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13/08/2008

Mahmoud

« C’est lui Mahmoud Darwich qui écrivit: «Nous souffrons d’un mal incurable qui s’appelle l’espoir. Espoir de libération et d’indépendance. Espoir d’une vie normale où nous ne serons ni héros, ni victimes. Espoir de voir nos enfants aller sans danger à l’école. Espoir pour une femme enceinte de donner naissance à un bébé vivant, dans un hôpital, et pas à un enfant mort devant un poste de contrôle militaire. Espoir que nos poètes verront la beauté de la couleur rouge dans les roses plutôt que dans le sang. Espoir que cette terre retrouvera son nom original: terre d’amour et de paix». Qui a dit que les grands créateurs mouraient ? Les poètes ne meurent jamais. Et c’est le cas de Mahmoud Darwich, car tant qu’existera la civilisation des hommes, existeront, s’entendront, se chanteront et vibreront les sonorités de sa poésie à travers les générations quia continueront de croire en la force de l’amour et de la paix. Car les rêves de Mahmoud Darwich étaient en effet d’amour et de paix. » ICI

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03/08/2008

Jacques Izoard

Jacques Izoard a écrit Pulvérisons ensemble/raisons et déraisons. Extrait de Thorax, son dernier recueil paru, chez PHI :

 «Dans le caillou, le poing gelé./ Mais un cœur bat quand même/ qui ne fait que répéter/ soubresauts et coups sourds./ D’autres poings dans le poing/ sont des pierres à la volée.»

Libération

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16/07/2008

Interview de Mahmoud Darwich

"J'essaie d'insuffler un peu de joie et d'espoir. Car s'il s'agit juste de dire les conditions dans lesquelles les Palestiniens vivent, ils peuvent le dire mieux que moi et la télévision s'en charge aussi", explique à la presse celui qui est considéré comme l'un des plus grands poètes en langue arabe contemporains." TV5 Monde

16:52 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)