01/04/2018
Lecure du jour ♣♣♣ Douai
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
Le même jour (c’est-à-dire le premier jour de la semaine),
deux disciples faisaient route
vers un village appelé Emmaüs,
à deux heures de marche de Jérusalem,
et ils parlaient entre eux de tout ce qui s’était passé.
Or, tandis qu’ils s’entretenaient et s’interrogeaient,
Jésus lui-même s’approcha,
et il marchait avec eux.
Mais leurs yeux étaient empéchés de le reconnaître.
Jésus leur dit :
« De quoi discutez-vous en marchant ? »
Alors, ils s’arrêtèrent, tout tristes.
L’un des deux, nommé Cléophas, lui répondit :
« Tu es bien le seul étranger résidant à Jérusalem
qui ignore les événements de ces jours-ci. »
Il leur dit :
« Quels événements ? »
Ils lui répondirent :
« Ce qui est arrivé à Jésus de Nazareth,
cet homme qui était un prophète
puissant par ses actes et ses paroles
devant Dieu et devant tout le peuple :
comment les grands prêtres et nos chefs l’ont livré,
ils l’ont fait condamner à mort et ils l’ont crucifié.
Nous, nous espérions que c’était lui qui allait délivrer Israël.
Mais avec tout cela,
voici déjà le troisième jour qui passe depuis que c’est arrivé.
À vrai dire, des femmes de notre groupe
nous ont remplis de stupeur.
Quand, dès l’aurore, elles sont allées au tombeau,
elles n’ont pas trouvé son corps ;
elles sont venues nous dire
qu’elles avaient même eu une vision :
des anges, qui disaient qu’il est vivant.
Quelques-uns de nos compagnons sont allés au tombeau,
et ils ont trouvé les choses comme les femmes l’avaient dit ;
mais lui, ils ne l’ont pas vu. »
Il leur dit alors :
« Esprits sans intelligence ! Comme votre cœur est lent à croire
tout ce que les prophètes ont dit !
Ne fallait-il pas que le Christ
souffrît cela pour entrer dans sa gloire ? »
Et, partant de Moïse et de tous les Prophètes,
il leur interpréta, dans toute l’Écriture,
ce qui le concernait.
Quand ils approchèrent du village où ils se rendaient,
Jésus fit semblant d’aller plus loin.
Mais ils s’efforcèrent de le retenir :
« Reste avec nous,
car le soir approche et déjà le jour baisse. »
Il entra donc pour rester avec eux.
Quand il fut à table avec eux,
ayant pris le pain,
il prononça la bénédiction
et, l’ayant rompu,
il le leur donna.
Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent,
mais il disparut à leurs regards.
Ils se dirent l’un à l’autre :
« Notre cœur n’était-il pas brûlant en nous,
tandis qu’il nous parlait sur la route
et nous ouvrait les Écritures ? »
À l’instant même, ils se levèrent et retournèrent à Jérusalem.
Ils y trouvèrent réunis les onze Apôtres et leurs compagnons,
qui leur dirent :
« Le Seigneur est réellement ressuscité :
il est apparu à Simon-Pierre. »
À leur tour, ils racontaient ce qui s’était passé sur la route,
et comment le Seigneur s’était fait reconnaître par eux
à la fraction du pain.
– Acclamons la Parole de Dieu.
Amen.
♣♣♣
Hier je suis allée à Douai, j'ai visité la ville. On y a ménagé une rue piétonne. Pas trop de voitures par ailleurs et ça fait du bien. J'y ai circulé sans stress mais pas longtemps.... juste celui de trouver un parking pour marcher ensuite dans Douai. Une ville qui a dû être très riche du point de vue commerce par le passé, cela se voit encore à la magnificence des édifices.
