30/10/2018
Prévenir l'ostéoporose ♣♣♣ conversation des saints : la prière
Encore une vidéo trésor !
Dieu souffle ce qu'il faut faire, dans cette vidéo, pour aider de nombreuses personnes à l'écoute à passer à l'action, à la bonne action à l'égard d'eux-mêmes.
Le miracle de l'évangile d'aujourd'hui, montre Jésus redressant une femme qui se tenait cassée en deux. Il opère ce miracle par la parole, peut-être même pas avec l'imposition des mains. Signe envoyé à tous ceux qui ont la foi.
"Quant à toi, je t'envoie Maryse Lehoux pour te montrer quelques mouvements à faire deux fois par semaine".
Car voyez-vous, être servie sur un plateau tout le temps ce n'est pas un service à rendre.
Si c'était le cas, nous serions dans la logique de la technologie à tout va, qui fait les calculs, et tout le toutim à la place du cerveau humain...
☺
Commentaire après la séance de Maryse : Arrivée à la position "chien tête en bas", je me suis demandé si je faisais correctement la posture. Puis avec la posture du Triangle je me suis posé la même question. Le problème vient de moi, pas de la professeur, qui explicite bien tout comme il faut. Donc je ferai la séance jusqu'au "chien tête en bas" puis, bifurquerai... sur une autre :
https://www.youtube.com/watch?v=3jcV-KO4dV8
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"L'office Divin pendant le jour
Comme dit le prophète: (sept fois dans le jour, j'ai proclamé ta louange ( Ps 118,164). Nous remplirons ainsi ce nombre sacré de sept si au momment de Laudes, Primes, Sexte, None, Vêpres et Complies, nous accomplissons les devoirs de notre service, en élevant des Louanges vers notre créateur.
Commentaire (NP : ce commentaire est celui du site Hozana)
La liturgie des heures n 'est pas seulement le propre des moines, elle appartient au peuple de Dieu tout entier. Entant que laïcs nous ne pouvons pas tenir intégralement la proposition de Benoît. Ce n'est pas une raison pour tout rejeter en bloc, il importe à chacun de nous de trouver un rythme de prière, en fonction de nos possibilités et disponibilités, prendre de courts moments dans la journée juste pour louer et rendre grâce, en notre for intérieur. Trop souvent la pensée de prier ne naît qu'aux heures de difficultés. Mais se limiter à la seule forme de demande, d'imploration ou d'intercession serait oublier le vrai sens de la prière ; celle-ci est avant tout, un acte d'amour et de reconnaissance qui doit monter en un chant de louanges et d'action de grâce vers Notre Créateur et Maître de la Vie. C'est bien de se tourner vers Dieu pour demander son aide, mais il faut savoir aussi le remercier, et le louer... A ceux qui disent qu'ils n'ont pas le temps de prier, je leur dis : " l'important n'est pas la durée de la prière, mais son intensité et sa sincérité". On apprend à nos enfants à dire s'il te plaît et merci, il serait bon que nous appliquions cette recommandation envers Notre Père des Cieux."
Lu sur le site Hozana.
07:40 Publié dans Note, prière, vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
25/10/2018
Le film vu hier soir ♣♣♣ Enfermés dehors
Hier j'ai regardé sur Arte un film sur un couple jugé par la critique, comme s'étiolant. Et ce, à cause d'une histoire de fantôme.
Le monsieur faisait de l'escalade avec sa fiancée et voilà que celle-ci tombe dans une crevasse. Il n'a jamais dit à la femme qu'il a rencontrée par la suite et épousée, à quel point était profond son amour pour la première. Ce mari endeuillé de la première femme choisit de dire à la suivante son secret au moment où, dans un microcosme de la société anglaise où l'on veut perpétuer, presque coûte que coûte, le conte de fée du couple idyllique, le couple va donner une fête pour ses noces de ... "45 ans de mariage".
Le fantôme revient comme une fêlure de l'âme et pourtant, on peut voir les choses autrement. Du fait que le secret de l'homme est enfin brisé, j'ai le sentiment qu'après 45 ans de mariage, quelque chose pourrait se construire, de plus fort entre les deux êtres qui avaient ce fantôme entre eux.
Comme si il ne fallait pas "chasser les fantômes" hors de sa vie, mais les accepter comme des amis. Car le fantôme ici, ce n'est pas la morte, c'est le manque qu'a créé sans le vouloir la morte.
