Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

26/11/2014

Vingt minutes d'ordi ce jour

 

Pas plus de vingt minutes d'ordi ce jour, le temps de prendre par écrit les paroles de Across  the universe, que j'ai chantées ma foi avec facilité ; alors que je pensais que c'était une chanson difficile, elle ne l'est pas du tout, il suffit de bien prononcer les mots ou  syllabes des mots,  qui sont comme des notes, reste à mémoriser le tout... je me donne la matinée, pendant que je ferai diverses autres choses, notamment le ménage : Yoko cet été s'étant attrapé des puces dehors, il les a ramenées dans la maison. 

 

 La chanson The Fool on the Hill m'avait donné du fil à retordre quand il s'agissait de la chanter a capella... Dès le troisième vers ce n'était plus possible de continuer, et voilà que ce matin, le déclic de l'accord vocal lié aux paroles "the man", s'est produit et la suite coule de source dès lors. Je la chante donc aussi désormais ... égoïstement car le temps s'est encore considérablement refroidi dehors et il pleut ! ... tant pis pour les Béthunois, je continue mon concerto, lequel ne dérange pas les chats (d'autant que ma voix ne porte pas très loin mais je crois que si j'avais chanté plus tôt, Lulu ne serait pas parti vivre chez le voisin, de l'autre côté de la rivière. D'où nous l'apercevons régulièrement. Quand nous l'appelons, il tourne vers nous sa frimousse incroyable, aux grands yeux tout ronds, garnie de moustaches Blanches et s'enfonce bien vite dans un buisson après nous avoir lancé un regard plein de tendresse... curieux ! Un chat dont la robe imite un smoking et qui est toujours en train de barouder parmi les buissons dès qu'il quitte la maison du voisin.) ... Pff !

 

Si "vous la voulez chanter" (influence lecture du 19è ☺) vous aussi cette belle chanson, c'est ici : http://www.lacoccinelle.net/249615.html

 

 

La pensée du jour du Daily Ray :

 

Unless someone like you cares a whole awful lot, Nothing is going to get better.

La pensée est de Théodore Seuss Geisel,  j'ai eu recours à Linguee pour comprendre le "whole awful lot"... une sorte d'idiome pour moi que je rencontre pour la première fois. Et Linguee, généreusement  d'effacer le mystère. Voici sa traduc  :

"À moins que quelqu'un comme vous ne se donne un mal énorme, rien ne va s'arranger."

 

Pas optimiste Théodore ! Et à qui s'adressait-il ? Un mal énorme... ! il faut pouvoir résister à un mal énorme, qu'on se donne par-dessus le marché ! je plaisante.

En cas de gros efforts  à fournir, n'oubliez pas les pauses chansons, blogueurs... 

  

08:20 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

25/11/2014

Lu

Finalement, j'ai lu la nouvelle il y quelques instants de ça, celle que j'avais prévue de lire ce soir. C'est un autre univers... on y parle à la fin, de juif et de non-juif,  de différence entre les deux, d'admiration du non-juif pour la sagesse de l'israélite qui est légendaire...   En fait ça ne m'a pas vraiment parlé. Un autre univers. J'ai aimé le propos sur le sens critique par contre. C'est la fin que j'ai estimé ratée pour de bon, tant je l'ai trouvée sèche du point de vue de l'humour.  C'est du "contre La Fontaine",  sans le vouloir,  par le message si étrange à mes yeux. D'autres valeurs, comme on dit, que les miennes.

14:32 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

John Lennon — lu ce jour dans le journal — La photo du jour — Promesse

Je ne suis pas d'accord avec un bout de traduction de Hey Jude trouvée sur le site de la Coccinelle, un site merveilleux par ailleurs !

 

"For well you know that it's fool, who plays it cool,
Tu sais bien que c'est une folie, qui rend tout facile,

By making his world a little colder.
Rendant son monde un peu plus froid."

