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12/02/2014

Gérard de Nerval

Je ne regrette pas le temps mis ce matin à écouter ce que dit Henri Strentz à propos de Gérard de Nerval, l'un de nos "derniers troubadours", "homme simple et bon", poète à "l'inquiétant génie". Bienveillance émouvante de Henri Strentz à l'égard d'un homme, Gérard de Nerval, dont le génie effectivement frôlait  des abîmes qui l'ont happé par une froide nuit où on ne l'entendit pas qui frappait à la porte de l'auberge. Henri Strentz parle au passage du vieux Montmartre que fréquentait ce poète au caractère vagabond du chat de gouttière royal errant au clair de lune ou perché sur quelque toit. 

 

 Je me suis d'abord connectée à littérature audio (le deuxième lien), où j'ai écouté la donneuse de voix : Domi, dont j'ai apprécié la lecture. Lecture que j'ai suivie en me connectant sur la version texte, proposée par le site Littérature audio. C'était émouvant et plus encore. Allez-y, si votre temps vous le permet. Quitte à me répéter, je n'ai pas eu le sentiment de perdre le mien à "écouter lire ce texte" sur la vie et l'œuvre de Gérard de Nerval, bien au contraire. 

 

https://archive.org/stream/grarddenerval00stre#page/64/mo...

 

http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/s...

11:02 Publié dans Lecture, Note | Lien permanent | Commentaires (0)

11/02/2014

Respirons et regardons (je découvre à l'instant ici-même)

Où il nous est rappelé sans passer par La Fontaine que dans la société à l'état de nature on risque toujours d'être le menu involontaire d'un autre qui lui-même sera le menu d'un autre. Même les loups ont un prédateur, si ce n'est l'homme, c'est le propre estomac du loup qui peut l'avaler tout cru s'il est vide trop longtemps, mais oui, un loup peut crever de faim.
Les escargots, la grive et la pierre par salamotion

09:48 Publié dans Note, vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)

10/02/2014

Qui a réponse à tout ?

Pas moi. Je ne trouve pas les réponses.

je ne pense pas que le capitalisme soit une expérience à continuer ; il faudrait trouver une organisation  juste et comportant qui plus est ce que Bernanos appelle le respect de la faiblesse. Respect qu'il a trouvé quant à lui  dans les principes chrétiens. Il les a vus bafoués de façon particulièrement horrible lors de la guerre civile espagnole par ceux-là même qui les professaient mais, ayant pressenti les événements de Russie avec Staline, il ne trouvait pas non plus de réponse dans l'anti-capitalisme des gens de gauche. Je me sens proche de ce genre d'azimutage et partage les mêmes principes que lui, que l'on appelle aujourd'hui, valeurs, c'est pourquoi j'aime beaucoup cet auteur.

15:49 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)