Si une chose de ce genre m'était arrivé, je pense que j'en aurais parlé à mon compagnon. À l'heure d'aujourd'hui, je prierais pour que l'âme du mort, devienne une âme amie et non pas un parasite.
Charlotte Rampling utilise dans ce film sa beauté à bon escient, comme un outil pour nous faire mieux comprendre le sensible. Les autres femmes autour d'elle, hormis son amie proche, ont moins bien pris le temps, et l'on s'aperçoit qu'elle ne les dérange pas... on peut faire sien (NP "sien" = ramener à soi, du coup, pas de féminin) la beauté d'une personne intelligente comme si celle-ci faisait bouger la bonne corde sensible chez d'autres, moins chanceux.
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Hier j'ai parlé dans ma note des "enfermés" en prison constituée de murs, et PRELE nous rappelle les enfermés dehors, à qui les systèmes basés sur l'argent veulent mener une vie encore plus rude avant que mort s'ensuive. Cruauté hors norme que celle des hommes qui se prennent pour des dieux. C'est à la note du 24 octobre : http://prele.hautetfort.com/
10:31 Publié dans cinéma, Lecture, Note | Lien permanent | Commentaires (0)
24/10/2018
La condition des êtres sensibles
Hier je suis allée rendre service à des personnes âgées qui sont bloquées au niveau des courses, du fait de leur vieillissement. C'est naturel de rendre ce genre de service à qui vous le demande dès lors que le demandeur est à demi paralysé. À cette occasion, j'ai pu constater une chose au niveau de la condition de l'animal.
Les rats ont profité du fait qu'une personne âgée fréquente moins son pigeonnier pour s'introduire dans le pigeonnier et manger tout cru deux pigeons, m'a confié la vieille dame.
Les rats sont cruels, mais le font-ils exprès ? me suis-je dit.
Conduisant la personne à une droguerie, elle y achète de la mort aux rats afin de sauver les pigeons.
Les pigeons ne risquent-ils pas de manger ces grains, demande-je à la vieille dame.
"Non, car le grain empoisonné est mis au dehors, hors de portée des pigeons." Me répondit-elle.
J'apprends que les pigeons ne sortent jamais. Ils ne risquent pas de manger le grain, en effet.
Des êtres possédant des ailes et sachant s'en servir, ne sortant jamais, voilà une attitude, concernant les personnes qui enferment ces pigeons à jamais que je ressens comme plutôt cruelle.
Les enfermeurs ne s'en rendent pas compte et je n'ai pas à les juger. De plus, ils suivent les préceptes d'une éducation collective. Eux-mêmes ont été victimes toute leur vie des puissants de cette société.
Le vieux monsieur sort pour soigner ses quatre pigeons, enfin ses deux pigeons désormais. C'est une occasion pour lui de sortir.
Enfermer ceux qu'on aime pour pouvoir les aimer tout son saoul. Ou les enfermer parce qu'ils dérangent pour une raison ou pour une autre. On enferme beaucoup de toute façon. C'est chose banale de nos jours, et quand même moins cruel que l'attitude des rats qui ont bouffé deux pigeons prisonniers, tout cru.
Ensuite, la vieille dame m'apprend que le grain que le vieux monsieur va donner chaque jour, c'est en vue de manger les pigeons avec des petits pois.
Des humoristes ont fait le sketch de la vieille dame sur un banc public qui appelle les pigeons, en vue d'en choper un pour le manger, alors qu'au premier abord, on pense que la vieille dame est attendrie par les pigeons. C'est un sketch triste qui fait rire comme on pleure.
Hier ce "gag" s'est déroulé sans être joué. Il s'agit de l'attitude naturelle très commune de personnes d'une certaine génération envers les animaux. Quoique les animaux soient encore beaucoup mis à mal par certains jeunes.
La génération des nonagénaires, qui a vécu des choses cruelles, des guerres notamment, qui a subi des conditions de travail extrêmement cruelles, est rarement tendre envers les "bêtes".
Et les bêtes sont parfois cruelles entre elles, il n'y a qu'à voir ce que font les rats aux pigeons prisonniers.
Du coup, les pigeons s'en tirent avec une certaine gloire, au contraire des rats et des hommes.
Moralité : faut-il suivre tous les préceptes d'une éducation dominante et collective.
Parfois il s'agit d'y réfléchir à deux fois avant d'obéir, n'est-ce pas ?
06:20 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)