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12/08/2017

une forme de misère

 

Je rends visite à une personne à qui j'ai fait du pain bio que j'aime manger pour ma part car mon compagnon et moi lui trouvons bon goût et il est fait  à partir de farine de sarrasin et de farine de millet, donc riche en protéines et non pas trop chargé  en glucides...  le personnel de l'établissement a jeté le pain. Raison : le patient lui, ne l'aimait pas fort. Mais j'avais demandé que le pain me soit rendu  au cas où le patient ne l'aurait pas apprécié. C'est la deuxième fois que l'on jette ainsi un produit alors que je demande qu'il me soit rendu s'il n'est pas apprécié.

 

Les français sont-ils violents ? Je réponds que oui, à l'usure de ce genre d'expérience avec mes compatriotes institutionnalisés, que ce soient des institutions privées ou publiques... au vu de ce genre de comportements récurrents ils  sont  hyper violents à mon sens. Qu'en est-il de la jeunesse qui se trouve dans toutes ces institutions,  scolaires y compris où je me rappelle au passage qu'une prof de français jugeait souvent ses élèves sur leur apparence physique.

 

Soit sous le choc de ces comportements des "référents"  ripoux, trop nombreux,  ils manquent de personnalité et ne quittent plus leurs parents qu'à un âge très tardif, comme trente ans ! soit ils deviennent violents. C'est parfois les deux à la fois. 

 

Quel dommage mon pays que j'aimerais tant pouvoir aimer !

 

Pour le "pain quotidien", c'est raté pour le moment, ce n'est pas faute d'avoir essayé.  Il faut du courage pour garder la foi ! je la garde mais sans référence religieuse à laquelle je ne crois plus par contre.

10:38 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

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