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09/10/2007

Salvador Dali

Saviez-vous que Salvador Dali avait une passion pour les oursins de mer ?

a78f92a451bdbacdb2bf31d544419c8f.jpgPour Dali, l’oursin de mer (avec son hémisphère, protégé par un squelette de calcaire, formé par des plaques polygonales et couvert d’épines articulées, avec la bouche au milieu de la face inférieure et l’arrière-train dans la partie supérieure) c’est un microcosme parfait modelé à l’image du décaèdre. Pour lui, quand à travers l’eau agitée par la mer, il admirait le rythme anesthésiant et silencieux des oursins, dans le paroxysme de sa vision, il les imaginait comme la représentation même de l’Univers.

Dans sa vie quotidienne, Dali vivait entouré de squelettes d’oursins, tous avec leur jolie et délicate armure à fleur de « chair de poule », situés sur les étagères des murs blancs de son labyrinthe résidentiel de Port Lligat où il se réfugiait avec Gala loin des mondanités. Lors de ses banquets, les oursins ne manquaient pas non plus. Dans un premier temps, il les considérait comme l’adrénaline la plus appropriée pour déclencher systématiquement un délire, par ailleurs, dans différentes cultures, ils symbolisent la force vitale et le principe fondamental.

Source : Wikipédia.

 

Le génome de l’oursin de mer décrypté depuis peu.  

 

 

 

08/10/2007

Poésie

Un passage de l’ombre du vent de Carlos Ruiz Zafon, page 26

 

Ce dimanche-là, le ciel s’était nettoyé de ses nuages et les rues se retrouvèrent noyées dans une buée brûlante qui faisait transpirer les thermomètres sur les murs. Au milieu de l’après-midi, alors que la température frôlait déjà les trente degrés, je partis vers la rue Canuda pour me rendre à mon rendez-vous avec Barcelo, le livre sous le bras et le visage couvert de sueur. L’Ateneo était — et est toujours — un des nombreux endroits de Barcelone où le XIXième siècle n’a pas encore été avisé de sa mise à la retraite. De la cour solennelle, un escalier de pierres conduisait à un entrelacs fantastique de galeries et de salons de lecture, où des inventions comme le téléphone, le stress ou la montre-bracelet semblaient autant d’anachronismes futuristes.

Manitas de Plata, ici

et pour finir, un peu d'harmonica, ici

 

16:50 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (2)

Dépression

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L’Europe, une bobo dépressive ? À lire : ici.

Ana Johnsson, catch me if you can : ici

The way I am, écoutez : ici