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09/02/2020

Lecture du jour

J'en suis à la page 89 du livre s'intitulant Abandonnée de Christelle Colpeart-Soufflet. Histoire d'une maison hantée, Le Fort Lapin, dans une petite ville ou un gros village près de Bergues. C'est une fiction, mais bon. Il y a du vécu. On le sent.

 

Ce que dit l'auteure m'a fait me demander si je pouvais attribuer le changement de personnalité qui s'est peu à peu opéré chez des personnes de ma connaissance après qu'elles ont emménagé dans une maison, flanquée d'un calvaire mesurant bien trois mètres de hauteur, qui devint leur propriété. Ces personnes se sont peu à peu glacées, une perdition édifiante en chaleur humaine. Une empathie virant au nul à l'égard de leurs propres enfants.

 

Je me suis demandé si je n'allais pas inviter Christelle, qui je pense est medium, à visiter cette maison, encore habitée par les personnes en question, "très froides"  avec leurs proches (familiaux), et néanmoins très sociables du moins en apparence, avec les gens du village auxquelles "elles appartiennent".

 

J'ai prié avant le coup de fil pour contacter l'habitante de la maison, voir si je pouvais lui proposer la visite de Christelle (je crois qu'elle aurait accepté de venir), mais l'habitante en question, m'a parlé de son athéisme, de telle défunte du village, qu'elle cite souvent par ailleurs, qui disait "personne n'est revenue après être mort pour dire ce qu'il en est".

 

Donc fermeture. Mon ange gardien me conseille de ne pas insister.

 

L'inhumanité  graduelle que j'ai sentie s'installer chez ces personnes, je l'attribue à cette maison.

C'est ainsi. C'est pourquoi d'ailleurs pour ma part, je ne m'attache à aucune maison. Je suis nomade dans l'âme. Et bien que chrétienne, je ne regarde pas les calvaires. Jésus est au Ciel. Pourquoi édifier des calvaires ?

 

Je reprends la lecture passionnante du livre écrit par Christelle Colpaert-Soufflet. Les hyper rationalistes, s'abstenir, sinon pour les autres, procurez-vous le livre et  laissez-vous guider par Christelle dans cette histoire d'une femme courageuse qui entre en contact avec  le fantôme d'une fillette.

 

 

16:33 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

08/02/2020

Comptine du jour

Au rond point, nous faisons la ronde

Au rond point, nous faisons le point

 

Tout vêtus de jaune, comme des boutons d'or

en couleur vive, personne ne s'endort

 

nous irons au square dépenser nos ronds

 qui s'ront les marrons, qu'nous ramasserons.

 

 

Commentaire : jolie comptine toute fraîche pondue.

 

 

Sinon quoi d'autre ? Je rentre des courses où un jeune client m'a interpelée.

 

"C'est à vous le sac ?" a-t-il dit sur un ton bourru.

 

J'avais posé mes courses sur le tapis et le client "interpelant", juste derrière moi, ne me laissant plus assez de place, j'avais laissé un panier par terre, avec quelques emplettes à l'intérieur. D'après son regard furibond, on pouvait en déduire qu'il croyait que je cachais les courses à la caissière pour m'enfuir avec le panier en catimini. J'aurais alors volé dix euros, voire moins. Et cela avait l'air hyper grave pour lui.

Je sature un peu de faire les courses, surtout si des gens m'offrent un visage obtus, un front bas, des sourcils froncés.

 

 

13:13 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

Les banques et leurs investissements ♣♣♣ Le mot de Patrick ♣♣♣ Tournicoti, tournicoton

Les banques investissent dans quoi ? Des actifs qui font du bien à la planète ou des actifs toxiques ? Sur quoi spéculent-elles ? La planète va-t-elle s'en remettre ? Les détournements de fonds se sont des lieux de vie que n'auront pas des personnes fragiles. Bref, que font les banquiers ? Anéantissent-ils la planète ?    

 

Un extrait maintenant de l'interview lue ce matin dans Télérama :

 

"La richesse c'est le pouvoir ; l'extrême concentration des richesses, c'est l'extrême concentration des pouvoirs. La capacité d'influencer les politiques publiques, d'étouffer la concurrence, de façonner les idéologies."

 

Depuis quarante ans, explique le jeune économiste français Gabriel Zucman, professeur à l'Université de Berkeley aux États-Unis, une infime partie de la population américaine dévore sans vergogne une part croissante de la richesse nationale, transformant peu à peu le pays en oligarchie : 0,1% des Américains possèdent à eux seuls la même portion du patrimoine national que... 90% du reste de la population. Comment ce scandale est-il possible ? Surtout aux États-Unis qui, rappelle Zucman dans Le Triomphe de l'injustice, coécrit avec son collègue Emmanuel Saez, ont été pendant longtemps le pays le plus exigeant du monde en matière de fiscalité progressive (les riches y payaient proportionnellement plus que les pauvres) ?"

 

je résume les lignes suivantes : Élisabeth Warren et Bernie Sanders , les candidats les plus à gauche de la primaire démocrate se sont appuyés sur les travaux de Gabriel Zucman et Emmanuel Saez pour inscrire dans leurs programmes une plateforme fiscale radicale, dans laquelle le fameux 1% des plus fortunés se verrait lourdement taxé, comme il l'a été jusque dans les années 1970.

 

L'interview de Gabriel Zucman se trouve dans le Télérama de cette semaine.

 

♣♣♣

 

Nous avons regardé la série Bad Banks. Patrick en a déduit que les banquiers ont "l'intelligence bête".

 

♣♣♣   

On tourne carrément pas rond en France ?

Détrompez-vous, on tourne en rond, on tournicote sans cesse :

Ici :

http://lafaceclairedelanuit.hautetfort.com/

 

 

 

 

 

08:15 Publié dans Lecture, Note | Lien permanent | Commentaires (0)