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09/04/2008

Proust

« Pour qu’il y ait art, selon Proust, il faut que la réalité racontée soit réfractée par la subjectivité de l’artiste. »

Coquelicot 2007, ICI

06:24 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)

08/04/2008

Bonnes questions

 ...

1- Justice:

Organiser sur des bases juridiques solides les relations des peuples.

Peut-on organiser les relations internationales de manière à obtenir la solution des conflits par voie juridique et civilisée?

Les passions humaines ont-elles eu raison de l'idéal de Progrès que constituait à sa signature le projet de la Charte de l'O.N.U le 26 juin 1945 à San Francisco?

2- Droit:

Si objectivement, c'est l'ensemble des principes et des règles destinés à assurer la justice entre les hommes qui vivent en société et que, subjectivement, c'est le pouvoir moral de faire, de posséder ou d'exiger quelque chose, ce droit est inviolable, universel, inaliénable, exigible par la force :"Il faut mettre ensemble la justice et la force et faire que ce qui est juste soit fort et que ce qui est fort soit juste," dixit Pascal.

A condition de comprendre ce que tout cela sous-entend et sous-tend...

Lire intégralement ICI

08:28 Publié dans Droit | Lien permanent | Commentaires (0)

07/04/2008

Toi qui chemines

"Tout l'esprit de La Méthode tient dans ces vers lumineux du poète espagnol Antonio Machado, cités dès les premières pages : « Caminante, no hay camino, el camino se hace al andar. » « Toi qui chemines, il n'y a pas de chemin, le chemin se fait en marchant. » En fait de méthode, il est ici question d'une recherche, d'une enquête et d'une quête de méthode, tendues vers un objectif un peu fou : dé-cloisonner, dé-compartimenter le savoir humain. « Il y a un vice dans notre façon de penser, écrit Edgar Morin. Plus les connaissances s'accumulent, moins le monde devient compréhensible [...]. Ce qui nous manque le plus, ce n'est pas la con­naissance de ce que nous ignorons, mais l'aptitude à penser ce que nous savons. » Comment donc, s'interroge-t-il au fil des six volumes de La Méthode, relier la société et la nature, l'homme et le cosmos, les sciences humaines et les sciences naturelles ? Comment interféconder physique, biologie et philosophie ? Morin nous embarque dans une méthode anticartésienne pour cons­truire sa « théorie de la complexité » : il chemine, hésite, s'attarde, n'élimine ni désordres ni hasards. « Contrairement à l'opinion courante, écrit-il, la connaissance progresse en intégrant en elle l'incertitude, non en l'exorcisant.» C'est ici

05:19 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)