04/12/2011
La Belgique expliquée
Un extrait : " En 1830, la révolution belge éclate. Une guerre a lieu et les Néerlandais sont chassés du territoire. La Belgique est consacrée par les puissances internationales. Un roi est trouvé : il règne sous le nom de Léopold Ier. Il est prince allemand, marié avec une princesse anglaise qui est décédée. Il se marie avec la fille du roi des Français. En 1839, un traité régit les relations entre les Pays-Bas et la Belgique. La partie germanophone du Luxembourg devient un État indépendant qui revient au roi des Pays-Bas. La partie francophone du Luxembourg devient belge. Le découpage du Luxembourg entre la partie germanophone et francophone ne se fait pas seulement sur ce critère et des territoires germanophones se trouvent en Belgique. C’est le cas de la ville d’Arlon.
La Belgique de 1830 étant une réaction contre les Pays-Bas, la langue qui prime au sein de l’État belge est le français. La Belgique est un territoire où, selon les régions, la population parle un dialecte de type flamand, latin, allemand ou luxembourgeois et où les langues de culture sont le néerlandais, l’allemand et le français. Á ces différentes composantes le français fut imposé par la bourgeoisie. Á l’école primaire, le français, le néerlandais ou l’allemand sont les langues utilisées. Les études secondaires et supérieures sont seulement possibles en français." Intégral :http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2008/05/17/la-...
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Échange de paroles entre un père et l'une de ses filles
— Comment va Marie ?
— A l'est toudis ajoukée din sin coin à raviser l'télé.
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03/12/2011
Ce n'est pas une question de choix
Je n’ai regardé hier soir que le début du téléfilm où il était question de l’enlèvement de trois personnes quelque part en Afrique, non pas par insensibilité, il y a simplement un moment où la politique comme elle est envisagée, dans toute sa sinistrose, me fait décrocher même sur le plan physiologique. Une sorte d’abattement, de fatigue physique amplifiée, plus intense que celle que j’éprouve le soir à cette heure-là, m’a obligée à battre en retraite. Je me souviens que l’actrice blonde qui jouait le rôle de l’amie de la fille kidnappée m’est revenue en rêve, son sort ne s’y était pas amélioré, je la voyais vêtue d’une longue robe blanche, debout sur une balançoire et hissée très haut, comme au sommet d’un mât, d’où elle s’est jetée dans le vide le plus sidéral d’une étrange nuit. Voilà comment, l'âge n'aidant pas peut-être, on se retrouve privé du choix de s’intéresser ou pas à la politique.
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