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08/08/2017

Une succulente leçon de vie ♣♣♣ Qi gong et humour

 

Film vu ce soir en DVD.

 

 

Le film réalisé par Lasse Hallström, et qui s'intitule Le chocolat est mémorable. C'est une fable tout en légèreté qui traite cependant de choses parfois graves ; une subtilité formidable permet d'éviter le pesant de soucis qui  ne manquent pourtant pas de lourdeur quand on y est confronté : l'ostracisme, la femme battue, la mère abusive... ces thèmes y sont traités et pourtant le plus souvent on sourit. Les catholiques sont un peu bousculés dans cette fable, mais c'est pour la bonne cause. La religion y est montrée sous son côté "mère abusive", mais à la fin le jeune prêtre rattrape les bêtises du comte, comte qui peu à peu lui-même prend conscience des inepties qu'il commet à l'encontre de "l'étrangère",  jouée par Juliette Binoche, la chocolatière.  Ce jeune prêtre en effet est enfin inspiré lorsqu'il prononce le prêche de réconciliation, et c'est "Ouf!" pour tout le monde, dans le sens du cœur qui s'allège chez les villageois culpabilisés. Si j'avais à donner une note à ce film, elle serait de 10 sur 10.

Mais où a-t-il été tourné ce film haut en couleur ? aux couleurs plus exactement des années 50. Tout y respire la plénitude d'un village de ces années-là, épargné même par les câbles électriques  voyants par exemple. Après de courtes recherches sur la toile, j'ai appris qu'il avait été tourné à Theuville, à moins de cinquante km de Paris ! Étonnant ! Theuville :

 

http://www.leparisien.fr/theuville-95810/theuville-le-vil...

 

♣♣♣

 

Qi gong et humour,  ici :

 

 

 

09:51 Publié dans cinéma | Lien permanent | Commentaires (0)

05/11/2014

La mauvaise réputation

Je me promets de regarder ce film ce soir. J'en ai visionné le début, environ cinq minutes, c'est pas mal !

 

 

Oui Brassens à son côté cruel, sans doute du fait que son existence était de celles  que des moralistes, peu soucieux de l'équilibre du jeune Brassens, trouvaient dérangeantes, gens "de bien", qui ne se gênaient pas pour le lui faire sentir...  sa mère étant veuve d'un homme victime de  la guerre 14/18. Brassens a défendu sa peau. Il s'est bien débrouillé.   

13:40 Publié dans cinéma | Lien permanent | Commentaires (0)

01/08/2014

Quinze jours ailleurs : le film vu ce soir

un film de Didier Bivel. Qui remet en question les priorités sociales des contemporains, pointe du doigt le contact humain mis à mal dans la société d'aujourd'hui et où l'on voit un personnage de femme, Hélène,  dérivant mentalement, jouée par Judith Chemla. Dans d'autres sociétés comment soignerait-on son mal ? Par exemple chez les Indiens, du temps où ils pouvaient vivre selon leurs valeurs, leur culture. À un moment donné, un petit chien qu'elle nomme Médoc arrive à point nommé pour une relation de confiance, chaleureuse. Se pose la question de la famille d'Hélène, qui donne des signes de non amour  à l'égard de celle-ci. Où l'on voit dans cette histoire qu'Hélène est un temps "couvée" à en étouffer dans un service psychiatrique coupé des réalités sociales qui concernent leur patiente, et auxquelles elle sera à coup sûr âprement confrontée après avoir été relâchée sans travail dehors, autrement dit sans moyen pour se défendre,  d'autant moins qu'elle n'a plus de famille si tant est qu'elle en ait jamais eu une, cela on ne le sait pas. Un film qui pose question, plus subtilement que Vol au-dessus d'un nid de coucou. Et très bien interprété : belles actrices non narcisso (ce qui libère l'espace de réflexion, me concernant en tout cas) et Didier Bourdon en grand acteur. En fait tout le monde a bien joué son rôle dans ce film.

22:07 Publié dans cinéma | Lien permanent | Commentaires (0)