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01/03/2014

Le guillemot

 "If we don’t look after our environment, then our environment will no longer look after us." Englishtown

Des oiseaux en mer du Nord, ne sont plus en mesure de nourrir leurs petits  en raison de la surconsommation de poissons chez les humains et donc de la surpêche ; toujours plus, pour juste survivre du côté des pêcheurs, où l'on s'aperçoit là encore que le système de fonctionne pas. On remarque, de ce fait, ce qu'on appelle un phénomène d'infanticide chez certaines espèces d'oiseaux notamment le guillemot.

07:04 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

28/02/2014

Craintes et doutes

J'ai acheté la Voix du Nord tout à l'heure, on y parle de Bridgestone. C'est plutôt mal parti et pas de perspectives d'emplois nouveaux que  les écologistes au pouvoir un jour pourraient créer, pas non plus de changement d'organisation du point de vue de l'économie, pas de partage des richesses "il ne faut pas rêver" et donc, toujours le même vieux système qui n'a jamais marché, et, qui fonctionne plus mal que jamais avec la mondialisation où l'on voit les gens de plus en plus traités comme des jetons, des jetables... un monde barbare, du sans scrupule, de l'égoïsme sans honte, le lien de l'article intitulé Craintes et doutes à Bridgestone : http://www.lavoixdunord.fr/region/craintes-et-doutes-a-br...

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Les mystères

Où en suis-je de ma lecture  des Mystères de Winterthurn ?  (mon livre des Mystères de Paris reste à lire, la chose livre ne peut qu'attendre pacifiquement sur une étagère... et même "au coin d'un bois", pas de souci.) Joyce Carol Oates met en réserve une situation : Abigaïl et son bébé, agressés dans une chambre la nuit par de mystérieuses entités que l'on pourrait croire sorties de la peinture murale ; le chapitre suivant, plus de nouvelle d'eux, le lecteur doit apprendre à contrôler ses possibles tendances, soit sadique, soit masochiste, et je ne sais quoi d'autres, un peu des deux peut-être, si c'est son voyeurisme, il est judicieusement mis à mal par Oates qui fait, bien à propos, une remontée de six semaines dans le temps : le jour de l'enterrement du juge Kilgarvan. Le chapitre s'intitule La mélopée.

Oates maîtrise à tout moment de son récit des marches arrière dans le temps, souvent assez courtes, pour revenir à la situation dont il était question à l'instant T. Pour cela il faut maîtriser aussi la concordance des temps grammaticale, qui en anglais est aussi sophistiquée de prime abord qu'en français, la traductrice se nomme Anne Rabinovitch soit dit en passant. Nous sommes toujours dans le mystère que personnellement j'ai appris à accepter dans la vie faute de pouvoir comprendre clairement certaines situations, dans le roman au contraire, le mystère passe bien, apporte un certain piment, presque un baume à l'âme adolescente de tout poète qui se respecte  : quelle est donc cette étrange mélopée, venant on ne sait d'où, qui s'élève durant la cérémonie de l'enterrement du juge Kilgarvan ? laquelle tient de l'humain et du cri prolongé et plaintif d'un oiseau.  

Je ne vous en dirai pas plus sur ce roman à mon avis, à vous de le lire maintenant, si le cœur vous en dit.     

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