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10/07/2017

De l'importance de communiquer

 

 

 

""In McLean’s 1992 book about small town Canada, Welcome Home, English and French Canada don’t always seem to know much about each other. One example is the Quebecer who has never heard of French Immersion. I ask McLean, who travels across Canada for the Vinyl Café: Have things improved since then? “I suspect that Canadians are more tolerant, more accepting of each other,” he replies, “but it’s time for us to go the next step.” As he put it in his broadcast, “we haven’t been successful with our sense of each other. We have been tolerant and… accommodating too, but we haven’t said that they are also us.

 

We haven’t embraced the most fundamental truth about us: that they are us, and we are them.”

 

It’s the old Martin Buber idea, “I am thou,” he tells me.

 

McLean grew up in the very English-speaking suburb of West Montréal. “I learned the basics of French at school, but it’s when I spent the summer working on a construction site where I was the only “Anglo” within 50 miles that, for the first time... I understood what it meant to communicate in another language.” Looking back on that experience, he says: “I think I learned not to be shy—I could make errors, be inarticulate. I learned that I could communicate with my high school French.”"

 

Intégral : http://www.ocol.gc.ca/newsletter_cyberbulletin/mclean_e.htm

07/07/2017

le poème du jour ♣♣♣ Alternative santé

 

Ce poème, je l'ai trouvé sur un site anglais, alors que je cherchais autre chose, un autre poète, celui-ci s'est affiché et je l'ai trouvé beau dans sa simplicité, c'est comme si Sarah vous parlait au-delà de la tombe. Le poème que j'ai traduit, sa version originale anglaise dessous :

 

Rappelle-toi quand

 

 

Rappelle-toi les jours de notre jeunesse,

 

où nous voyions le monde avec des yeux innocents

 

et contemplions les étoiles dans leur merveilleuse éternité.

 

Quand tout était simple et bon.

 

 

Rappelle-toi ces jours, il n'y a pas si longtemps,

 

nos yeux n'étaient plus innocents et les étoiles ne nous captivaient plus.

 

Nous ne voulions rien tant que d'être forts, les meilleurs des meilleurs.

 

Quand nous voulions simplement être libres et savoir qui nous étions vraiment.

 

 

Rappelle-toi  hier, quand tu es parti.

 

Quand être le meilleur des meilleurs n'était plus suffisant

 

et que ce qui t'importait était d'obtenir le pouvoir.

 

Quand mon amour n'était plus suffisant.

 

 

Rappelle-toi aujourd'hui,  quand tu es revenu et qu'il était trop tard.

 

Tous avaient évolué vers des choses plus grandes et meilleures,

 

en mettant derrière eux les illusions égoïstes et insignifiantes.

 

Quand tu as oublié pourquoi au juste tu étais parti.

 

 

Rappelez-vous le jour de votre retour et que je m'en étais allé(e)

 

Seul mon nom existait encore, gravé sur la pierre tombale.

 

Lorsque vous avez finalement réalisé ce que vous aviez perdu.

 

Vous rappelez-vous quand vous m'aimiez ?

 

Sarah Child

 

 

Mon commentaire : Sarah Child n'est plus une enfant pour écrire un tel poème. Pas une revenante non plus. Quelle voix lui a murmuré ce poème inspiré ? 

Le lien pour trouver le poème dans sa version originale :

https://www.poemhunter.com/poem/remember-when-21/#content

 

♣♣♣

 

Au sujet des vaccins :

 

https://www.alternativesante.fr/vaccins/page/1

 

 

 

 

 

 

06/07/2017

Jacques a dit

 

Jacques a dit :

 

" In order to improve the mind, we ought less to learn, than to contemplate"

 

"Afin d'améliorer l'esprit nous devrions moins apprendre que contempler", en fait ce serait Descartes qui aurait déclaré cela. La lecture de cette pensée tombe à pic car elle coïncide avec une autre, plus longue, en diagonale, faite hier soir par moi-même, d'un polar qui trainait par là, en fait pris au hasard dans l'étagère. Il raconte une histoire horrible de grand amateur d'art,  voyeur,  probablement parce que petit il vit ses parents accomplir l'acte sexuel, qui alimenta son traumatisme en contemplant des tableaux de sa collection privée... érotique ou pornographique... érotique car la mise en scène est peinte par petites touches allusives, suggestives,  de main de maître, sauf que l'effet est pornographique, digne de celui d'un film X hard  sur le personnage du livre quand il  contemple ses tableaux, si négatif,  qu'il débouche sur un désir de possession d'une pauvre jeune dame dont, dans cette triste histoire,  on tua l'être aimé, son compagnon, pour se la mettre en bouche sans obstacle inopportun. Le "possesseur" de la dame,  par amant interposé choisi par lui,  en voyeur,  chosifia cette dame qui ne savait pas qu'elle était vue lorsqu'elle céda aux avances de l'intermédiaire, lequel avait tué son infortuné compagnon. Le critique dit en quatrième de couverture que la scène érotique finale est torride... je réagis quant à moi plutôt telle "la fille de King Gong" pour le coup mais pas tout à fait car je ne m'évadais pas vers Cervantès et lisais avec attention différentes scènes-clé de ce livre, satisfaite de la tranquillité de mes hormones. Y a t-il un âge  pour les maîtriser ? Pour certains c'est une question de conformation  naturelle. Tout le monde n'ayant pas le privilège de la totale maîtrise... et cela pouvant tourner très mal comme on le voit dans ce bouquin, j'en déduis humblement qu'il ne faut pas contempler n'importe quoi pour améliorer son esprit, n'en déplaise à Descartes en personne dans tout l'éclat de son génie indéniable. Mais Van  Gogh ne suscita pas ce genre de choses bien sûr. Susciter le sublime, c'est peut-être cela, l'art.

 

 

 

 

13:49 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)