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06/02/2014

Duchamp et le fameux urinoir

J'ai encore lu quelque chose d'instructif ce matin. C'est à propos du "Found Art". Un professeur fait un parallèle entre les poteries grecques qui étaient rappelle-t-il, à la base, des objets utilitaires en leur temps et sont présentées aujourd'hui en grand nombre notamment au musée du Louvre, comme œuvre d'art, et la démarche de Duchamp, qui présenta quant à lui un urinoir en tant qu'objet d'art. Cette "transfiguration" de l'objet utilitaire en objet d'art eut lieu en 1917 en ce qui concerne Duchamp. À cette époque, à New York, les responsables d'une exposition d'œuvres d'art des Artistes Indépendants, malgré leur engagement à exposer tout travail leur étant soumis comme œuvre  d'art par un quelconque artiste, n'assumèrent pas finalement l'urinoir de Duchamp dès qu'ils virent l'objet en question. Ils le dérobèrent carrément à la vue des visiteurs.

 

"This started quite a controversy." Cela fut à l'origine de toute une controverse.

 

L'extrait :

 

"Artists everywhere spoke out, angry that Duchamp's piece had been hidden from view. Duchamp himself claimed he had had a very important reason for submitting the piece, which was that he wanted people to stop seeing art as only those things which are created by hands. He wanted art to be about 'intellectual interpretation'. He wanted art to be about more than just a beautiful thing which you see in front of you. He wanted to stimulate the mind, to make you think."

Les artistes en parlèrent partout, fâchés que la pièce de Duchamp ait été cachée à la vue des visiteurs. Duchamp lui-même affirma qu'il avait eu une très importante raison de présenter cette pièce, qui était qu'il voulait que les gens cessent de voir l'art uniquement sous forme de choses que l'on crée avec les mains. Il voulait que l'art soit sujet à une interprétation intellectuelle. Il voulait que l'art soit plus que, simplement, une belle chose que vous voyez face à vous. Il voulait stimuler l'esprit, pour vous faire réfléchir. 

Lu dans Englistown  

 

10:00 Publié dans Lecture, Note | Lien permanent | Commentaires (0)

05/02/2014

Lu ce matin

J'ai lu quelque chose d'intéressant sur le  Corporate Social Responsability, CSR,  Responsabilité Sociale des Entreprises ; elles s'engagent à respecter un pacte d'ordre éthique et écologique. Les entreprises engagées, n'externalisent, si j'ai bien compris, que si leur bases locales fonctionnent bien, on ne peut donc pas traduire par "délocalisation". Engagement aussi à ne pas externaliser des entreprises vers des pays où le droit du travail n'est pas respecté (enfants au travail, conditions de travail dangereuses). Les salariés de base doivent avoir des salaires corrects etc. On recycle, on ne vend pas le vieux matériel mais on en fait don aux écoles par exemple, si c'est du matériel de bureau, écoles qui sont dans les zones les plus pauvres. Un petit extrait :

 

"Gone are the days when a company simply gave a wedge of money to charity. Everyone now sees that as a cynical publicity stunt. I mean, what's a million dollars when the company's annual turnover is 150 billion? However, consistent application of Corporate Social Responsibility can both help your company and help people in need in your local community and around the world."

 

Fini le temps où une entreprise donnait simplement un peu d'argent à l'institution caritative. Tout le monde voit cela maintenant comme un coup de pub cynique. Je veux dire, qu'est-ce que représente un million de dollars lorsque le chiffre d'affaires annuel d'une compagnie est de 150 milliards ? Cependant l'application cohérente de la Responsabilité Sociale des Entreprises peut à la fois aider votre entreprise et aider les gens dans le besoin dans votre localité ou dans le monde. 

Englishtown 

 

 

 

 

 

 

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04/02/2014

Night

"Night. A man is walking from Jerusalem to Jericho when he is attacked, robbed and badly beaten by thieves. The man is left to die in a ditch. A priest passes .... and doesn't stop to help the man .... another man passes .... and doesn't stop to help. Then, a Samaritan passes. Now, at that time, Samaritans and Judeans were not on friendly terms. In fact, they really didn't like each other. However, the Samaritan stopped, picked up the injured man, carried him on his donkey to an inn, and took care of him. The next day, the Samaritan paid the innkeeper two silver coins to look after the injured man, and left. Why did the Samaritan help the man, when their people were enemies?

 

 

Los Angeles, 1984.. Neighbors have been complaining about a child crying. Apartment manager Leon T. Graves, an African American, opens the door .... to find a seven-month old Korean boy just hours away from death, abandoned in the empty apartment. Graves took the child to hospital. Then, two weeks later, took the little boy home and looked after him. Graves couldn't bear to see the orphaned boy put into the state adoption system. He decided to bring the child up himself. He even learned to cook Korean food and started taking the boy, whose name was Roy Chung, to a Korean church. At the time, the sight of an old black African American carrying a little Korean boy amazed both the black and the Korean communities of Los Angeles.

 

 

What force made Leon T. Graves pick up that little Korean baby and take care of him? What force made the Good Samaritan help the Judean? Was it the force of human kindness? Many scientists and philosophers would say humans are naturally selfish and that everything we do is to help ourselves. Maybe the Good Samaritan thought he would go to heaven if he was kind. Maybe Leon T. Graves was just lonely. Or is it that we show kindness to others because, if we were in the same situation, we'd hope others would do the same for us?" 

Englishtown

 

 

 

 

 

 

 

 

 

12:38 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)