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11/06/2019

La grosse frayeur ♣♣♣ La scène

Hier je parlais des conseils des mères et non pas maires, qui conseillent souvent à leurs enfants de faire pipi s'ils ont eu une émotion forte et j'ai parlé, je ne sais trop pourquoi, de grosse frayeur, et voilà que quelqu'un dont j'avais déjà noté certains déséquilibres mentaux, par téléphone, m'en cause une ce matin.

 

Me disant d'abord des choses d'une violence certaine de par l'absurde qu'elles dégagent et qui, faisant montre de cette violence, me demande d'un ton innocent de me rendre chez elle comme si de rien n'était d'où, vu l'ampleur des propos de plus en plus absurdes cette frayeur qui s'installa peu à peu... j'en arrive à penser qu'il est possible, vu leur état, qu'on empoisonne mon café.

Première chose : débrancher le téléphone au cas où un autre coup de fil de ce genre serait à nouveau donné et ensuite respirer profondément, car au niveau évacuation par l'urine les reins semblent bloqués pour le moment.

 

Et maintenant, une séance de purification par le qi gong.

  En fait je prie quand je suis en sécurité, pour remercier. Donc, d'abord la séance, que je mets en ligne ici car il n'y a pas besoin d'avoir enduré une peur ou un stress pour la faire :

 

 

Séance faite. Et que vois-je dans ma barre de droite ? Dame Ke Wen qui "s'est infiltrée" telle une belle espionne et qui me propose d'abord de "soulever le colosse". Comment ne pas aimer ces dames ? Grandes d'âme comme dirait Millie. Ici :

 

 

Et pour définitivement débloquer les reins :

 

 

♣♣♣

 

J'ai réussi à écrire une scène qui me donnait du fil à retordre dans la fiction que j'écris, qui croise trois générations. Je l'ai écrite après ces séances, j'étais bien concentrée. Comme c'était en manuscrit, me reste à la taper et à l'enregistrer dans le fichier.

 

 

 

 

15:35 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

10/06/2019

Il veut partager ses précieuses connaissances de soin ♣♣♣ La gestion de l'eau dans le corps

 

Merci monsieur le thérapeute, ici :

 

 

https://www.gilamsallem-formation.com/a-propos

 

♣♣♣

 

Quand on a eu une grosse frayeur, il faut faire pipi. C'est ce que disent les mères à leurs enfants.

Les  reins, ce n'est pas rien. On évacue l'eau grâce à eux. Pour stimuler les reins, on peut passer par un massage d'un point d'acupuncture situé sous le pied, que nous montre la dame, en complémentarité avec le premier post :

 

https://www.youtube.com/watch?v=KH2r7xeOBWc

Poème et foi ♣♣♣ Soignant chrétien sous Hitler ♣♣♣ Le peintre inspiré par sa foi ♣♣♣ Le poème comme un appel

Lu ceci ce matin dans ma messagerie,  dernier mail, prêt à être cueilli.

 

 

"Bonjour à tous !

En ce lundi de Pentecôte, je vous propose un poème sur l’Esprit Saint, écrit par Edith Stein à la Pentecôte 1937, en religion sœur Thérèse-Bénédicte de la Croix (1891-1942), morte à Auschwitz.

 

1. Qui es-tu, douce lumière, qui me remplit
et illumine les ténèbres de mon cœur ?

 

Comme la main d'une mère, tu me conduis
et, si tu me lâchais,
je ne saurais faire un pas de plus.
tu es l'espace enveloppant mon être
et l'abritant en toi.
Le rejetterais-tu,
il coulerait à pic dans l'abîme du néant
d'où tu le tiras pour l'élever vers la lumière.
Toi, qui m'es plus proche que je ne le suis moi-même,
qui m'es plus intérieur que mon propre cœur,
et pourtant insaisissable, inconcevable,
au delà de tout nom,
Saint-Esprit, éternel Amour !



2. N'es-tu pas la manne si douce à mon palais,
qui du Cœur du Fils déborde dans le mien,
nourriture des anges et des bienheureux ?
Lui qui s'est levé de la mort vers la vie,
il a su m'éveiller du sommeil de la mort
à une vie nouvelle.
Vie nouvelle qu'il me donne chaque jour
et dont la plénitude doit un jour m'inonder,
Vie de ta propre vie, toi-même en vérité,
Saint-Esprit, vie éternelle !



3. Es-tu le rayon jaillissant comme l'éclair
depuis le trône très haut du Juge éternel,
pénétrant comme un voleur dans la nuit de l'âme
qui s'ignorait elle-même ?
Miséricordieux, impitoyable aussi,
tu pénètres jusqu'en ses profondeurs cachées
L'âme est effrayée de ce qu'elle voit d'elle-même
et se garde ainsi dans une crainte sacrée
devant le commencement de toute Sagesse
qui vient d'en-haut
et nous y ancre d'un ancrage solide,
devant ton action qui nous crée à nouveau,
Saint-Esprit, rayon que rien n'arrête !



