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01/02/2020

Lu ce matin ♣♣♣ Autres lectures ♣♣♣ Quand la machine nous fait travailler gratuitement

"Le Seigneur passe...
Ouvriras-tu,
Quand frappe l'inconnu ?
Peux-tu laisser mourir la voix
Qui réclame ta foi ?

 

Le Seigneur passe...
Entendras-tu
L'Esprit de Jésus Christ ?
Il creuse en toi la pauvreté
Pour t'apprendre à prier.

 

Le Seigneur passe...
Eteindras-tu
L'amour qui purifie ?
Vas-tu le fuir et refuser
D'être l'or au creuset ?

 

Le Seigneur passe...
Entreras-tu
Dans son eucharistie ?
Rappelle-toi que dans son corps
Il accueille ta mort.

 

Le Seigneur passe...
Oseras-tu
Lancer ton cri de joie ?
Christ est vivant, ressuscité.
Qui voudra l'héberger ?

 

Le Seigneur passe...
Attendras-tu
Un autre rendez-vous ?
Pourquoi tarder ? Prends avec lui
Le chemin de la vie.

 

Le Seigneur passe..."

 

Blasphémer c'est nier l'existence de Dieu tout en l'insultant... comme celui qui dit qu'être susceptible porte malheur. C'est dérisoire, le blasphème. Voltaire a dit  : vous avez le droit. Comme on peut pratiquer la violence verbale sans être pendu ensuite. Ouf pour le bavard invétéré. Mais Voltaire aurait pu ajouter : Vous avez droit à la pitié quand vous blasphémez. Cela aurait fait plus sens. 

 

Lu aussi ce matin :

"Le plus souvent, l’homme vit à l’extérieur de lui-même. Mais dans le même temps, il est incapable de se voir de l’extérieur, son moi le préoccupe trop. Alors, où est-il ?"

http://regardssurunevissansfin.hautetfort.com/

 

♣♣♣

 

Lu dans un dictionnaire :

Dogbody :

 

"a person who is given boring, menial tasks to do.
 
Une personne à qui sont données à faire des taches ennuyeuses, subalternes.
 
Exemple : I became head of current affairs, BBC Television Northern Ireland, which sounds grand but I was basically a dogsbody."
 
Autre exemple :
 
L'auteur lui-même [...] propose que nous sortions de l'essorage et du battage médiatique pour mieux voir l'humain, toutes les trop humaines petites mains qui travaillent dans l'ombre des algorythmes de l'intelligence artificielle.
 
"The author, himself a sociologist of work and researcher at the EHESS, suggests that we move beyond AI washing and hype to better see the human, all too human dogsbodies that work in the shadow of AI algorithms."
 
 
♣♣♣
 
"L’erreur, soutient Casilli, serait de croire qu’avec l’automation, le travail va disparaître. Il va plutôt être « plateformisé » et digitalisé. Autrement dit, en attendant les robots qui, comme dans le Godot de Beckett, pourraient tarder à entrer en scène, on ferait bien d’examiner les changements concrets qui s’opèrent dans le travail humain. Car, en lieu et place d’un remplacement du travail par des robots, on a souvent affaire à un simple déplacement. C’est ce que montre bien l’exemple des guichets automatiques. Ceux-ci ne remplacent pas complètement le travail qui était jadis celui du guichetier : ce sont plutôt les clients qui prennent désormais en charge la responsabilité de faire fonctionner la machine. À plusieurs égards, cet exemple est symptomatique de notre difficulté à percevoir ces nouvelles formes de travail qu’analyse Casilli.
 
According to Casilli, the mistake would be to believe that work will disappear with automation. Work will instead be « platformized » and digitized. In other words, while we wait for robots—which, as in Beckett’s Godot, may be slow to come on the scene—we would do well to examine the concrete changes taking place in human labor. For instead of the replacement of work by robots, what we are often dealing with is mere displacement. The example of ATMs is a case in point. These do not completely replace the work formerly performed by bank tellers: rather, it is customers who are now responsible for operating the machines. In many ways, this example is symptomatic of our difficulty in perceiving the new forms of work analyzed by Casilli."
 

