05/04/2018
Avé Maria ♣♣♣ Une américaine chante en français sur le blues des trains ♣♣♣ Carla Maffioletti
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Martin Luther King : aujourd'hui on le célèbre pour tout ce qu'il a fait pour la cause de l'humanité. Voici quelqu'un d'autre, du même pays : une américaine qui chante le blues, la musique inventée par les noirs américains. Donc après l'émouvante Madeleine, voici l'émouvante Madeline :
Il m'a été impossible de mettre Martin Luther King en large vignette. L'important est de penser à lui.
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Et toujours le même Avé, cette fois chanté par Carla Maffioletti. Marie est une grande inspiratrice, et ceux et celles qui la chantent avec amour sont nombreux.
09:22 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
les photos prises hier ♣♣♣ Le curé d'Ars
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"Jean-Marie Vianney (Curé d’Ars)
Si on vante un de vos amis et que l’on ne dise rien de vous, vous en êtes contristé. Si vous voyez quelqu’un qui se soit converti et qui fasse de rapides progrès dans la vertu, qui en peu de temps soit arrivé à un haut degré de perfection, cela vous fait de la peine de vous voir en arrière. Si on le loue, vous en éprouvez du chagrin et vous dites: Oh, Mais il n’a pas toujours été comme ça… Il était bien comme les autres. Il a fait telle faute, et puis telle faute… Tout cela est de l’orgueil.
Jean-Marie Vianney curé d’Ars, Pensées (coll. Poche/Artège, 2015)"
Lu sur le site Jubilate Deo.
Tout à l'heure je me suis rendue jusque la gare de Lens déposer mon ami, en raison de la grève des trains. Au retour, je n'ai pas pu prendre ma direction habituelle à cause des travaux. J'ai donc suivi le seul panneau qui m'indiquait une direction, celle d'Arras, pensant retrouver une direction de Béthune ensuite. J'ai dû louper quelque chose, car très vite, plus de panneau d'une quelconque direction, même plus celle d'Arras, je me retrouvai en deux temps trois mouvements face à l'auto-route de Paris. Obligée de la prendre étant donné que je ne pouvais pas faire demi tour, tout étant à sens unique. Je la prends, je vois ces grands panneaux bleus, géants, indiquant Paris. Je suis du coup dans un état second qui m'évite la colère, tout en restant très à ma conduite. La barrière d'accès à l'autoroute m'avait délivré un ticket, lorsque j'en sors à la première bretelle venue, nouvelle barrière baissée ; je mets mon ticket dans une fente, mais rien ne se passe, la barrière reste baissée. Je sors car derrière il y a déjà une file de voitures en attente. Je dis au conducteur juste derrière mon véhicule quelque chose du genre : "Écoutez monsieur, je me suis retrouvée sur l'autoroute par inadvertance, juste en suivant un panneau Arras (NP : de couleur verte et pas bleue nom d'un chien), d'habitude je sais éviter les autoroutes, là je ne sais pas ce qui s'est passé... il y a des travaux qui m'ont obligée à contourner...." Bref je lui résume la situation : que c'était pour moi juste une formalité de déposer quelqu'un à Lens et que de ce fait, je n'ai pas un maravédis pour payer le tronçon d'autoroute pris sans le vouloir. Il met un euro dans l'une des fentes, la barrière se lève enfin. Avant que l'homme ne s'en aille, je lui ai dit, comme ça tout naturellement "Dieu vous bénisse." Je reprends la direction de Lens, à nouveau je suis dans une bretelle, il est indiqué qu'il y a une déviation et qu'il faut contourner par la ville d'Avion. Aucun automobiliste ne suit ce panneau, moi non plus, et tous en un seul bouchon, nous continuons vers Lens, vaille que vaille. Un bouchon qui permet quand même d'avancer à petite allure. Me revoilà dans le secteur de Lens, disons, sa banlieue ou plutôt ses quartiers excentrés. "Traumatisée" par mon aventure cauchemardesque des grands panneaux bleus indiquant Paris tout à coup (sans qu'on ait rien demandé), je ne prends plus de direction indiquée sur grand panneau vert, en cette terre inconnue, mais suis le petit panneau "centre Lens", sur fond blanc. J'arrive dans le centre de Lens que je connais très peu, n'allant à la gare que de temps à autre, et encore, rarement. Je tourne dans Lens pour retrouver un repère qui m'indiquerait la direction de Béthune. Enfin je crois reconnaître l'endroit où j'ai dû contourner à cause des travaux, cette fois, venant dans l'autre sens, il m'est possible de suivre le panneau Béthune, le seul, que je cherchais avec ardeur : petit, sur fond vert. Je le rappelle, c'est quand ils sont grands qu'il faut se méfier, une autoroute peut surgir à tout moment, du moins dans ce secteur inconnu de moi. Après ne vous avisez pas de faire marche arrière, vous seriez en contre sens, malheureux ! Donc en ces cas-là, rétifs de l'autoroute, sachez qu'il faut prendre cette autoroute quoi qu'il vous en coûte et sortir à la première bretelle qui se présente. Le monsieur que j'ai béni était typé arabe, "avé" l'accent de là-bas. Comme quoi, même dans les cauchemars, il y a de l'inattendu divin : ce monsieur, et moi qui le bénis comme si j'avais toujours fait ça. Du coup, quand j'ai enfin retrouvé le seul petit panneau indiquant Béthune dans la ville de Lens en chantier, j'ai encore remercié en priant. Bref, je suis devenue Bonne sœur. C'est bien plus avantageux que mauvaise sœur... ce que j'ai dû être avant ma re-conversion.
08:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
03/04/2018
Lu ce matin ♣♣♣ Albatros et souris vampires
"Charles Journet
Ne regardez pas le passé, sinon pour tout donner à Dieu. Le don que vous Lui faites maintenant de tout ce qui est survenu dans le passé, et de tout le présent et l’avenir, c’est l’acte du plus grand amour qu’Il nous demande et par lequel vous pouvez réjouir Son cœur.
Charles Journet, Correspondance, dans: Patrice Mahieu, Maîtres spirituels du XXe siècle – Une pensée par jour (Médiaspaul, 2011)
image: Jusepe de Ribera, Saint Joseph et l’Enfant Jésus / détail – Musée du Prado, Madrid, Espagne (cafe.daum.net)"
Sur le site Jubilate Deo
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"La menace qu'ils connaissent concerne leur œuf ou le poussin sur lequel ils sont assis, dit-il. Ils veulent rester là pour le protéger. C'est leur réaction écologique évolutive. "Ayant niché sur l'île depuis si longtemps sans faire face aux menaces de prédateurs, les oiseaux ont évolué sans aucun mécanisme de peur ou de défense, a déclaré le Fish and Wildlife Service dans le communiqué."
The risk that they know is to their egg or chick that they’re sitting on,” he said. “They want to stay there and protect it. That’s their ecological evolutionary response. It’s not to run away.”Having nested on the island for so long without facing threats from predators, the birds evolved without any fear or defense mechanisms, the Fish and Wildlife Service said in the statement.
04:55 | Lien permanent | Commentaires (0)