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12/08/2017

une forme de misère

 

Je rends visite à une personne à qui j'ai fait du pain bio que j'aime manger pour ma part car mon compagnon et moi lui trouvons bon goût et il est fait  à partir de farine de sarrasin et de farine de millet, donc riche en protéines et non pas trop chargé  en glucides...  le personnel de l'établissement a jeté le pain. Raison : le patient lui, ne l'aimait pas fort. Mais j'avais demandé que le pain me soit rendu  au cas où le patient ne l'aurait pas apprécié. C'est la deuxième fois que l'on jette ainsi un produit alors que je demande qu'il me soit rendu s'il n'est pas apprécié.

 

Les français sont-ils violents ? Je réponds que oui, à l'usure de ce genre d'expérience avec mes compatriotes institutionnalisés, que ce soient des institutions privées ou publiques... au vu de ce genre de comportements récurrents ils  sont  hyper violents à mon sens. Qu'en est-il de la jeunesse qui se trouve dans toutes ces institutions,  scolaires y compris où je me rappelle au passage qu'une prof de français jugeait souvent ses élèves sur leur apparence physique.

 

Soit sous le choc de ces comportements des "référents"  ripoux, trop nombreux,  ils manquent de personnalité et ne quittent plus leurs parents qu'à un âge très tardif, comme trente ans ! soit ils deviennent violents. C'est parfois les deux à la fois. 

 

Quel dommage mon pays que j'aimerais tant pouvoir aimer !

 

Pour le "pain quotidien", c'est raté pour le moment, ce n'est pas faute d'avoir essayé.  Il faut du courage pour garder la foi ! je la garde mais sans référence religieuse à laquelle je ne crois plus par contre.

10:38 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

La Plume dans la Plaine par Claire Devarrieux ♣♣♣ L'Ouest, ensuite les Levants ♣♣♣ Renato Cisneros

 

Claire Devarrieux parle dans son article du 13 mai 2015, paru dans Libération,  de l'œuvre, de la biographie, et de la sensibilité de Wallace Stegner (rupture assumée avec l'assise européenne pour revendiquer un certain nomadisme) ; l'homme est un écrivain américain qui célèbre entre autre les paysages de l'Ouest. L'article :

 

http://next.liberation.fr/livres/2015/05/13/wallace-stegn...

 

♣♣♣

 

L'un a célébré L'Ouest, l'autre  célèbre les Levants, en BD cette fois :

 

http://next.liberation.fr/livres/2017/08/04/levants-se-le...

 

♣♣♣

 

Les premières pages d'un roman de Renato Cisneros, rentrée littéraire, ici :

 

http://next.liberation.fr/livres/2017/08/04/vous-etes-l-e...

07:30 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

11/08/2017

une supériorité de l'animal à quatre pattes ♣♣♣ L'article lu ce matin parle "des sectes" en quelque sorte

 

Une supériorité de l'animal à quatre pattes sur l'homme est qu'ils savent pour beaucoup faire pivoter leurs oreilles et les tendre et les dresser pour certains d'entre eux. Chez les hommes on sent qu'il y a un regret de ne pouvoir le faire avec ces expressions métaphoriques en français : "dresser l'oreille", "tendre l'oreille" (voulant tendre l'oreille l'homme entendant penche souvent sa tête du côté d'où vient le son, faute de pouvoir tendre pour de bon cette oreille, tel un félin par exemple ; par contre les chiens aux oreilles tombantes sont incapables eux aussi de les tendre, ce privilège étant plutôt réservé aux oreilles pointues)... du coup, nous trouvons les chats comiques lorsqu'ils dressent l'oreille... pas de pluriel car parfois ils n'en dressent qu'une, cela fait partie de leur capital souplesse...

Frustrés que nous sommes nous les trouvons comiques en effet,  car "trop" en terme d'expressivité, leurs oreilles, telles des antennes, trahissent  une inquiétude de lapins aux abois et cela nous conforte dans le fait que quand même, malgré tout, nous leur sommes supérieurs... nous avons pour nous la discrétion, le sérieux allant avec.

 

C'était la tartine du jour.

 

Bien assortie à la lecture du jour :

 

I tried to discover, in the rumor of forests and waves, words that other men could not hear, and I pricked up my ears to listen to the revelation of their harmony.

~ Gustave Flaubert

 

Traduction : J'ai essayé de découvrir, dans la rumeur des forêts et des vagues, des mots que ne pouvaient entendre les autres hommes, et j'ai dressé l'oreille pour écouter se révéler leur harmonie.

 

♣♣♣

 

J'ai apprécié l'analyse faite dans cet article s'intitulant "Je suis devenue une moins que rien"

 

Merci et bravo l'artiste qui a écrit cet article :

 

http://lejourou130113.hautetfort.com/archive/2017/08/10/j...

09:29 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)