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19/11/2019

Blaise Pascal et le Blender ♣♣♣ La Chanson trouvée ♣♣♣ Lamartine et la nationalisation du Chemin de fer

J'essaie de m'imaginer Pascal Blaise devant le blender que j'ai acheté pour une valeur de cinquante euros, avant-hier. Je pense qu'il aurait été émerveillé.

 

En tout cas ce fut mon cas (je n'en n'avais jamais eu un entre les mains avant).

Je me suis laissée "dépasser" par la chose (dépasser dans le sens, vécue comme magique), et embarquer, "vogue la galère", par cette petite machine à faire de la soupe. Dosage impératif et juste ; cuisson rapide ; mixage  "savant" lorsqu'il s'agit du velouté (soupe fine).  

 

Récapitulatif :

D'abord : brancher.

Couper les légumes en morceaux. La portion totale de légumes doit s'adapter au volume indiqué par un trait, arriver juste en dessous. Verser ensuite l'eau jusqu'à ce même trait, indiqué "minimum", sachant que l'on peut aller jusqu'au trait indiquant "maximum".

 

Une fois le couvercle posé de façon à ce que la tige qu'il présente s'enclenche dans l'espace qui lui est réservé, les clignotants s'allument ; toutes les touches clignotent en même temps, comme pour un embarquement immédiat.

 

Il suffit d'appuyer l'index délicatement sur la touche "Mode", et alors ne s'allume plus qu'un seul clignotant, celui de la touche intitulée "soupe fine".

 

Si c'est ce programme qui est demandé, reste à appuyer sur la touche "marche/arrêt". Le clignotant se stabilise immédiatement et le programme de la soupe fine s'enclenche.

 

Mais si c'est le programme suivant qui intéresse, tandis que clignote la touche "soupe fine", il faut retourner sur la touche "mode", et, merveille, se produit un saut de puce du clignotant jusqu'à la touche suivante, celui de la  "soupe épaisse" ; reste à appuyer sur "marche/arrêt", et ce programme s'enclenchera comme par magie.

 

La touche suivante est la touche "compote". Idem : pour déclencher ce programme, je fais faire le petit bond au clignotant, en retournant appuyer sur la touche "mode". Le clignotant va alors se positionner sur la touche compote et clignotera jusqu'au moment où j'appuierai sur la  touche "marche/arrêt", qui enclenchera le programme compote.

 

Cela va sans dire : si je veux ce programme compote, c'est que j'aurai coupé des fruits que j'aurai mis ensuite dans la cuvette. Sans oublier d'avoir positionné le couvercle comme il faut.

 

La touche suivante est appelée "smoothie", puis c'est celle nommée "mixer", qui sert probablement à obtenir un mélange plus crémeux à partir d'une compote initiale. 

 

Pour le programme "soupe fine", l'appareil fait différents bruits par intermittence, comme pris d'une petite frénésie, il se met à grommeler, à ronfloter, à vapoter, à glouglouter avec force vibrations communicatives  pouvant faire sursauter les âmes sensibles.

 

Quand la science vous fait jouer ! Notons que jouer n'est pas loin de jouir dans le sens de l'émerveillement. J'aurai ce blender jusqu'à ce qu'il meure de sa belle mort. J'en ai fait mon pote de potage. 

 

♣♣♣

 

La chanson trouvée avec une superbe illustration sur le blog Croquis de côté que vous devez connaître mais dont je vais remettre le lien sous la vidéo.

 

La chanson :

 

 

http://lecroquisdecote.hautetfort.com/

 

D'où vient le mot chômage ?

Une dame nous l'explique sur son post daté du 12 novembre  2019. Où L'on apprend qu'en 1846-1847, déjà on avait à subir une grave crise économique. Comment sortir d'un système qui génère des crises, that is the question.

Un monde de rêve serait celui où chaque personne choisirait l'art qu'elle veut exercer, où les arts s'étendraient à l'infini : art de la couture, art du soin, art du baiser (que l'on pourrait associer dans ce genre d'art, à d'autres, car on ne peut pas passer son temps à cela) , art du dessin, etc. une combinaison d'arts dans la vie de chacun, avec en "matière principale" l'art qu'il se serait choisi.

Je pense que dans cette société idéale, je serais allée m'inscrire "apprentie tailleur", dans le domaine de la couture. J'aurais réalisé des manteaux avec des doubles ou triples poches secrètes dans les doublures, des vestes avec des cols aux montages astucieux, idem pour les chemises. Un art fécond.

Et ensuite, si j'avais été repue de cet art de la couture, je me serais dirigée vers la construction de choses légères et astucieuses en terme d'habitation, en passant par l'origami. Des roulottes démontables, installables en maisons provisoires etc.

Évoluer chacun à son rythme dans un ou plusieurs arts, qui serait une sorte de mise en application d'un hédonisme fait de fraternité et de solidarité, de bienveillance des maîtres envers les apprenti(e)s.

