Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

05/10/2018

Défaite au parfum de... ou porte ouverte sur une autre dimension ♣♣♣ Guy Gilbert

 

droh-flower-joan-amero-20181004.jpg

Une photo trouvée sur le site du Daily Ray of Hope.

De Joan K Amero, qui l'a prise dans l'Orégon.

 

"To be overcome by the fragrance of flowers is a delectable form of defeat."

~ Beverley Nichols

 

Etre envahi par le parfum des fleurs est une forme délectable de défaite.

 

♣♣♣☺

 

"Guy Gilbert

 

 

Nous aimons notre Eglise avec ses limites et ses richesses, c’est notre mère. C’est pourquoi nous la respectons, tout en rêvant qu’elle soit toujours plus belle. Une Eglise où il fait bon vivre, où l’on peut respirer, dire ce que l’on pense. Une Eglise de liberté. Une Eglise qui écoute avant de parler, qui accueille avant de juger, qui pardonne sans vouloir condamner, qui annonce plutôt que de dénoncer. Une Eglise de miséricorde.

 

Une Eglise où le plus simple des frères comprendra ce que l’autre dira, où le plus savant des chefs saura qu’il ne sait pas, où tout le peuple se manifestera. Une Eglise de sagesse. Une Eglise où l’Esprit-Saint pourra s’inviter parce que tout n’aura pas été prévu, réglé et décidé à l’avance. Une Eglise ouverte. Une Eglise où l’audace de faire du neuf sera plus forte que l’habitude de faire comme avant.

 

Une Eglise où chacun pourra prier dans sa langue, s’exprimer dans sa culture, et exister dans son histoire. Une Eglise dont le peuple ne dira pas: Voyez comme ils sont organisés, mais dira: Voyez comme ils s’aiment. Eglise des banlieues, des rues et des cités.

 

Tu es encore petite,  mais tu avances. Tu es encore fragile, mais tu espères. Lève la tête et regarde: le Seigneur est avec toi.

 

Guy Gilbert, La messe: un enchantement déserté (Philippe Rey, 2017)"

 

Lu ce matin dans Jubilate Deo

 

 

 

07:31 Publié dans Lecture, Photo | Lien permanent | Commentaires (0)

09/09/2018

Yoko ce matin, plus du tout "chat des Baskerville" comme l'autre jour, en "rouge d'enfer" pour le papillon

 

Avant Yoko, voici la photo du chat du voisin. Non, ce n'est pas Nono. Quand ce jeune mâle était encore plus jeune, je les confondais. Maintenant il porte sa virilité, ou sa mâlitude. De plus, Nono, à 73 ans (traduction en âge humain), ne fait plus ce genre d'acrobatie.

 

Ici, Channel, c'est son nom, sourit, regardez bien. En respirant le bout d'une branchette et en écoutant la petite cascade. Je faisais quelques mouvements très simples de qi gong quand je l'ai entendu grimper, de l'autre côté de la clôture, puis vu apparaître et s'installer. Je pense que les chats aiment voir les humains pratiquer ce genre de gymnastique. Les chats aiment aussi ce genre de clôture... ils pensent que ce sont des équipements installés pour eux, vu comment leur ego est balèze.

 

 

P1010005.JPG

 

 

P1010009.JPG

 

♣♣♣

J'ai pris la photo en me penchant, appareil sous le mollet... comme on tire à vue, il y a des photos "à vue", où l'on devine la position de celui ou celle que l'on veut photographier, ou plutôt, où on espère qu'il se trouve bien là comme on le pense. Pour cette photo ça a "fonctionné"pile-poil !

 

P1010017.JPG

10:39 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0)

01/07/2018

Photos du Touquet, plus une de La grenouillère, à Montreuil sur Mer

Mimétisme inconscient, Patrick croise les bras comme le monsieur bleu derrière lui. Dont une branche cache la moue.  Mais Patrick ne reproduit pas la moue.

P1010001.JPG

 

P1010002.JPG

Là il reproduit peut-être un peu la moue.

 

Le charme des grands pieds toujours :

P1010003.JPG

 

Photo suivante :

 

 On pourrait croire que l'on visite la maison de saint Benoît à Amettes car les bâtiments datant de 300 ans, sont des longères m'a dit la directrice du lieu. Je voulais visiter la vieille bâtisse, lui disant en la voyant : "ça se visite ?"  et elle m'a indiqué que j'allais entrer dans un restaurant à la mauvaise heure.  Comme elle était aimable je lui ai parlé de la ressemblance de la bâtisse avec la maison de saint Benoît, à quoi elle m'a répondu ".... ce doit être des longères là-bas aussi." Je comprends : bâtiments longeant la cour, à un seul étage. Cette charmante personne, de, à tout casser, 24 à 26 ans, m'a indiqué que derrière, se trouvaient des marais.... pour la pêche à la grenouille ? Car la spécialité du lieu est de servir des cuisses de grenouille aux hôtes (clientèles argentée). Perso je n'en ai jamais mangé, bien que je n'aie toujours pas réussi à devenir végétarienne. Des anglaises visitaient les lieux et photographiaient cet endroit étrange où l'on se régale de grenouilles (que peut-être on enfourne toutes vivantes dans la bouche, allez savoir de quoi sont capables ces français argentés.) Nous, nous étions là, juste pour la beauté des lieux, comme les anglaises fascinées.

 

 

P1010007.JPG

 

 

P1010005.JPG

11:38 Publié dans Lecture, Photo | Lien permanent | Commentaires (0)