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10/10/2013

Intouchable Pote : le pouvoir ne se prend pas, il se partage

"De 1976 à 1979, il fut le Premier ministre d’un Cambodge qui s’appelait alors Kampuchéa démocratique.

Le programme d'étude sur le génocide cambodgien de l'Université Yale évalue le nombre de victimes des

politiques de son gouvernement à environ 1,7 million de morts, soit plus de 20 % de la population de  l'époque."

Il y avait hier soir une émission sur le massacre perpétré par les kmers rouges contre le peuple cambodgien  ; je n'ai pas eu d'autre choix bien que le sujet m'intéresse, (nous sommes tous concernés par  ce genre de catastrophe), de m'endormir devant la télé, trop épuisée que je suis souvent à cette heure.  Les catastrophes s'enchaînent à un rythme effréné : la Syrie, les marées humaines qui déboulent dans le faux paradis de l'occident, les noyades d'enfants. Le politique aujourd'hui encore, dégrade l'humain sinon le tue, pas le moindre respect de la personne, l'intérêt privé étant prioritaire tant pis pour les dégâts collatéraux. De surcroît, nombre de gens, censés être adultes, qui demandent aux  diverses instances en place, laïques ou religieuses, de  tout penser pour eux et se délestent du même coup de réfléchir positivement. Ils délèguent ainsi de super pouvoirs à des fous de pouvoir, ces véritables fous à qui l'on donne la possibilité de tout foutre en l'air. Nous devons devenir, peu ou prou, des intellectuels pour pouvoir nous défendre nous et ceux qui sont sous notre responsabilité et, si possible, ne pas nous laisser isoler car les prédateurs sont féroces. Le pouvoir ne se prend pas, il se partage.  

 

 

10:13 Publié dans Lecture, Note | Lien permanent | Commentaires (0)

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