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20/12/2019

les expressions, ♣ Apparition

Les expressions qui n'ont de sens que sur le plan de la discipline militaire :

 

"Rentrer dans le rang."

 

"Je ne veux voir qu'une seule tête."

 

"Mettez-vous en rang d'oignon."

 

 

J'avoue que j'ai du mal avec la discipline militaire, c'est pourquoi je suis un électron libre. Un électron libre dans la main de Dieu tout de même. Je dis cela pour avoir rêvé de Lui cette nuit. Il s'est présenté à moi sous les traits que je garde secrets... et quelle tendresse et générosité bien qu'il me rappelait à l'ordre pour quelque chose que je n'avais pas fait. Je le Lui ai dit. Et il m'a souri de nouveau, avec toujours cette même gentillesse. Merci  à Toi.

Après une telle déclaration, j'espère que je ne vais pas avoir une délégation d'infirmiers avec ambulance à ma porte tout à l'heure.

"Folie" pour certains, ce que j'ai dit plus haut, mais si douce !

 

Le poème du jour pour toujours :

 

STROPHES POUR SE SOUVENIR

 

 

Vous n’avez réclamé la gloire ni les larmes
Ni l’orgue ni la prière aux agonisants
Onze ans déjà que cela passe vite onze ans
Vous vous étiez servis simplement de vos armes
La mort n’éblouit pas les yeux des Partisans

 

 

 

Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes
Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants
L’affiche qui semblait une tache de sang
Parce qu’à prononcer vos noms sont difficiles
Y cherchait un effet de peur sur les passants

 

 

 

Nul ne semblait vous voir français de préférence
Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant
Mais à l’heure du couvre-feu des doigts errants
Avaient écrit sous vos photos MORTS POUR LA FRANCE
Et les mornes matins en étaient différents

 

 

 

Tout avait la couleur uniforme du givre
À la fin février pour vos derniers moments
Et c’est alors que l’un de vous dit calmement
Bonheur à tous Bonheur à ceux qui vont survivre
Je meurs sans haine en moi pour le peuple allemand

 

 

 

Adieu la peine et le plaisir Adieu les roses
Adieu la vie adieu la lumière et le vent
Marie-toi sois heureuse et pense à moi souvent
Toi qui vas demeurer dans la beauté des choses
Quand tout sera fini plus tard en Erivan

 

 

 

Un grand soleil d’hiver éclaire la colline
Que la nature est belle et que le cœur me fend
La justice viendra sur nos pas triomphants
Ma Mélinée ô mon amour mon orpheline
Et je te dis de vivre et d’avoir un enfant

 

 

 

Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent
Vingt et trois qui donnaient leur cœur avant le temps
Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant
Vingt et trois amoureux de vivre à en mourir
Vingt et trois qui criaient la France en s’abattant.

 

 

04:44 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

Lu ce matin à propos d'industries dégueu

"La fracturation hydraulique qui casse les roches souterraines en envoyant dedans un liquide sous haute pression met en danger de pollution irréversible les nappes phréatiques, et donc l'eau potable de nombreuses communautés.

Rien n'a changé depuis les débuts de cette technologie dégueulasse (en anglais: DirtyTech™) mais cela n'empêche pas les industriels de poursuivre leur activité toxique, principalement aux Etats-Unis et ailleurs de par le monde."

 

Sur le blog Mots variés sur choses diverses

 

 

C'est quand que la planète a droit à un peu de repos ? Elle nous a pas encore donné assez de beaux enfants, pour n'y avoir toujours pas droit ? (je cite ici les paroles d'une chanson de l'éminent Sardou, tout en imitant le style du bien aimé Coluche, beau à sa façon).

 

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Une photo de Victoria Morrow

 

"Some people believe that holding on and hanging there are signs of strength, but there are times in life when it takes much more strength just to let go."

 

Scuse, je ne parviens pas à retrouver le site avec cette citation, donc je n'ai pas le nom de l'auteure, je me souviens qu'il s'agit d'une américaine.

04:38 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

16/12/2019

La soirée télé

Bien sûr que miss Guadeloupe est très jolie. Mais quand je regarde les concours de ce genre je trouve qu'elles le sont toutes, jolies. En fait,  chacun sa sensibilité pour telle ou telle esthétique, les gens sont libres. Pourquoi imposer un diktat en la matière ? Quand bien même je trouve un tel plus beau qu'un autre tel (qu'un autre hôtel ), est-ce si important ? par exemple, je n'aime pas mon compagnon en fonction uniquement de son physique,  parce que je le trouverais plus beau qu'un autre. Il y a quand même d'autres critères moins superficiels. N'est-ce pas ?

Les défenseurs de ces concours disent que ces derniers sont valables parce que — argument plutôt flippant — les femmes de la communauté scientifique section sciences ultra dures adorent les concours de Miss. Et alors ?

La référence ultime, reste les scientifiques, c'est quand même un peu conformiste !

 

Et s'il y avait d'autres formes d'intelligence, moins scolaires, que celle des scientifiques ? Les sur-hommes, ça va un moment, non ?

Je suis prête à me passer du confort technologique si on revient enfin à plus de fantaisie, plus d'oxygène. Plus de liberté. À l'amour.

 

Mais il n'y a pas eu que cela dans la soirée télé. Il y a eu les caisses (en termes d'argent) pour les grévistes. Pourtant parmi ceux qui ne font pas grève, d'aucuns disent que c'est faute d'avoir de l'argent.

On en distribue donc aux uns et pas aux autres ?

 

Les laboratoires pharmaceutiques sont-ils dans le coup ? Car c'est en France qu'il y a le plus de burn out. Otages, oui. N'ayons pas peur des mots. Des gens sont asphyxiés moralement et parfois même physiquement je  pense. Triste pays, la France.

21:46 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)