06:08 Publié dans Note, Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)

29/01/2020

La question posée hier ♣♣♣ La méditation avec les Carmes ♣♣♣ Ecologie

 La question d'hier "À qui appartient l'avenir ?", rapport à un décret des médias.

 

Ce n'est pas aux journalistes ou au système politique en place de décréter à qui ils veulent offrir l'avenir, n'est-ce pas ?

 

Déjà une réponse plus relaxante :

 

The future belongs to those who believe in the beauty of their dreams.

Eleanor Roosevelt

 

L'avenir, travaillons pour lui en pensant à nous, à eux et respirons !

 

♣♣♣

""Ils sont les hommes d'un moment", dit Jésus, à propos de ceux qui reçoivent la parole semée dans des endroits pierreux. Le grain y lève vite, parce que la terre, peu épaisse, profite de la moindre ondée ; mais, dès que le soleil chauffe un peu, le grain se dessèche, faute de racines profondes.

Ce que Jésus décrit là, avec des mots très simples et à travers ses paraboles, c'est bien notre vie de croyants, avec ses grandeurs et ses misères.

Nous sommes capables d'enthousiasme, et en nous la parole de Dieu trouve un écho ; nous la recevons avec joie, comme dit Jésus, et cette joie est sincère, car vraiment chaque parole de Dieu qui atteint notre cœur éveille en nous l'espérance d'un nouveau commencement, d'un sursaut de générosité, d'une germination enfin digne de Dieu.

Mais la graine de la parole de Dieu a tant de mal à prendre racine !

Elle essaie, elle essaie désespérément, et les débuts sont toujours prometteurs. Puis tout à coup, les racines encore fragiles rencontrent le roc, et la graine s'épuise en vain !

Qui aurait pensé qu'il y avait si peu de terre ? Vienne maintenant un coup de chaleur, et tout grille en une matinée. Nous sommes "les hommes d'un moment" : ensuite, lorsque surviennent une épreuve ou une persécution à cause de la parole, aussitôt nous achoppons. La graine était excellente : rien ne peut mieux ensemencer notre cœur que la parole de Jésus ; mais nous manquons de profondeur, et cette parole, qui voudrait germer en nous, rencontre tout de suite la couche plus dure de nos refus, de nos peurs, de nos tristesses.

Et tout cela était prévisible : pour que la graine résiste, il faut de la terre, et si nous voulons la fidélité, il nous faut de la profondeur. Or la terre profonde semble toujours, dans un premier temps, la plus stérile et la plus ingrate, ou du moins la plus lente à produire. La graine s'y enfouit, et longtemps on la croit perdue. En fait, on avait raison de lui faire confiance, car elle a germé dans le secret, elle a développé lentement tige et racines ; et quand le blé en herbe sort au grand jour, il est déjà fort et se moque du soleil.

Ce n'est pas facile d'être une terre profonde, car il faut attendre longtemps les fruits et s'habituer aux longues patiences de Dieu. Dans la rocaille, l'herbe vient vite, mais la moisson ne vient jamais.

Qui peut transformer notre roche ? Qui peut enraciner l'appel de Dieu jusqu'à l'intime de nos désirs, de nos projets, de nos joies ?

Seul l'Esprit Saint, l'Esprit du Père et du Fils, peut réaliser en nous cette œuvre de vie, l'Esprit qui nous est donné "pour que nous connaissions les dons que Dieu nous a faits".

 "Choisissez", dit en quelque sorte le Seigneur. La graine est bonne, toujours bonne ; ce n'est pas elle qu'il faudra accuser, car elle vient de Dieu.

