03/11/2014
Ma famille dans les années soixante-dix
Le petit bout de chou avec sa frimousse toute ronde, c'est Véro, ma petite sœur ; à côté à gauche, le blondinet, c'est Didier, le petit frère ; le beau gars à droite, c'est mon papa Félix ; à côté Ma mère, Marie Madeleine ; à sa droite avec la veste bleu marine et cravatée, c'est Christine ma sœur aînée ; à côté d'elle, portant lunettes, c'est Martine, la plus petite des filles une fois l'âge adulte atteint (je parle en hauteur) ; et enfin, en veste orange, avec ses fausses anglaises, car mes cheveux ont tjrs été raides comme le bambou, c'est moi. C'était farce non ? les années soixante-dix. J'allais oublier la "Quatre ailes"... formidable ! Nous entrions tous là-dedans !
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01/11/2014
Le vent s'est fait attendre...
Espérons que demain les chars à voile auront le vent en poupe pour la course qui aujourd'hui a été interrompue, faute d'un vent suffisamment fort. La photo ci-dessous est un zoom dans le rétroviseur, je la prends du siège avant, juste avant notre départ pour Berck. La journée s'annonçait trop clémente pour le char à voile dans le département.
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27/09/2014
Les veilleurs. Photos prises ce soir
Titre du chapitre en vue sur la photo : Le marquis Saladin. J'ai une addiction à Féval... qui se venge de ma critique. C'est que Féval n'a pas que des défauts, en effet, il parle comme plus jamais on ne parle au vingtième et aujourd'hui, des sans voix. Alors bien sûr, il idéalise à l'extrême une personne ayant vécu jusqu'à l'adolescence dans le milieu des chiffonniers et qu'il montre comme divine, la perfection même sur tous les plans, mais c'est tellement l'exact opposé de la façon, j'imagine, dont on s'aventurerait à parler d'une marginale si belle fût-elle, aujourd'hui, que c'en est fascinant ; quand il parle de ceux qui entourent la demoiselle de si "basse extraction" mais sublime, une certaine cruauté s'insinue à l'insu parfois de l'auteur je pense, qui ne se rend pas toujours bien compte de celle-ci, notamment lorsqu'il s'agit du serviable Médor, lequel n'est pas un chien mais un homme portant ce sobriquet. Dure réalité des mœurs dont il est un témoin parfois trop zélé, presque complice jubilatoire, concernant notamment Médor. Des erreurs, d'éthique disons le mot, sont commises selon moi (la perfection physique par exemple, qui devrait se cantonner dans la subjectivité mais qui s'impose chez Féval comme un canon incontournable, remarquez, que d'auteurs, surtout hommes, la commettent cette erreur qui a à voir avec l'éthique et le respect des femmes), néanmoins à l'époque, des auteurs parlaient d'eux : de ceux que maintenant on évacue sous une chappe de silence en les désignant comme les 'cas soss" (cas sociaux). Aujourd'hui, on ne parle plus que des classes moyennes dans la littérature française (sauf Bernanos avec sa Mouchette au parler picard, la deux), c'est pourquoi les auteurs du 19è et avant m'intéressent beaucoup plus, sinon il faut aller du côté de la littérature américaine. Ce peuple de la galère ordinaire en France dont parlaient des auteurs comme Féval avec ses chers forains pour ce qui le concerne, et ils y tenaient beaucoup.
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