29/07/2019
La détente
"Now when at night they take up their lanterns and go by different roads to their different homes, allow me to linger here for a moment, standing at your feet, and hold up my lamp and see your face."
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Light that signal, Father, for us who have strayed far away from thee.
Our heart is bent under the load of despair and we insult thee when we grovel to dust at every favor or threat that mocks our manhood.
For thus is desacrated the dignity of thee in us thy children, for thus we put out our light and in our abject fear make it seem that our orphaned world is blind and godless.
Rabindranath Tagore
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27/07/2019
Rousseau et la révolution : qu'en est-il ?
Rousseau a-t-il une responsabilité dans la Révolution française ? Vous le saurez si ce n'est déjà le cas, en lisant un article que l'on trouve en tapant La révolution française : "la faute à Rousseau ? dans un moteur de recherche. Le lien que j'avais mis ne s'ouvre pas.
11:02 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)
Climat et poésie ♣♣♣ Tiens, tiens ! Des nobles au secours des Gilets Jaunes ?
Introduction au poème par l'auteur (traduite ici )
«Les différents incendies en Californie trouvent beaucoup d'échos dans la presse, mais les inondations et l’érosion qui s'ensuivent - généralement des mois après, lorsque la pluie tombe sur les collines et que la végétation a été détruite - suscitent moins d’attention, principalement en raison des infra structures établies au XXe siècle, qui ont rendu le problème plutôt gérable.
Néanmoins, des précautions doivent être prises pendant la saison des pluies; dans notre région, le comté larguera des camions de sable que le public pourra utiliser pour remplir ses propres sacs de sable afin de protéger ses maisons. J'ai vu un tel sac de sable dans la rue et ce poème est arrivé. Je pensais aussi aux nombreux animaux qui sortent régulièrement des montagnes en fuyant les incendies ou à la recherche d’eau, et aux personnes qui doivent parfois quitter leur domicile à cause d’évacuations obligatoires. Feu et eau, ces deux éléments opposés nous poussent constamment tous dans une direction ou une autre.
Le poème :
Road Hazard
Par Bradley Paul
What I thought was a cat
was a sack of sand.
Someone driving
toward the flood
or where they thought
the flood might go.
That by now
was days ago.
Animals, go home.
Danger sur la route
Ce que je pensais être un chat
était un sac de sable.
Quelqu'un se dirigeait
vers l'inondation
du moins, là où ils pensaient
que l'inondation pourrait se produire.
Il y a de cela quelques jours.
Animaux, rentrez chez vous.
♣♣♣
Une certaine noblesse au secours des Gilets Jaunes, dénonce sur un blog : "La Faute à Rousseau", le côté ahurissant du propos de Luc Ferry, voulant défendre Homard m'a tué. M'a tuer.
Mais cette note était-elle juste pour ma pomme ou quoi ? Histoire de me faire un peu rire ? car je ne l'ai pas retrouvée sur le site officiel. J'ai un peu ri en effet des facéties du discours de Ferry qui parle d'envie des moins bien lotis financièrement parlant, non légitime, et qui légitime par contre les enclos fermés. 0ù les vaches sont bien gardées et parfois gâtées, c'est selon. Tous sous contrôle. Tout sous contrôle.
Les anarchistes, pour certains que je connais de loin, ne sont pas pour le désordre, mais pour une liberté de penser et de refuser ce qu'ils trouvent amoral. Alors que d'autres anarchistes ont plutôt l'air d'être un tantinet pour la loi du plus fort, que chacun se débrouille avec sa mélasse personnelle et à bas les assistés.
Les choses sont complexes, impossible donc de prendre des raccourcis dans le discours.
Je m'en vais dormir et j'espère, rêver. Il se fait tard.
Quelques minutes plus tard... voici ce que je vois comme une réponse parmi d'autres au propos de Ferry sur l'envie/jalousie, lue dans le Daily Ray à l'instant :
I am content; that is a blessing greater than riches; and he to whom that is given need ask no more.
Henry Fielding
☺
10:43 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)