4. Es-tu la plénitude d'Esprit et de puissance
qui permet à l'Agneau de rompre les scellés
du décret éternel de la divinité ?
Sur ton ordre, les messagers du jugement
chevauchent de par le monde entier et séparent,
du tranchant de l'épée, le Royaume de lumière
de celui de la nuit.
Les cieux seront nouveaux et la terre nouvelle,
et tout retrouvera alors sa juste place
par ton souffle léger :
Saint-Esprit, puissance victorieuse !



5. Es-tu le Maître d’œuvre,
le bâtisseur de la cathédrale éternelle
qui depuis la terre s'élève jusqu'au ciel ?
Tu donnes vie à ses colonnes, qui se dressent,
hautes et droites, solides et immuables.
Marquées du signe de l'éternel Nom divin,
elles s'élancent vers la lumière et portent le dôme
qui achève et couronne la sainte cathédrale,
ton œuvre qui embrasse l'univers entier:
Saint-Esprit, Main de Dieu créatrice !



6. Es-tu Celui qui créa le miroir limpide
tout proche du trône du Seigneur, le Très-Haut,
semblable à une mer de cristal où se contemple
la divinité en un échange d'amour ?
Tu te penches sur l’œuvre la plus belle
de toute ta création
Et ta propre splendeur éblouissante de lumière
te renvoie son reflet,
qui unit la pure beauté de tous les êtres
en la figure pleine de grâce de la Vierge,
ton Épouse immaculée:
Saint-Esprit, Créateur de tout ce qui est !



7. Es-tu le doux cantique de l'amour
et du respect sacré qui retentit sans fin
autour du trône de la Trinité sainte,
symphonie où résonne
la note pure donnée par chaque créature ?
Le son harmonieux,
l'accord unanime des membres et de la Tête,
dans laquelle chacun, au comble de la joie,
découvre le sens mystérieux de son être
et le laisse jaillir en cri de jubilation,
rendu libre
en participant à ton propre jaillissement:
Saint-Esprit, jubilation éternelle !

 

Proposition de prière :

"Mon Dieu, envoyez-moi votre Esprit qui me fasse connaître ce que je suis et ce que vous êtes".
Saint Jean-Marie Vianney, curé d'Ars"

 

♣♣♣

 

"Bienheureux Eustache Joseph Kugler (1867 - 1946)

 

Né Joseph Kugler en 1867, un accident le laisse avec un handicap à un pied qui le fit souffrir jusqu'à la fin de sa vie. Il entre dans l'ordre de Saint Jean de Dieu, prend le nom de frère Eustache et fait ses vœux en 1898.

 

Il se préoccupe des handicapés et des invalides. Il devient provincial de la Bavière en 1925 (16 hôpitaux) et construit l'hôpital de Regensburg avec une attention particulière pour les pauvres et les nécessiteux. Il se heurte au régime hitlérien et clame son opposition à l'euthanasie des malades, infirmes et vieux. Il a été interrogé à plusieurs reprises par la Gestapo. Il meurt d'un cancer le 10 juin 1946.

 

Prière

 

Prions afin que le Seigneur nous aide à faire de nos faiblesses une force qui nous permet d'aider nos frères de quelque manière que ce soit tout au long de notre vie."

 

Sur le site Hozana

 

♣♣♣

 

Il est un peintre du Pas-de-Calais qui a travaillé dans les mines, au fond, et qui a créé des peintures lumineuses qui ressemblent à de magnifiques vitraux, inspirées par la foi elles aussi. Son nom va me revenir. Et il y a Lui, édifiant également à ce qu'on dit et je veux bien le croire : 

 

https://orthodoxie.com/reedition-des-carnets-dun-peintre-dicones-du-moine-gregoire-kroug/?goal=0_9357f9bbb5-36160af599-76436075&mc_cid=36160af599&mc_eid=853f4eb0e6

 

♣♣♣

 

Ici le poème a valeur d'appel pour exprimer une détresse. Il est écrit par une femme blanche qui se vit comme noire, dans le sens où, à son époque, les Noirs étaient encore rejetés. Elle est dans cette condition du rejet des autres et parle à son enfant virtuel. Une femme de condition ouvrière ou dans une autre galère pourrait avoir cette détresse  :

 

 

Don’t knock at my door, little child,
     I cannot let you in,
You know not what a world this is
     Of cruelty and sin.
Wait in the still eternity
     Until I come to you,
The world is cruel, cruel, child,
     I cannot let you in!

 

Don’t knock at my heart, little one,
     I cannot bear the pain
Of turning deaf-ear to your call
     Time and time again!
You do not know the monster men
     Inhabiting the earth,
Be still, be still, my precious child,
     I must not give you birth!

 

Sur le site poem a day ; le poème est de Georgia Douglas Johnson, et s'intitule  Black Woman.