"Choisissez", il est encore temps :

Quelle terre voulez-vous être ? Voulez-vous être les hommes d'un moment, ou les hommes de la durée ? Voulez-vous les succès rapides, ou les moissons fortes qui permettent d'autres semailles ? Voulons-nous paraître, ou nous cacher en Dieu ?"

Méditation lue sur Hozana ce matin.

 

♣♣♣

 

Extrait :

 

 [...] "Cependant, la question du rythme d’émission doit également être prise en compte. L’espèce humaine se distingue par la rapidité avec laquelle elle transforme le carbone du sous-sol en carbone atmosphérique, ce qui ne laisse pas le temps aux mécanismes naturels de régulation – tel le cycle carbonate-silicate, par lequel le carbone atmosphérique est précipité au fond des océans – de jouer leur rôle. En d’autres termes, laissée à elle-même, la nature ne parviendra pas à endiguer le réchauffement climatique.

 

Si l’histoire peut servir de guide, ce dernier entraînera une hausse conséquente du niveau des océans (cette hausse fut de 60 mètres à la fin du Permien). Sur la terre ferme, de nombreuses régions atteindront périodiquement des températures impropres à la vie, ce que Steven Sherwood et Matthew Huber appellent une limite d’adaptabilité au changement climatique due au stress de la chaleur (heat stress). Ceci entraînera la mort de nombreux animaux et, à moindre raison, des plantes qui y habitent (les plantes étant plus résistantes)."

 

https://laviedesidees.fr/Tous-les-soirs-du-monde.html

 

 

 

 

 

 

26/01/2020

Les chiens mordeurs ♣♣♣ La vie d'une commune ♣♣♣ L'arbre rond

Effet de meute, quels sont les chiens qui ont mordu la victime ?

Le chien qui a été accusé était celui de la victime et ne serait pas coupable. Il s'agirait des chiens de la meute constituée pour la chasse à courre.

Parmi ces chiens de meute, frustrés de ne pas avoir attrapé la biche ou le sanglier convoités, quelques-uns s'en seraient pris à la jeune femme qui promenait le sien dans la forêt. Depuis, le chien déclaré coupable vit un martyr car il est constamment enfermé.

Le système veut que pour délivrer ce probable innocent il faille un avocat.  Et les avocats pour défendre leur client demandent beaucoup d'argent.

Ceux qui veulent sauver le chien doivent passer par l'incontournable machine à sous que représente un avocat pour les gens pas assez riches pour le payer. Ceux-ci ont donc voulu créer une cagnotte et là aussi, ça peut être compliqué. ici : l'article 

Le Parisien quant à lui n'est pas convaincu de l'innocence du chien.

"Le comportement du chien accompagnant la jeune femme enceinte, retrouvée morte le 16 novembre dans l’Aisne, interroge. Selon nos informations, il a depuis attaqué, le soir même, le compagnon de la victime, puis une bénévole du refuge où il a été enfermé."

Comment un chien domestiqué peut-il devenir agressif ? Une question de génétique de l'animal ? Ou est-ce plus complexe ?

 

♣♣♣

 

La vie d'une commune au quotidien. Je suis :

 

http://vanvesauquotidien.hautetfort.com/

 

♣♣♣

 

Les arbres ne demandent pas qu'on les remarque, pourtant les humains leur décernent un label pour les remercier de se distinguer en bien. Serait-ce de l'anthropomorphisme, gracieux pour le coup, appliqué au végétal ? L'association A.R.B.R.E.S. récompense en effet certains arbres du label "remarquable", un titre de noblesse pour arbres. 

On a planté un nouvel érable sycomore à Beugin annonce La Voix du Nord, en espérant qu'il obtiendra le label d'arbre rond et remarquable.

 

Les esprits chagrins diront que "cela lui fera une belle jambe". Comme on dit si bien, être superstitieux porte malheur.

 

 

 

 

06:44 Publié dans Lecture, Note | Lien permanent | Commentaires (0)