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27/08/2013

Raoul Vaneigen

Raoul Vaneigem dont il était question sur France Culture ce matin a composé cette chanson, chantée par Jacques Marchais. Il y a des fantasmes dans ces vieux rêves de liberté, l'utopie et le fantasme sont proches, on en a besoin sûrement, c'est pourquoi je les respecte. Voici la chanson :

 

Beau grain de voix Léo et Jacques... écoute agréable.

 

Et pour finir mon écoute musicale du matin, je n'ai rien contre un Crazy Cavan ; Crazy Cavan, Jacques et Léo, il n'y a pas que moi pour penser que sous des tempos différents, ces hommes se ressemblent d'une certaine façon, si ? 

Tant que j'y suis, avant de quitter le blog, un extrait de Vince et j'aurai fait un tour d'horizon assez représentatif des chanteurs que j'apprécie beaucoup.

 

 

 

 

26/08/2013

Rock'n'roll à Béthune

Les gens avaient l'air simplement contents d'être là, le rock'n'roll les enthousiasmait ; les choses se sont bien passées de bout en bout, pas de violence. Musique reçue cinq sur cinq, du culturel sympa  qui a rempli sa mission. Du point de vue intellectuel, on aurait pu parler de fétichisme à voir comment les objets d'une certaine époque ressemblaient à des reliques, c'est en fait ludique ; un petit bain de cette ambiance ne m'a pas fait de mal. Béthune Rétro réussi. Quelques photos de ce week-end à Béthune.

 

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08:48 Publié dans Note, Photo | Lien permanent | Commentaires (0)

24/08/2013

Simenon

Hier j’ai visionné un Simenon qui ne m’a pas déplu. Question polar  c’est Georges J. Arnaud que j’ai lu avec le plus de plaisir, de Simenon je n’ai vu que les adaptations à la télé, mais je me promets toujours de le lire un de ces quatre. Pourquoi j’y mets tant de temps ? Parce que j’ai noté que dans nombre de feuilletons on voit surgir à la fin des blouses blanches qui emmènent le prévenu à l’hôpital psychiatrique, je ne sais pas pourquoi, chaque fois ça me fait froid dans le dos, j’aimerais mieux qu’on embarque le malade à la montagne faire de l’escalade ou quelque chose du genre. Le côté conservateur de Simenon m’indispose et gâche un peu l’ambiance « très proche des petites gens » que l’auteur veut rendre. Surprise je l’ai donc été hier : j’ai aimé l’histoire de ces deux sœurs amoureuses du même ponte en médecine. L’une est stérile, c’est elle qui va devenir la femme du médecin, lequel avouera à Maigret qu’il l’a épousée simplement pour s’octroyer un peu de compagnie, l’homme n’a pourtant pour seul passe-temps que de courir le jupon, au passage il fait un enfant à la sœur de sa femme. De cette épouse, Simenon dresse le portrait d’une personne idéale : elle est jalouse juste ce qu’il faut, sage en somme, nullement hystérique, douce et belle, très belle. La sœur avec qui le médecin chef a l’enfant à une beauté austère, c’est une femme dominante, l’orgueil va souvent avec. De ça Simenon a fait une histoire passionnante. La belle épouse naïve va s’en tirer. Je ne pense pas qu’en réalité il puisse exister une telle perfection de femme sur le plan spirituel, mais on reçoit quand même un bol d’oxygène tout à fait bien venu. Comme quoi il ne faut jamais dire « Fontaine … »

11:47 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)