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12/10/2013

Concours de beauté

chez les adultes le concours de beauté, c'est pas dévastateur comme chez les petites filles, quoique l'idée en soi du point de vue féministe laisse un peu à désirer, mais bon, les gens ont bien le droit de s'amuser comme ils veulent après tout, c'est ça aussi la liberté. J'ai lu ceci dans Vocable à propos du concours de beauté de cette année :

 

"quelques moments après avoir remporté la couronne de Miss América 2014, Nina Davuluri a dit combien elle était ravie que le concours presque centenaire ait été le théâtre de beautés et talents de toutes sortes. Miss America, âgée de 24 ans est la première candidate d'origine indienne à devenir Miss America. À peine le diadème était-il posé sur sa tête qu'un déluge de tweets racistes inondait Internet. Le concours de beauté à démarré à Atlantic City en 1921, comme moyen de prolonger la saison touristique d'été d'un week-end supplémentaire."

 

On ne s'étonnera plus après ça qu'il y ait des gens pour programmer physiquement leur bébé. Quoi ? "Un déluge de tweets racistes" : "sooner had the tiara been placed atop her head than a barrage of racist tweets flooded the Internet". Ils sont nombreux à tourner du chapeau en ce cas. Ma foi,  tout ça n'est pas signe d'intelligence, ni de paix non plus. Les deux pourraient bien aller ensemble ici, vous ne trouvez pas ?  

16:52 Publié dans Lecture, Note | Lien permanent | Commentaires (0)

par rapport à l'article précédent du "bébé à la carte"

Je signale, concernant le post précédent, que la version en français se trouve en dessous. Je vous délivre mon commentaire à son sujet par les quelques mots qui suivent.

 J'ai un peu de mal à croire que d'aucuns tronquent ce progrès scientifique permettant d'éviter handicaps et maladies, par leur désir d'assouvir des fantasmes quant à leurs goûts esthétiques tout à fait personnels. Là encore, on croit rêver. À la chartre des droits de l'homme, il faudrait donc ajouter d'urgence celle de ses devoirs. Le droit a pour corolaire le devoir plus sûrement encore que la liberté a pour corolaire l'angoisse chez l'enfant mais si on lui retire complètement la chance d'avoir son physique naturel, (sa  beauté à lui ou elle, un charme qui l'aurait peut-être plus intéressé que la façade standard reçue d'office comme un uniforme), alors il risque vraiment de se fâcher plus tard contre ses géniteurs abusifs. Elle est pourtant si belle cette découverte scientifique qui consiste à la base à éviter la maladie, trop belle pour que l'envie de la salir ne se fasse pas sentir chez certains  qui sont pourtant reconnus sains d'esprit par notre société moderne. Du coup la question est : qu'est-ce que nous considérons aujourd'hui comme sain et malsain au fond ?  

Parmi les droits dont on abuse, celui de nourrir les vaches n'importe comment :

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09:04 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

10/10/2013

Intouchable Pote : le pouvoir ne se prend pas, il se partage

"De 1976 à 1979, il fut le Premier ministre d’un Cambodge qui s’appelait alors Kampuchéa démocratique.

Le programme d'étude sur le génocide cambodgien de l'Université Yale évalue le nombre de victimes des

politiques de son gouvernement à environ 1,7 million de morts, soit plus de 20 % de la population de  l'époque."

Il y avait hier soir une émission sur le massacre perpétré par les kmers rouges contre le peuple cambodgien  ; je n'ai pas eu d'autre choix bien que le sujet m'intéresse, (nous sommes tous concernés par  ce genre de catastrophe), de m'endormir devant la télé, trop épuisée que je suis souvent à cette heure.  Les catastrophes s'enchaînent à un rythme effréné : la Syrie, les marées humaines qui déboulent dans le faux paradis de l'occident, les noyades d'enfants. Le politique aujourd'hui encore, dégrade l'humain sinon le tue, pas le moindre respect de la personne, l'intérêt privé étant prioritaire tant pis pour les dégâts collatéraux. De surcroît, nombre de gens, censés être adultes, qui demandent aux  diverses instances en place, laïques ou religieuses, de  tout penser pour eux et se délestent du même coup de réfléchir positivement. Ils délèguent ainsi de super pouvoirs à des fous de pouvoir, ces véritables fous à qui l'on donne la possibilité de tout foutre en l'air. Nous devons devenir, peu ou prou, des intellectuels pour pouvoir nous défendre nous et ceux qui sont sous notre responsabilité et, si possible, ne pas nous laisser isoler car les prédateurs sont féroces. Le pouvoir ne se prend pas, il se partage.  

 

 

10:13 Publié dans Lecture, Note | Lien permanent | Commentaires (0)