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19/11/2016

Vu ce matin ♣♣♣ lu ce matin, une dont j'aime la littérature bien souvent ♣♣♣ Le gaz de schiste

 Comme c'est gracieux ce que l'on voit sur cette vidéo... De plus, nul besoin de se contorsionner dans tous les sens comme parfois le yoga haut niveau semble le laisser croire. Ici, c'est également de très haut niveau du point de vue de l'élégance, et d'autant plus gracieux que c'est accessible à beaucoup de monde... Merci à eux !

 

C'est ici :

 

https://www.youtube.com/watch?v=7m4Mi-CNQ-o&feature=e...

 

♣♣♣

 

Témoignages toniques de Maryse. Extra white ou extra black, qu'importe,  paradoxalement grâce, selon elle, (car elle ne l'aime pas beaucoup), à la technologie, elle a souri aux infirmières. Au sujet des infirmières, j'ai appris un jour en surfant sur le Net qu'il en est une, célèbre, mais ma mémoire en convalescence n'a pas pu encore retrouver son nom, qui est morte d'épuisement. Toutefois, je crois que des patients aussi peuvent mourir d'épuisement, donc restons attentifs à mettre de l'eau dans notre vin qui ne sera pas fait de raisin de la colère du coup,  celle-ci étant très néfaste pour la santé.

 

Maryse, ici :

http://tisanesplaisir.hautetfort.com/archive/2016/11/17/je-fais-amende-honorable-5875587.html

 

♣♣♣

 

Les méfaits du gaz de schiste, pas le temps de mettre la traduction. C'est ici :

 

http://www.sierraclub.org/sierra/green-life/not-pretty-pi...

04:15 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

17/11/2016

Traqué par un couguar... ou un puma ? ♣♣♣ Le toucher empathique

"C'était le soixante-dix-neuvième jour de ma randonnée par le chemin des crêtes du Pacifique. Je suis arrivé à Stover Spring, dans la forêt nationale de Lassen juste au moment où le soleil descendait. Je remarquai un couple de randonneurs prenant leur repas près d'un petit feu, de l'autre côté du ruisseau, et bien que j'avais marché plus de 27 miles, je n'avais pas soif et étais pourvu en eau ; je marchai encore un demi-mile jusqu'au sommet d'une crête boisée.

Je trouvai une clairière parmi les arbustes pour installer ma tente et  préparai quelques macaronis au fromage. Tandis que je mangeais, j'entendis un grand nombre de gémissements dans les buissons pas loin de moi. Clairement, un grand animal — un cerf, pensai-je, ou peut-être un ours. Je frappai ma gamelle avec ma cuiller puis hurlai, ensuite je rejoignis ma tente et commençai à écrire mon journal. J'étais heureux d'avoir atteint la moitié de mon parcours de 2 650 miles cet après-midi.

 

Les bruits persistèrent — des gémissements, un étrange mélange d'aigus et de graves, comme un faible sifflement de train. Je braquai ma lampe au-dehors et vis la lueur jaune de yeux, plutôt éloignée. Je fis plus de bruit et il retourna d'un bond dans les bois, à quelque 30 mètres plus loin.

 

J'essayai de me rendormir, mais en vain. En dépit de tout, il continua à faire le tour de ma tente pendant des heures. Je criais, sifflais, frappais sur ma gamelle, j'ai même passé plein pot Tom Petty sur mon téléphone.

 

Ensuite, j'entendis quelque chose arriver en courant en direction de ma tente et s'arrêter dans un glissement.

 

Il était une heure vingt du matin et tout cela  commençait à me faire peur."

 

Je résume la suite car je n'ai pas le temps pour traduire le reste littéralement. Notre héros hésite. Que faire ? Se blottir dans la tente en continuant de faire du bruit ou lever la camp pour rejoindre des humains qui à cette heure glaciale lui manquaient beaucoup, mais cela impliquait de "menues taches" à remplir : plier la tente et refaire les bagages, car il ne voulait pas partir dépouillé de tout dans cette immense forêt. Il songea aux deux gars qu'il avait vus près du ruisseau et décida de redescendre un demi-mile plus bas où ils se trouvaient. Pour sortir de la tente, il prit soin de toujours braquer de la lumière autour de lui et de continuer à faire du bruit tout en remballant les diverses choses qui composaient son campement.  Il affronta ensuite la sombre forêt absolument silencieuse, toujours quant à lui,  faisant du bruit, sifflant et chantant, et dix minutes plus tard repéra enfin le campement des deux hommes. Il ne voulait pas les réveiller, monta sa tente en silence et c'est à se moment-là qu'il repéra en train de l'observer, à 30 mètres de lui, un chat énorme...

