno
Il y en a qui croient aimer Dieu, et qui L’aiment d’un amour infime et imparfait. Ils L’aiment parce qu’Il dispose du pardon et du paradis, mais ils ne se soucient pas de Lui-même; ils L’aiment uniquement pour qu’Il les garde du péché et de l’enfer. D’autres L’aiment pour avoir des consolations et des douceurs spirituelles; d’autres, pour être aimés de Lui; d’autres désirent la sainteté de leurs parents et de leur amis à cause de l’honneur qui rejaillit sur eux; d’autres, parmi les lettrés, aiment Dieu pour recevoir le sens, la science et l’intelligence de l’Écriture; parmi les illettrés, pour savoir parler des choses de l’esprit; mais ils ne songent ni à la gloire de Dieu ni à leur salut. Ils veulent qu’on les aime et qu’on les considère; ils aiment la spiritualité afin de prendre place parmi ses héros, et de gagner le cœur de ses amis; ils ne songent qu’au profit et à la réputation; ils aiment l’obéissance, la pauvreté, la patience, l’humilité extérieure et toutes les vertus, afin de dépasser les autres, afin d’être les premiers; ils ressemblent à Lucifer, qui fit tout ce qu’il fit pour avoir la première place.
Angèle de Foligno, Le livre des visions et des instructions (abbaye-saint-benoit.ch)
image: Chiesa di Santa Maria, Foligno / Italia (panoramio.com)
Lu dans le Jubilate de ce matin, 5 janvier 2018
10:43 Publié dans Lecture, Note, Photo, Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)
Impossible d'empêcher une mise à jour de se faire en informatique, elle est annoncée sur l'écran et d'un coup, c'est parti.
Hier soir ce fut le cas. J'étais en train de lire un passionnant livre qui s'intitule Claire et ses ombres quand j'entends la voix plaintive de mon compagnon, de l'étage : "L'ordi est foutu." La mise à jour, après avoir affiché "Mise à jour critique", avait calé. Je conseillais à mon compagnon qui était parti se coucher, de continuer son chemin vers le lit et de laisser l'ordinateur se débrouiller tout seul, "Laisse-le tranquille, il est en train de travailler là." "Non, ça ne marche pas comme ça" répond agacé l'informaticien de la maison, je vais tenter une restauration des fichiers, mais je crois qu'il est mort. Il aura pas passé l'année 2017." Tout cela avait mis les nerfs quelque peu à vif de l'informaticien qui se trouvait tout à fait réveillé du même coup, sur ses gardes en même temps que sur les nerfs. Au bout d'un long moment il m'annonça, soulagé, que la restauration des fichiers était faite et que l'ordinateur qui avait affiché qu'il était en phase critique tout à l'heure était reparti pour un tour. C'est bien lui le génie de l'informatique de la maison car avec moi, l'ordi aurait peut-être fini sa carrière après un vain appel au secours en ces termes "Mise à jour critique". Cinq minutes après on se trouvait dans l'espace-temps 2018... rien n'avait changé et pourtant tout était différent. Je me rendais tellement mieux compte encore à quel point m'étaient chères par exemple les vidéos des thérapeutes sur You Tube, aussi bien celles qui vous apprennent à faire du levain que celles qui vous apprennent les mouvements qui peuvent éventuellement sauver votre vie ou celle d'un autre, ainsi que les messages de Jubilate dans la boîte mail, qui ré-apprennent le recueillement qui sauve, les messages aussi du Daily Ray. Les blogs des autres aussi m'auraient manqué.
Parlant de vie sauvée, j'ai une pensée toute particulière pour ceux pour qui le moment est arrivé de passer par l'épreuve du deuil, notamment ceux qui ont perdu un enfant, que ce soit il y a longtemps ou récemment, je leur souhaite à eux d'abord une année 20l8 où ils ne se sentiront pas abandonnés de Dieu mais au contraire connectés à lui de toutes leurs forces pour rester en vie dans leur tête, mentalement, en présence en quelque sorte. Bonne année à eux donc.
Également Bonne année 2018 à ceux qui traversent l'épreuve de la maladie, une année faite de confiance et de courage, les deux vont ensemble.
Bonne année 2018 à toutes les personnes de bonne volonté.
Et Merci à ceux notamment qui sont drôles et aident ainsi beaucoup.
Lu sur Jubilate ce matin :
Nirmalprabha Bordoloï
Si tu portes dans ton coeur un coin de forêt
Tu trouveras l’ombre où goûter le repos.
Si tu gardes dans ton coeur un peu de ciel bleu
Un couple d’oiseaux y prendra son essor.
Nirmalprabha Bordoloï, dans: E. Turgut et Lionel Ray: Voix de femmes – Anthologie / Poèmes et photographies du monde entier (Editions Turquoise, 2012)
Cette vidéo "Bonne Année !", trouvée sur le blog de Kikou :
09:26 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)
Le mérite est un concept qui pose question car tout dépend de ce que l'on met dans ce mot, ou de ce que l'on entend par là.
Ce matin pourtant je fais fi de ma réticence par rapport au "mérite" qui sert souvent à justifier des choses un peu vaseuses, je le reprends pour Brigitte Bardot, qui m'a touchée ce matin (aux infos) par sa fidélité à la cause de la défense des animaux. Je dis donc, parlant de sa beauté, qu'elle la mérite... et sa beauté je la vois toujours aujourd'hui.
À la fin de l'automne, j'ai acheté une paire de bottines en cuir retourné, que je ne vais pas mettre à la poubelle mais je pense miser par la suite sur des chaussures de sport en simili, et grosses semelles, actuellement tout le reste de ce que je porte ne provient pas de l'exploitation des animaux. Par contre, je conçois d'autant plus que les personnes vivant dans le grand Nord doivent manger de la viande de temps à autre pour leur survie, surtout s'ils vivent sur le mode casanier d'autrefois, que je le fais moi-même en vivant dans une région tempérée. Mais à l'heure d'aujourd'hui, si l'on y réfléchit, c'est Brigitte Bardot qui a raison : il faudrait revoir nos comportements vis-à-vis de la consommation de viande et du port de produits fabriqués à base de peaux de bête. En tant que croyante, je me pose aussi la question, à savoir si Marie lors de son apparition à Bernadette ne parle pas elle aussi de la cause animale quand elle demande à celle-ci de manger des herbes.... mais pas besoin expressément de religion pour réfléchir à la cause des animaux cela dit.
Je ne suis pas mécontente d'avoir passé un Noël végétarien, j'espère que la nouvelle année sera honorée de la même façon, entre deux à l'heure qu'il est je n'ai pas encore touché un morceau de viande... et espère tenir.
Photo d'éléphant et d'une girafe en origami. Les éléphants sont d'abord deux origamis que j'ai superposés : il y a la maman éléphant et son bébé sur le dos, je les ai ensuite recouverts de papier journaux que j'ai collés façon papier mâché, j'ai ensuite passé un enduit blanc (dont je ne me souviens plus lequel c'était exactement, car cela fait une dizaine d'années) et j'ai peint à la brou de noix, peut-être ai-je passé ensuite quelque chose comme du bouche pore pour faire briller. La girafe en origami est plus récente, je l'ai mise dans le voilier blanc, et vogue le tout au gré de la destinée.
08:30 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)