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27/08/2011

Le proverbe en question

Un petit extrait de Cœur solide qui vient remettre les pendules à l’heure au sujet de l’image du zébu maigre, évoquée dans le proverbe : le zébu maigre n’est pas léché par ses congénères. Le proverbe exprime en général la perception intellectuelle d’un certain état de chose, de la part d’un observateur plus ou moins avisé ; ce qu’il révèle de son auteur, de sa vision des choses, le degré avec lequel appréhender ce qui est dit, les indices comme le ton à relever pour déceler les intentions réelles, les malentendus qui peuvent découler d’une interprétation au pied de la lettre, tout cela vaut la peine qu’on y prête attention. Le proverbe du zébu n’est démenti aujourd’hui à mes yeux que sur le plan littéral qui ne fait plus sens. Les constatations médicales ne contredisent pas hélas la métaphore sur sa signification à propos du rejet du pauvre. L’extrait :

 " Il fut un temps où l’embonpoint, voire l’obésité, était un symbole de réussite sociale, de santé, de séduction et de fertilité. Jusqu’à la fin du XIXe siècle, la minceur était synonyme de maladie ou de maigres revenus. Même dans le domaine de l’assurance vie, la grosseur était considérée comme une forme de protection contre la maladie.

Qu’en est-il aujourd’hui ? L’obésité est devenue un problème de santé publique : elle touche toutes les tranches d’âge et tous les milieux socioculturels et professionnels […] l’obésité est considérée comme une épidémie par l’OMS (Organisation mondiale de la santé). Dans le monde, 300 millions d’adultes sont en surcharge pondérale ; la majeure partie d’entre eux souffrent de pathologies liées à leur poids. Le tiers des personnes en surpoids vivent dans des pays en développement." P. 24 de Cœur solide Édition de France Loisirs, Paris.

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25/08/2011

Les infos

Reconnexion aux infos tout à l’heure ; il faut savoir se ménager, je me suis donc contentée d’un documentaire sur les amphibiens qui passait sur la 5, vers 11 heures. « Tout doux » en somme mais en fait, c’était édifiant. Les scientifiques abordaient, entre autre, avec leur logique habituelle, la question de l’identité sexuelle chez les amphibiens qu’ils étudient en tant que baromètre du niveau de pollution environnemental. On y a montré un amphibien génétiquement mâle portant des œufs dans ses testicules. À cause d’une substance polluante, l’animal était en train de changer de sexe et le scientifique avouait qu’il ne savait plus s’il fallait dire il ou elle en parlant du singulier sujet en question. J’avais vaguement abordé dans une note récente la question des tenues vestimentaires etc.qui semblent déterminer le degré de féminité ou pas dans la perception qu’on en a aujourd’hui. J’y ai repensé quand le scientifique a déclaré tout net à propos d’un autre ranidé en difficulté «  Il est génétiquement mâle, il ne devrait donc pas se comporter comme une femelle. » Chez les amphibiens ces questions d’identité sexuelle floue ne ressortent évidemment pas d’une perception des choses et d’eux-mêmes, encore moins d’un choix quelconque, mais sont dues aux perturbations causées par la pollution de l’eau, leur habitat. Les lentilles d’eau qui se compactent à la surface des rivières, les algues envahissantes sont des indices de fortes pollution concernant les rejets de pesticides, engrais chimique, de fosses septique contenant des résidus de médicaments etc. Les amphibiens, dans leur manière d’évoluer, de résister ou pas renseignent les scientifiques sur ce qui est à craindre pour les hommes. Ne ménageons pas nos efforts pour une planète plus propre, voilà leur message en substance. Merci les scientifiques pour ce travail !  

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24/08/2011

Une chanson de Allain et quelques mots

Pas d’infos avant ce soir aujourd’hui. Jour de déconnection partielle afin de privilégier une activité nommée "substitut de sauna à répétition". J’en ai pris un dès potron-minet, effectuant en vélo, enveloppée dans diverses couches de vêtements dont l’un à capuche, la montée d’Hinges avant de descendre sur les chapeaux de roue vers Oblinghem et bifurquer ensuite sur Annezin pour rejoindre Béthune, ce sous un petit crachin agréable. Second bain de vapeur, celui-là involontaire, en me rendant ensuite dans un commerce. Le vendeur m’a réclamé d’un ton à la fois mondain et revendicatif un papier. Un ton, une attitude, qui transpirait le parisianisme provocant.

 

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