Ils s'en sont tirés. Un expert pense qu'il s'agissait peut-être d'une femelle qui protégeait ses petits à l'endroit où notre héros avait choisi de monter sa tente. Il pense également que ce comportement de traque sans attaque est très inhabituel de la part de ce genre de félins... qui ne sont pas des chats mais plutôt des fauves et que le randonneur a eu la réaction intelligente en rejoignant d'autres humains. Seul il aurait fini par être attaqué, pense-t-il, à deux probable que l'attaque aurait fini par avoir lieu, mais trois hommes l'ont fait renoncer. En voilà un qui l'a échappé belle !

 

Stalked by a Cougar

It was day 79 of my Pacific Crest Trail thru-hike. I got to Stover Spring in Lassen National Forest just as the sun was going down. I noticed a couple of hikers eating dinner by a small fire across the creek, so even though I'd walked more than 27 miles, I filled up on water and hiked another half mile to the top of a wooded ridge.

I found a clearing in the shrubs to set up my tent and cooked some mac and cheese. While I was eating, I heard a lot of rustling in the brush nearby. Clearly a large animal—deer, I thought, or maybe a bear. I banged my pot with my spoon and yelled, then got in my tent and started writing in my journal. I was happy to have passed the halfway point of my 2,650-mile trek that afternoon.

The noises persisted—moaning noises, a strange mixture of high pitched and low, like the faint whistle of a train. I shined my light outside and saw the yellow glow of eyes, rather far apart. Bear, I figured. I made more noise, and it leapt back into the woods, maybe 30 yards away.

I tried to sleep but couldn't. Whatever it was kept circling the tent for hours. I yelled, whistled, banged my pot, even played Tom Petty on my phone at full blast. Then I heard something running toward my tent and skidding to a stop.

It was 1:20 A.M. This was starting to freak me out.

 

Source : Greenlife du jour

 

♣♣♣

 

Le toucher empathique peut se pratiquer sur autrui bien sûr, les proches,  mais aussi une simple poignée de mains à un étranger qui vous  tend la sienne (se serrer la main autrement dit), est déjà de l'ordre du toucher empathique.

Le toucher empathique sur soi-même par massages et tapotements, peut aussi se pratiquer de façon presque savante lorsque vous touchez et stimulez sciemment des points d'acupuncture. Par exemple, avec cette vidéo

: https://www.youtube.com/watch?v=Ac08kMK-dyI

 

 

 

12:53 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0)

16/11/2016

Political climate

 

 Le climat politique est plus tendu que jamais aux États-Unis, depuis l'élection du président Trump, surtout chez ceux qui ont une conscience aigüe de l'urgence concernant le changement climatique. J'ai traduit quelques mots du post de Michael Brune, daté d'il y a quelques jours ; il est Directeur de l'exécutif du Sierra Club, une association d'écologistes.

À mon avis,  it's not a very wise move to not listen carefully to these few words of advice.

 

Les quelques mots en question, extrait du post :

 

"Nous ne sommes pas vaincus. Nous sommes déterminés.  Il est important de se rappeler que des millions et des millions d'Américains — une majorité d'électeurs, en fait — ont résisté à l'ignorance de Donald Trump, à sa misogynie et à son racisme.

 

Ces mêmes millions vont se lever tous les jours pour s'assurer qu'il ne peut pas revenir sur les progrès que nous avons faits ces dernières années. 

 

Ne vous méprenez pas — l'élection de Donald Trump pourrait être dévastatrice pour notre climat et notre avenir.

 

Donald Trump a maintenant la distinction peu flatteuse d'être le seul chef d'État dans le monde entier à rejeter le consensus scientifique concernant la responsabilité de l'humanité dans le changement climatique.

Faire campagne est une chose. Gouverner en est une autre. Trump doit choisir s'il veut qu'on se souvienne de lui comme d'un président ayant remis l'Amérique et le monde sur la voie du désastre climatique, ou ayant écouté le peuple Américain, investi dans le secteur de l'Économie des États-Unis qui connaît la croissance la plus rapide — l'énergie propre — et nous a maintenus sur la voie du progrès en terme de climat.

Il doit choisir judicieusement. Sinon, nous pouvons garantir au président Trump qu'il aura le combat le plus dur de sa vie à chaque étape du chemin.

Le nouveau président apprendra aussi bientôt, qu'il y a des choses qu'il ne peut pas changer."

 

Intégral :

http://www.sierraclub.org/michael-brune/2016/11/trump