 

Le Who sujet je le  traduirais plutôt comme ceci : Tu sais bien que c'est une folie, qui se la joue cool en rendant son monde un peu plus froid encore" (le monde de papa John)

Connaissant maintenant le contexte de la chanson  'Hey Jude',  Paul MacCartney, l'ayant écrite pour le fils aîné de Lennon, Julian ou Jude. Lennon   partant avec une autre femme que la mère de celui-ci, l'auteur du texte, Paul, incite Jude au bonheur, en lui disant d'accepter la nouvelle femme de son père, de la  faire sienne en tant que seconde mère en quelque sorte, voilà ce que je comprends ; petite remontrance à Jude qui fait semblant de la jouer cool avec son papa mais qui en fait lui envoie du froid parce que Jude, à ce moment-là a trop de peine. MacCartney lui rappelle que le monde de son père est déjà froid à la base, "n'en rajoute pas" lui dit-il en quelque sorte, ne gâche pas tout en portant le monde sur tes épaules c'est-à-dire, en portant sur toi  la peine de ta maman qui doit seule assumer la rupture avec John. Cela se tient, non ? Mais vous avez peut-être une autre interprétation. Le monde de John était-il froid à la base ? Probablement oui, si l'on en croit  cette chanson... que je vais peut-être décider de me mettre dans la caboche sachant par cœur deux autres chansons des Beatles...  que je chante a capella avec un certain bonheur, sans faire pleuvoir jusqu'ici... quoique le temps se soit considérablement refroidi.... ☺ ☻ 

Le monde de John :

 

 

 

 

Jealous Guy (Un Mec Jaloux)

 

I was dreaming of the past
Je rêvais du passé
And my heart was beating fast
Et mon coeur battait rapidement
I began to lose control (x2)
J'ai commencé à perdre les pédales (x2)

 

 

 

[Chorus]
[Refrain]
I didn't mean to hurt you
Je ne voulais pas te blesser
I'm sorry that I made you cry
Je suis désolé de t'avoir fait pleurer
Oh no, I didn't want to hurt you
Oh non, je ne voulais pas te blesser
I'm just a jealous guy
Je ne suis qu'un mec jaloux

 

 

 

I was feeling insecure
Je me suis senti déstabilisé
You might not love me anymore
Tu ne dois sans doute plus m'aimer
I was shivering inside (x2)
Je frissonnais en moi (x2)

 

 

 

[Chorus] (x2)
[Refrain] (x2)

 

 

 

I was trying to catch your eyes
Je tentais de saisir ton regard
Thought that you was trying to hide
Que tu essayais de dissimuler
I was swallowing my pain (x2)
Je ravalais ma douleur (x2)

 

 

 

I didn't mean to hurt you
Je ne voulais pas te blesser
I'm sorry that I made you cry
Je suis désole de t'avoir faite pleurer
Oh no, I didn't want to hurt you
Oh non, je ne voulais pas te blesser

 

 

 

I'm just a jealous guy, watch out
Je ne suis qu'un mec jaloux, prends garde
I'm just a jealous guy, look out babe
Je ne suis qu'un mec jaloux, fais attention chérie
I'm just a jealous guy
Je ne suis qu'un mec jaloux 

 

 

La Coccinelle

 

 

 

Lu ce jour : en Gironde, des ouvriers Hongrois payés à deux euros de l'heure : C'est ici

 

 

 

La photo maintenant du Daily Ray of Hope. En vérité un drôle de rayon d'espoir, qu'on imaginerait plus ensoleillé,   mais c'est  la citation qui donne à la photo ses rayons (je chante,  et je reçois cette photo du Daily  Ray ... mais la vie est trop courte pour ne pas chanter !)

 

les oiseaux.jpg

 

After winter comes the summer. After night comes the dawn. After every storm, there comes clear, open skies.
~ Samuel Rutherford

 

 

Et enfin pour finir avec le blog aujourd'hui, un extrait de la nouvelle que je me promets de lire ce soir, elle s'appelle Placebo et le nom de l'auteur est Schmuel Retbi :

 

 

"La fortune n'entrave pas toujours le bonheur. Souvent, même, elle sourit à ceux qui savent se baisser pour la ramasser. On trouvera cependant des bienheureux qui se relèvent tout courbaturés après les petits tours qu'elle leur aura joués. C'est là le sujet de cette histoire presque totalement véridique. Elle sera mieux comprise de ceux qui prennent au moins une pilule par jour. Les autres s'en sortiront sans doute, à condition qu'ils aient, dans leur entourage, des personnes qui absorbent au moins un comprimé quotidien. Notons, par ailleurs, que l'humanité se compose pour 12 % de gens qui se flattent d'être nés sous le signe du lion. Cet aimable quadrupède se caractérise par deux traits prédominants : 1. Il rugit toute la journée et 2. Il marche à quatre pattes à la maison. Cette histoire a donc pour héros un lion à la retraite, un combattant farouche et glorieux que le temps a décidé de réduire au cadre étroit de ses pantoufles" ICI

 

 

 

 

 

 

 

13:25 Publié dans Musique, Note | Lien permanent | Commentaires (0)