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11/01/2008

banquise

3d5d95fae182604fe79622eebbd74567.jpg"Une telle exposition ne pouvait éviter le sujet du réchauffement climatique, les pôles étant probablement la région du monde ou ses effets sont les plus visibles. L’un des exemples les plus parlants est la diminution de la taille de la banquise, qui aurait perdu 40% de son épaisseur et 10% de sa superficie en 10 ans, tout simplement effrayant ! Les conséquences sont bien sûr multiples, notamment pour la survie des espèces, l’exemple le plus symbolique étant encore une fois l’ours polaire : rappelez vous le malheureux ours du film d’Al Gore (« An unconvenient truth »), qui finit par se noyer faute de pouvoir rejoindre la banquise. Cette image est d’ailleurs reprise dans le documentaire de la BBC « Un jour sur terre », que je vous conseille fortement d’aller voir (petite nuance, l’ours meurt dans ce cas de faim et de ses blessures, suite à un combat perdu d’avance contre des éléphants de mer)."

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EDMONTON - Une recherche qui compare les tendances au suicide dans différentes régions de l'Arctique permet de mieux comprendre les racines d'un problème social qui supprime des dizaines de vies de jeunes Inuits chaque année - et donne espoir que les choses changent.Dans un article paru récemment dans la publication "Aboriginal Issues", le chercheur Jack Hicks établit une corrélation entre les taux de suicide chez les Inuits d'Alaska, du Groenland et du Nunavut et la période au cours de laquelle leurs gouvernements respectifs les encourageaient à renoncer au nomadisme et à vivre en sédentaires. Dans ces trois pays, les taux de suicide ont commencé à grimper au sein de la première génération d'Inuits nés en ville - les filles et les garçons de ceux qui avaient vécu uniquement des ressources de la terre. Cette tendance a commencé à se manifester dans le nord de l'Alaska dans les années 1960, au Groenland dans les années 1970 et au Nunavut dans les années 1980.

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12:18 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)

10/01/2008

santé de tous les jours

Même à faibles doses, la fumée des autres tue. Voilà pourquoi l’INCA encourage « vivement les responsables du secteur des cafés, hôtels, restaurants et discothèques à ne pas attendre le 1er janvier 2008 pour protéger leurs salariés. »

Rappelons que le tabagisme passif tue chaque année en France près de 6 000 personnes. Et une étude internationale confirme qu’il n’y a pas de seuil d’exposition sans risque à la fumée de tabac. Toute exposition même brève est nocive. Selon un travail mené par le Centre international de Recherche sur le Cancer (CIRC) de l’OMS, à Lyon, la pollution par la fumée de tabac est la plus élevée dans les restaurants, brasseries, bars et discothèques.

Even in small doses, other people’s smoke can kill. That is why INCA is strongly encouraging “café, hotel, restaurant and discothèque managers not to wait until 1 January 2008 to protect their employees”.

For the record, passive smoking kills up to 6,000 people in France each year. An international study confirms that there is no threshold for exposure without risk to smoke. All exposure is dangerous, however brief. According to research carried out by the WHO International Cancer Research Centre (CIRC) in Lyon, pollution caused by tobacco smoke is highest in restaurants, brasseries, bars et discothèques.

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07/01/2008

Rennes

Par tous, pour tous, sur tout

Quand sonne la fin de ce Printemps rennais, la question de la survie ou non du 69.3 se pose naturellement. « Après Paris, Rennes est l'une des villes les plus politisées de France » Le bouillonnement de la ville, même en temps d'accalmie, justifie à lui-seul que le concept perdure. « On a alors voulu se poser comme un réseau, un relais de toutes les dynamiques rennaises : assos, décroissance, écolos, altermondialistes... »

Le 69.3 alors, parle de tout et à tout le monde, sans barrière ni frontière intellectuelle. « Ce que nous voulons, c'est être à la pointe de la réflexion sociale et l'intégrer dans des choses plus simples ; du niveau universitaire à celui du langage parlé. » Témoignages, chansons, poèmes, blagues font ainsi chambre commune avec des textes plus alambiqués. Point de frontière géographique non plus. Dans le dernier numéro, le dixième, paru en novembre dernier, on parle Birmanie, Vénézuéla, franchise médicale, LRU...

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