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29/11/2008

Louis Riel

« Louis Riel, homme politique canadien, fut à la tête de mouvements de résistance, afin de protéger les droits de ceux qui furent les descendants des coureurs des bois ou de voyageurs qui fondèrent une famille avec des femmes indiennes. Lui-même fils d'un chef métis et d'une mère canadienne-française, il obtint que le Manitoba entre dans la Confédération canadienne. Louis Riel fut pendu et longtemps après sa mort, on le prit pour un traître, à tort. C'est dans les années 60 que sa réputation a été réhabilité. » Actualitté

11:06 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)

28/11/2008

Bienvenue

 Chez les chics ti'ch : 

« Des cinq invités de cette biennale qui débute aujourd'hui, André Doms et Aniko Fazsy sont les seuls à voyager en terre connue. Ils étaient déjà là en 2006, pour la 10e rencontre, en tant que traducteurs. Jusqu'à samedi, ils accompagneront Péter Dobai. »

La Voix du Nord

 

08:17 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)

Poésie

Soit dit en passant, moi non plus je n’aurais pas osé aborder Beckett dans la rue. Ne pas prendre (évidemment) au pied de la lettre certaines choses racontées dans Molloy, ne suffit pas, ça reste assez impressionnant. Je l’aurais donc laissé tranquillement continuer sa promenade, et compter les cailloux dans ses poches, si ça se trouve.

L’article : 

« Avec Cendrars, Aragon, Artaud et quelques autres, Saint-John Perse et Francis Jammes sont régulièrement cités par Tintin, le pauvre narrateur de la Langue chienne : «Je voulais que les poésies soient incorporées au discours, dit Prudon, comme trois notes de musique, des apparitions, un petit clin d’œil dans le vitrail.» Tintin a la mémoire de son créateur, qui semble vivre ses joies et ses peines en chansons. A la fin du livre, une liste identifie les citations, comme les airs soul dans les polars de George Pelecanos (qu’il n’a jamais lus). De la musique avant toute chose, et d’abord sur le tas de fumier. Mais pas celle de Beckett : «Les phrases que je connaissais se sont effacées, question de rythme sans doute. Trop dur, trop haché.» C’est sur un rythme doux, né d’un cœur romantique, que Prudon conte ses héros désastreux. »

Libération

 

 

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