31/01/2008
diabète et café
"Will an espresso soon be out of bounds for diabetics?"
Destination Santé
08:01 | Lien permanent | Commentaires (1)
Économie
« Les animaux de compagnie victimes collatérales de la crise des "subprimes" aux Etats-Unis »
« La maison est ravagée -ses planchers éventrés, ses cloisons abattues et les ampoules brisées par les propriétaires qui se sont acharnés sur la demeure avant que les banquiers ne la saisissent. Caché dans ce qui reste debout se trouve un membre abandonné de la famille: un Pitbull affamé.
Mais il était trop tard pour ce chien découvert par les ouvriers. Son cas apporte une preuve supplémentaire de la manière dont les animaux de compagnie sont devenus des victimes collatérales aux Etats-Unis de la crise des "subprimes". Ces prêts hypothécaires à risque entraînent un nombre record de saisies immobilières et continuent de peser sur les places boursières mondiales.
Les animaux "sont abandonnés un peu partout", souligne Traci Jennings, présidente de la Société protectrice des animaux (Humane Society) du comté de Stanislaus, dans le nord de la Californie. "Les agriculteurs retrouvent des chiens jetés dans leurs prés alors que des chats domestiques commencent à se regrouper en colonies sauvages. »
ma/v019/tl Le lien
07:26 | Lien permanent | Commentaires (1)
30/01/2008
lecture de Madame Bovary
Randonnée quelque peu écourtée à cause du mauvais temps, ce qui m’a donné l’occasion de presque terminer la relecture de Bovary. Sa condition est ardue, comme chacun sait. L’ambition sociale de la femme à l’époque ne pouvait se réaliser que dans un mariage, le statut de l‘homme se répercutant sur l’épouse. Les illusions romanesques étaient alors particulièrement fortes : Madame Bovary ne remet jamais en question son idée du bonheur, ne se défie d’aucun cliché et se retrouve livrée à ses démons, en situation de totale dépendance. L’humour, la dérision ne peuvent pas émerger dans un tel contexte, aucun recul donc et la voilà manipulée, dépossédée d’elle-même, dans un avilissement qui la conduit au suicide.
Les choses ont-elles autant changé qu’on le dit de nos jours ?
Certaines sitcoms me donnent l'impression que non.
16:42 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (3)