20/05/2020
Le long du canal
J'ai vu un panneau concernant les oiseaux qui se trouvent dans les parages du canal passant à Saint-Venant.
Je prends le butor étoilé parmi ces oiseaux. Oiseau dont parle en grande connaisseuse la biologiste de ce site :
http://www.oiseaux-birds.com/fiche-butor-etoile.html
Sur oiseaux.net, on trouve aussi cette information :
"Les populations de Butors étoilés sont en déclin à cause essentiellement de la perte de leur habitat. Le drainage des zones humides et les dérangements humains jouent un rôle important dans ces déclins."
Végétaux
Pour les simples promeneurs qui veulent devenir un tantinet savant, voire savant, du moins "sachant", comme "sachant cela, je ne mange pas cette herbe" :
https://floranet
Le lien entier ne fonctionne pas. J'ai mis le site dans "mes favoris" mais je ne peux pas le partager ici. "Floranet" vous sera un bon indice pour le trouver vous-même.
♣♣♣
Découverte de cette vidé ce jour :
09:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
19/05/2020
Le Tortillard
Chanson de Patrick S. VAST, créée il y a une semaine.
17:38 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
Court poème de Victor Hugo : Apparition
Écoute du poème :
Apparition
Je vis un ange blanc qui passait sur ma tête ;
Son vol éblouissant apaisait la tempête,
Et faisait taire au loin la mer pleine de bruit.
— Qu'est-ce que tu viens faire, ange, dans cette nuit ?
Lui dis-je. Il répondit : — Je viens prendre ton âme.
Et j'eus peur, car je vis que c'était une femme ;
Et je lui dis, tremblant et lui tendant les bras :
— Que me restera-t-il ? car tu t'envoleras.
Il ne répondit pas ; le ciel que l'ombre assiège
S'éteignait... — Si tu prends mon âme, m'écriai-je,
Où l'emporteras-tu ? montre-moi dans quel lieu.
Il se taisait toujours. — Ô passant du ciel bleu,
Es-tu la mort ? lui dis-je, ou bien es-tu la vie ?
Et la nuit augmentait sur mon âme ravie,
Et l'ange devint noir, et dit : — Je suis l'amour.
Mais son front sombre était plus charmant que le jour,
Et je voyais, dans l'ombre où brillaient ses prunelles,
Les astres à travers les plumes de ses ailes.
Jersey, septembre 1855
Poème tiré du recueil Les Contemplations.
08:54 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)