 

L'art de la science en somme, à différents niveaux.

 

Je n'ai pas pu faire tout cela, mais pour autant, la vie vaut d'être vécue dans la bonne humeur.

Lien pour le mot "chômage" : http://boulevarddesresistants.hautetfort.com/ 

 

♣♣♣

 

Lamartine et la nationalisation du Chemin de fer, ici :

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Krach_de_1847

 

08:59 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

17/11/2019

Le problème politico familial ♣♣♣ entendu tout à l'heure

J'ai lu, dans un courrier adressé à une psychologue du Fémina, les récriminations d'une femme contre sa fille, laquelle a un fils de 17 ans qui, en bon ado à l'esprit critique aiguisé trouve sa mère parfois "faux cul" et le dit à sa grand-mère, qu'il sent réceptive, étant donné que l'adolescent a dû percevoir que celle-ci n'était pas toujours raccord avec sa fille.

 

La psychologue répond que malentendu il y a entre les deux femmes : si la fille est heureuse de dire à sa mère qu'elle fait du marathon, ce n'est pas pour rabaisser sa mère, mais pour que celle-ci soit fière d'elle, par exemple.

 

La psychologue trouve que le problème vient de la mère "qui se sent rabaissée" face à une fille qui a monté un ou deux échelons dans la société.

 

La maman élève des poules, fait encore son jardin, sous entendu, la fille fait la bêcheuse dans une Chevrolet ?

Et si c'était tout bêtement un problème politique : la grand-mère de l'adolescent, étant à tendance "beat-nick, ZAD", et la maman de ce même adolescent, étant à tendance, "grosse compète et capitalisme" ?

 

Si c'est un problème politique la grand-mère de l'ado devrait plutôt culpabiliser : je ne n'ai pas réussi à donner une conscience écolo à ma fille, j'en ai fait une capitaliste etc.

Sinon c'est un simple problème de jalousie classique d'une mère contre sa fille.

Mais ça ne peut pas être les deux en même temps.

Je dirai pour ma part, avec un doute, que ce serait plutôt un problème politique qui érode un amour qui n'était pas inconditionnel.

 

♣♣♣ 

 

Une femme invitée sur un plateau télé dit que dans les foules massées devant les grands commerces à Paris beaucoup plus de gens veulent rentrer dans le système et non pas en sortir.

Le partage, l'arrêt du consumérisme, la fin de la faim et du dormir dehors pour certains, c'est cela vouloir sortir du système. Mais ce n'est pas facile de passer à autre chose. En ce moment mon ami vend dans un grand magasin par exemple, du moins, essaie de vendre quelques livres.

Seigneur, viens à l'aide de la planète, des forêts et des mers, des humains et des animaux. Que ton règne vienne, pour la justice et  l'harmonie, la nourriture pour tous, la santé pour tous, une maison qui accueille chacun. La bienveillance pour tous. Amen.

 

 

15:59 Publié dans Note, prière | Lien permanent | Commentaires (0)

En fait si

En fait si, l'étudiant qui a voulu s'immoler, est mort de ses brûlures. Il est vraiment mort si j'ai bien compris le journaliste qui est venu parler des suicidés "économiques" en France.

Les suicidés ont perdu courage avant de se perdre.

 

Les cyniques qui font de l'humour là-dessus ont l'humour désespérant. Ils apportent ce faisant leur contribution au désespoir. Ce désespoir qui désanime, qui met dans cette incapacité d'aimer. D'un coup une énorme fatigue qui ferait oublier l'essentiel  ?

Se suicider par amour, est-ce possible ?

Par désamour d'une vie, plutôt, lorsque celle-ci est de toute façon empêchée. 

 

Ceux et celles qui se donnent la mort n'ont pas pu recourir à la prière, celle-ci étant un acte d'espérance à la base. Ils et elles veulent exprimer une intolérance à une douleur morale arrivée à son paroxysme. Parfois en s'infligeant une douleur physique atroce. Comme pour annuler l'autre ?

Se ressourcer en s'éloignant déjà physiquement de ceux qui provoquent le désespoir, c'est un premier réflexe de survie.

Si les médias désespèrent, s'en déconnecter. Choisir en fait à quoi se connecter pour retrouver l'espoir. Se retrouver soi-même, ce qui équivaut à retrouver Dieu en soi. N'oublions pas cela. Le désespéré ne parvient plus à se connecter à lui-même, comme s'il était hors de lui. Le désespoir met les êtres hors d'eux-mêmes, comme pour la colère. Donc il n'y a plus de réflexion à ce moment critique. 

 

S'entraîner à la prière est une garantie pour entretenir l'espoir.

 

Jeunes gens et jeunes filles, ne vous laissez pas bouffer par le cynisme "des vieux", ces fameux baby boomers.

08:28 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)