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11/12/2016

L'économie

 Nous sommes dans un monde où il faudrait produire de façon raisonnée, les ressources de la planète s'épuisant... en ce sens il est normal que le travail soit actuellement moins basé sur la production d'objets ; mais aussi,  à quoi sert le travail paperassier très outrancier que l'on voit aujourd'hui ? Que font les gens dans les multiples bureaux qui semblent avoir remplacé les usines ?  Je ne parle pas des fonctionnaires en particulier, mais de paperasses en général.

 

L'Économie était basée sur la production. En son nom, des personnes, en masse, devaient travailler à la chaîne. Les robots vont se charger du travail machinal, logique, ces derniers étant des machines. Le concept de "gagner sa vie" sera galvaudé pour nombre de personnes par la force des choses. La vie sera gagnée dès lors que l'être né sera viable et il lui faudra tout simplement vivre sa vie en s'appliquant à utiliser son temps le plus intelligemment possible pour son développement personnel selon ses possibilités, et celui de son entourage et de son environnement. 

 

Il faudra alors tout repenser au niveau de l'Économie, et ce, en terme de bienveillance vis-à-vis de la planète, de tout être vivant qui se doit de vivre sa vie sans être écrasé par le despotisme d'un système.

 

08:26 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

10/12/2016

Lecture du jour

Deux femmes me font l'honneur et surtout le bonheur de m'envoyer le dernier post de leur blog respectif. Aujourd'hui j'ai reçu la mise à jour du blog Le jour ou, écrit par l'une d'elles, le texte auquel je souscris a pour thème le poids des mots. Merci à elles.

 

Ici :

http://lejourou130113.hautetfort.com/archive/2016/12/09/j...

 

Un rappel du post de Maryse d'hier, où il s'agissait d'humour et d'humour qui fait du bien. Je mets ici l'extrait du Poulet qui a traversé la route, ce que l'humoriste imagine qu'en aurait dit George W. Bush à l'époque où il était au pouvoir,  selon son schéma de pensée d'alors (en espérant qu'il en ait changé) :

 

George W. Bush :

 

" Le fait que le poulet ait pu traverser cette route en toute impunité malgré les résolutions de l'ONU représente un affront à la démocratie, à la liberté, à la justice. Ceci prouve indubitablement que nous aurions dû déjà bombarder cette route depuis longtemps. Dans le but d'assurer la paix dans cette région, et pour éviter que les valeurs que nous défendons ne soient une fois de plus bafouées par ce genre de terrorisme, le gouvernement des États-Unis d'Amérique a décidé d'envoyer 17 porte-avions, 46 destroyers, 154 croiseurs, appuyés au sol par 243000 G.I. et dans les airs par 846 bombardiers, qui auront pour mission au nom de la liberté et de la démocratie, d'éliminer toute trace de vie dans les poulaillers à 5000 km à la ronde, puis de s'assurer par des tirs de missiles biens ciblés, que tout ce qui ressemble de près ou de loin à un poulailler soit réduit à un tas de cendres et ne puisse plus défier notre nation par son arrogance. Nous avons décidé qu'ensuite, ce pays sera généreusement pris en charge par notre gouvernement, qui rebâtira des poulaillers suivant les normes de sécurité en vigueur, avec à leur tête, un coq démocratiquement élu par l'ambassadeur des États Unis. En financement de ces reconstructions, nous nous contenterons du contrôle total de la production céréalière de la région pendant 30 ans, sachant que les habitants locaux bénéficieront d'un tarif préférentiel sur une partie de cette production, en échange de leur totale coopération. Dans ce nouveau pays de justice, de paix et de liberté, nous pouvons vous assurer que plus jamais un poulet ne tentera de traverser une route, pour la simple bonne raison qu'il n'y aura plus de routes, et que les poulets n'aurons plus de pattes. Que Dieu bénisse l'Amérique. "

 

07:34 Publié dans Lecture, Note | Lien permanent | Commentaires (0)

08/12/2016

Même pas peur ♣♣♣ Le poulet ♣♣♣ Poème du jour

Ce matin j'entre tranquillement à la maison après la marche de l'aube jusque la gare, il faisait encore nuit, quand à peine traversé le vestibule assez riquiqui, j'entends que l'on frappe à la porte d'entrée. J'ouvre, c'est le voisin de droite qui me demande un service : sa voiture est en panne est-ce que je peux l'amener à son lieu de travail à Beuvry. Il ne fait pas froid ce matin, il y a des bus qui mènent à Beuvry et même un train mais l'homme est pris de court, il croyait vraiment que sa voiture allait démarrer. Je le conduis donc jusque son lieu de travail, et comme il fait vraiment sombre encore j'ai juste repéré qu'il se situait pas loin de la gare d'eau de Beuvry, vers laquelle je me suis dirigée pour le chemin du retour, mais comme les routes étaient barrées à plusieurs endroits j'ai improvisé et suis retombée très vite sur mes pattes, je crois même avoir trouvé un raccourci.

 

Une fois re-rentrée à la maison, j'ai sorti une litière des chats dans le patio pour procéder à son nettoyage, et là, le chien berger allemand  de ce même voisin, à peine m'a-t-il eu aperçue que, babines retroussées, l'air pas malin et féroce,  il a fait mine de vouloir ma peau en aboyant plus que rudement à mon encontre, fonçant vers le grillage, si peu haut, dans semblable cas de figure. Le dicton Tel maître tel chien est archi faux sinon ma mission de ce matin se serait mal terminée dans cette pénombre d'aube hivernale.

 

Catorive a la réputation mauvaise d'être un quartier violent, j'ai même entendu dire  "le quartier des babaches"  dans la bouche d'une midinette qui m'avait accostée alors que je buvais tranquillement un café dans un bistrot du centre ville en feuilletant un livre que je venais d'acheter. Elle s'était légèrement enivrée à l'occasion de son licenciement, un an auparavant, du lieu même où nous nous trouvions .

 

Les gens ne se font vraiment pas de cadeaux... mais comme elle ne m'avait pas identifiée comme étant de ce quartier "maudit", elle continua tranquillement à me raconter ses déboires de selon elle "blonde qui plaisait trop aux hommes, ce qui attisait la jalousie d'autres femmes, d'où son licenciement". Mouais.

 

♣♣♣

 

J'ai cliqué sur le blog de Maryse de ma boîte mails, elle aime rire, et j'ai pas mal souri je dois dire en suivant le lien qu'elle avait mis en ligne : c'est une histoire de poulet qui a traversé la route,  démarche audacieuse qui pose question à pas mal de grands de ce monde. Ici :

 

http://v.tomeno2.free.fr/blagues/poulet/

 

♣♣♣

 

Traveller, there is no path

The path is made by walking.

By walking you make a path

And turning, you look back

At a way you will never tread again.

 

Antonio Machado

 

Voyageur, il n'y a pas de chemin

Le chemin se fait en marchant.

En marchant tu fais un chemin

Et au tournant, tu regardes en arrière

de façon à ne plus jamais le fouler.

 

Trouvé dans le Daily Ray de ce matin... merci pour ce Daily Ray

 

 

 

 

 

10:36 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)