Ambiance chaleureuse. Les gens sont dans le vivre ensemble à Douai d'après ce que j'ai pu voir dans un café fréquenté par des gens d'origine différente, et tous profondément douaisiens selon mon ressenti : des personnes à l'allure flamande, d'autres au look asiatique, d'autres à celui d'Afrique noire, et d'autres à celui du Maghreb.
Look un peu indien du bonhomme Patrick. Mais dont beaucoup d'ancêtres sont du Nord, quoique pas tous.
Commerce solidaire où l'on peut avoir une coupe pour cinq euros. Mais hier il était fermé.
La rue piétonne peut devenir une aire de décontraction.
Le riche beffroi.
Riches édifices.
Encore le beffroi majestueux.
Toujours sur la boutique solidaire.
J'ai loupé la photo de la salle des fêtes. Une femme s'était proposée pour poser sous le lustre, afin de donner une idée de la taille de celui-ci, hélas l'appareil n'a pas capté la lumière.
09:54 | Lien permanent | Commentaires (0)
30/03/2018
Une remise en question ♣♣♣ Le festival du goéland masqué
Remise en question d'une femme heureuse d'abord ☻, puis plus heureuse encore ensuite ☻☻. J'ai retenu notamment la remise en question des 11 vaccins imposés. Merci à elle pour son témoignage. C'est ici :
http://lejourou130113.hautetfort.com/archive/2018/03/29/j...
♣♣♣
Le festival du Goéland masqué, c'est ici :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Festival_du_go%C3%A9land_ma...
Un extrait de La danse des masques de Jean-François Coatmeur :
"Elle répéta :
— S'il y a quelque chose que je puisse faire pour vous...
Enfouie dans la voix neutre de la grosse fille, une immense pitié. Un cœur brûlait sous l'enveloppe ingrate, le cœur de Charley*.
— Merci. Il faut que je parte.
Il la laissa brusquement, sortit, rattrapa en courant la 4L, salué par les trompettes discordantes des volatiles*. "
* Charley est le père de la "grosse fille."
* le fuyard est allé demander du secours à Charley. Ce Charley élève des paons. Il est un marginal.
La danse des masques de Jean-François Coatmeur a été publié chez Albin Michel.
09:41 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)
29/03/2018
le flirt ou le filtre ? ♣♣♣ La coulée verte
Extrait d'un article de Global sur la guerre au Yémen :
"Coming March 26, 2018 Saudi Arabia will have been at war with impoverished Yemen for a punitive 3 years.
Three years of an implacable and murderous military campaign that witnessed the death of over 15,000 people – of which mostly unarmed civilians; saw the destruction of civilian infrastructures to the point where Yemen’s health and sanitation systems have all but collapsed; and architected a humanitarian blockade that led to a grand famine and the spread of diseases.
Yemen’s 26 million people are in a race against time for powers greater and richer than their own seek to impose their will, and their design onto a nation whose only ambition has been to stand free, sovereign and independent.
Yemen has become a terrible statistic – one of death, misery, hopelessness and devastation.
Yemen one would argue exists beyond all manners of contention … when an entire nation sits on the verge of famine, plagued by pestilence, it skies darkened by warplanes, politics quickly becomes irrelevant. And yet, politics we have been told has demanded that more violence still be spent on a people whose lives are but hanging by a thin thread.""
Le filtre de la langue anglaise aide quand les informations sont catastrophiques.
Voici ce poème qui fera ici office de "commentaire" à la catastrophe de la guerre au Yémen :
If my heart could do the thinking
And my head begin to feel
I'd look upon the world anew
And know what's truly real
~ Van Morrison
♣♣♣
La coulée verte. Me renseignant sur le 15è arrondissement de Paris, j'ai lu quelque chose dont j'avais déjà entendu parler. Une ligne de chemin de fer, concurrencée par le métro, formant ou desservant "la petite ceinture", désaffectée depuis un certain temps devient Parc linéaire, Espace Vert, ouvert au public.
Ici : ☻ ☺
11:43 | Lien permanent | Commentaires (0)