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23/10/2017

Formidable habitude

 

Ce matin, après quelques exercices d'ouverture, très doux, j'ai décidé que je ferai chaque jour durant l'automne et l'hiver ces exercices du poumon que je ne faisais que de temps à autre auparavant (ce qui m'a déjà valu de n'avoir que trois jours de rhume il y a quelque temps,  alors que d'habitude il traîne plus de huit jours en étant plus fatigant ). C'est ici, avec maître Ke Wen  :

 

https://www.youtube.com/watch?v=wwM5ru1f2xo

 

 

Ensuite j'ai fait ce matin, les exercices du Souffle du vent, avec Song Arun. Vous tapez dans le moteur de recherche : "Souffle du vent, Song Arun"  et vous trouvez les vidéos, car c'est en deux parties. Et c'était délicieux à faire pour moi ce matin.

 

Merci à eux.

 

08:22 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

22/10/2017

Une nouvelle habitude

 

 Une nouvelle bonne habitude : écouter un chant d'oiseau et aussi/ou alors,  des percussions. Juste avant de me bouger :

 

 

  Comment :

 

et l'on se lève éventuellement en faisant quelques doux mouvements improvisés, à droite, à gauche, peut-être légèrement saccadés... qui peuvent s'appeler "qi gong improvisé au pied levé" ou "doux dégourdissement".

21/10/2017

Costaud de chez costaud

 

j'emploie ce mot "costaud", qui j'espère ne sera pas ressenti comme trivial,  pour commenter brièvement une pensée spirituelle, il exprime bien mon admiration, lisant sur le blog Jubilate, entre autres merveilles, ceci :

 

"Thomas Merton

 

Comme Dieu est proche de nous, lorsque, reconnaissant et acceptant notre abjection, nous jetons en Lui tous nos soucis! Contre toute attente humaine, Il nous soutient lorsque nous en avons besoin et nous aide à faire ce qui semblait impossible. Nous apprenons alors à connaître Sa présence, non telle qu’on la trouve dans des considérations abstraites, déguisées sous nos propres oripeaux, mais telle qu’on la trouve dans le vide d’une espérance qui peut toucher au désespoir. Car on atteint l’espérance parfaite au bord du désespoir lorsque, au lieu de tomber dans l’abîme, on se retrouve marchant dans les airs. L’espérance est perpétuellement sur le point de se changer en désespoir, mais au moment de la crise suprême la force de Dieu est tout à coup rendue parfaite par notre infirmité. Ainsi apprenons-nous à attendre Sa miséricorde d’autant plus calmement qu’il y a plus de danger, à Le chercher paisiblement dans les périls, certains qu’Il ne peut nous manquer, même si nous sommes réprimandés par les justes et rejetés par ceux qui prétendent posséder manifestement Son amour.

Thomas Merton, Nul n’est une île (Seuil, 1956)"

 

 

 

 Comment :

 

je ne pense pas avoir déjà pensé posséder l'amour de Dieu pour ma part, un amour ne se possédant pas en fait. Mais on peut ressentir une présence indéfectible jusque dans la pire des mouises, comme de se retrouver cloué sur une croix.  Comme si Dieu lui-même était passé par là pour signifier quelque chose qui nous échappe encore et encore pour beaucoup je pense, qui m'échappe encore. Ne pas savoir mais sentir, et ce sentiment ressemble fort à de la confiance qui re émerge une fois seul(e) avec nous-même et cette présence, malgré l'incompréhension.  

09:41 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)