16/11/2016
Political climate
Le climat politique est plus tendu que jamais aux États-Unis, depuis l'élection du président Trump, surtout chez ceux qui ont une conscience aigüe de l'urgence concernant le changement climatique. J'ai traduit quelques mots du post de Michael Brune, daté d'il y a quelques jours ; il est Directeur de l'exécutif du Sierra Club, une association d'écologistes.
À mon avis, it's not a very wise move to not listen carefully to these few words of advice.
Les quelques mots en question, extrait du post :
"Nous ne sommes pas vaincus. Nous sommes déterminés. Il est important de se rappeler que des millions et des millions d'Américains — une majorité d'électeurs, en fait — ont résisté à l'ignorance de Donald Trump, à sa misogynie et à son racisme.
Ces mêmes millions vont se lever tous les jours pour s'assurer qu'il ne peut pas revenir sur les progrès que nous avons faits ces dernières années.
Ne vous méprenez pas — l'élection de Donald Trump pourrait être dévastatrice pour notre climat et notre avenir.
Donald Trump a maintenant la distinction peu flatteuse d'être le seul chef d'État dans le monde entier à rejeter le consensus scientifique concernant la responsabilité de l'humanité dans le changement climatique.
Faire campagne est une chose. Gouverner en est une autre. Trump doit choisir s'il veut qu'on se souvienne de lui comme d'un président ayant remis l'Amérique et le monde sur la voie du désastre climatique, ou ayant écouté le peuple Américain, investi dans le secteur de l'Économie des États-Unis qui connaît la croissance la plus rapide — l'énergie propre — et nous a maintenus sur la voie du progrès en terme de climat.
Il doit choisir judicieusement. Sinon, nous pouvons garantir au président Trump qu'il aura le combat le plus dur de sa vie à chaque étape du chemin.
Le nouveau président apprendra aussi bientôt, qu'il y a des choses qu'il ne peut pas changer."
Intégral :
10:35 Publié dans informations | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.