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18/01/2017

"Depuis quand aimé-je tant la discrète présence de Marie ?"

 

Je revois mon français ce matin, via une traduction du passage d'un roman écrit en anglais, avec le - e - final qui prend un accent lors de l'inversion. Je ne l'avais pas oublié, à ceci près que j'aurais peut être mis l'accent grave dans une dictée ou alors peut-être écrit "Depuis quand aimai-je tant la discrète présence de Marie", avant de me raviser car le passé simple précédé d'un "depuis quand", ça ne marche pas. Par contre on peut dire "aimais-je vraiment aller là-bas chaque soir ?" Attention de ne pas perdre son latin.

14/01/2017

Les rêves de la rose des vents ou de la rose à la boussole

 

C'est un livre que je dois lire à mon avis, il est écrit par une Russe arménienne qui  migra aux États-Unis en pleine guerre froide, alors qu'elle avait dix ans. Je vous laisse découvrir son nom, en suivant ce lien :

 

https://www.sfsite.com/08a/ro229.htm

05:28 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)

13/01/2017

Nounours aux pieds chauds

 

Le rêve d'hier était-il un "mauvais" rêve. Qu'entend-on par "mauvais" en parlant de rêve ? Le mot "mauvais" signifie que le rêve fut éprouvant, mais il est important de l'accueillir quand même en toute reconnaissance (même si cela prend quelques minutes pour s'en remettre) ... d'autant que le rêve n'a pas de mauvaise intention. Il nous informe de quelque chose quand on s'en souvient. Se souvenir de lui est pour moi le signe d'un message. On voudrait le merveilleux toujours et parfois un grain de sable nous dit que non, nous sommes dans une sphère où ce n'est pas toujours merveilleux et ce grain de sable défie notre égoïsme... merci à lui donc. Merci au rêve d'hier. Il n'est pas revenu cette nuit toutefois, ce qui n'est pas un mal non plus. C'est vrai aussi  que la souffrance doit être combattue.... la souffrance d'autrui que percevaient par les visions cauchemardesques les trois personnages du rêve d'hier. Et pour la combattre il faut combattre notre propre égoïsme, commencer déjà par accepter de voir. Voici, suivant le lien ci-après, un peintre et dessinateur, Kees Van Dongen, qui a posé son regard sur la maladie http://enflanant.hautetfort.com/

Pour me réconforter ce matin, car il n'est pas question de flancher, j'adopte ce mantra (sous ces quelques lignes)  par rapport aux visions du rêve d'hier, et cela ne veut pas dire que je ne compatis pas, ni que j'oublie mon "Notre Père qui êtes aux Cieux". Rester en un seul morceau face aux atrocités de ce monde requiert un certain syncrétisme chez moi, avec le mantra je reste les pieds sur Terre, avec le Notre Père, je regarde là-haut pour me rappeler à Lui. Voici le mantra  :

 

"JE PRENDS REFUGE DANS LE DIAMANT UNIVERSEL.
QUE CE DECHAINEMENT FURIEUX SOIT DETRUIT."

 

Réconfort de "Nounours aux pieds chauds". Il y a sa version anglaise. Lien sous ce court extrait et la peinture du coquelicot, de Kees Van Dongen, qui posa aussi ses yeux sur le Merveilleux :

 

"Et il apparut sous sa véritable forme de

L’OURS SMOKEY

Un bel ours brun-fumé qui se tenait debout sur ses pattes de derrière, montrant qu’il était alerte et attentif."

 

1919-le-coquelicot.1299551168.thumbnail.jpg

http://www.zen-occidental.net/humour/snyder5.html

07:40 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)