Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

05/12/2007

En amour

En amour, les êtres enceints les uns des autres dialoguent silencieusement.

Pierrot me confie son chagrin et je lui rends espoir.

06:08 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (3)

04/12/2007

Les Indiens

da40a5645362e3ee65776d383193ecb0.jpgTOMSON HIGHWAY C'est une longue histoire. Pour trouver la réponse à une telle question, il faut explorer de façon très sérieuse le caractère et la mythologie des peuples indiens et européens. Au cœur de la mythologie des Indiens d'Amérique du Nord se trouve une divinité féminine, la Terre mère, alors que le Dieu de la mythologie chrétienne est masculin, et il n'a pas de femme. Une seconde différence vient de l'idée (vraiment bizarre pour nous) de ce Dieu chrétien qui n'a pas d'épouse mais dont le fils naît d'une vierge. Chez nous, le premier enfant auquel cette déesse a donné naissance est un clown. Un dieu qui rit, qui a un très grand sens de l'humour. Sa raison d'être est le rire. C'est pour ça que le rire est toujours dans la langue crie. Chaque syllabe danse et rit. Enfin, l'expulsion du jardin d'Eden se trouve au centre de la mythologie chrétienne. Pour les Indiens, nous sommes toujours dans le jardin. Il n'y a jamais eu d'expulsion. Les Indiens d'Amérique du Nord considèrent que la Terre est un jardin : un jardin de plaisir, un jardin de joie, un jardin de beauté.

lire l'article intégralement

Béranger

La bonté est quasi incompréhensible pour de nombreux intellectuels, c’est pourquoi elle est souvent confondue avec l’angélisme. Je pense aux chansons de François Béranger.

Pas une ombre de paternalisme dans les chansons de Béranger. Nulle condescendance. Aucun angélisme non plus : Béranger ne prône pas le dénuement mais une amélioration de la condition des plus défavorisés. Et sa tendresse le garde du misérabilisme ou autre forme de pathos.

04:55 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)