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10/12/2012

isolationistes, hostiles à l'État, à l'impôt, à toute limitation de leur liberté...

La liberté suppose les limites du  respect. Mais le tea party n'a pas l'air d'accord avec ça. 

"Ils sont isolationnistes, hostiles à l’État, à l’impôt, à toute limitation de leur liberté. L’élection de Barack Obama et la crise financière les ont mobilisés, par millions. Ce sont des indignés, à leur manière : les laissés pour compte d’une Amérique à la dérive qui n’arrive pas à intégrer la nouvelle donne planétaire, ou à surmonter les contradictions d’un modèle qu’ils croyaient invincible." http://cle.ens-lyon.fr/anglais/le-tea-party-portrait-d-un...

 

21:56 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

"J'ai décidé de regarder plus en profondeur ce qui était arrivé"

"Mon voyage a commencé au milieu des années 1980. J'avais développé un intérêt croissant pour l'armée Britannique de la Première Guerre mondiale, et, comme beaucoup de gens dans ce cas, je me plongeai dans des livres sur la Somme et sur Ypres. Une conversation avec une connaissance de travail conduisit celle-ci à me montrer quelques papiers de famille. J'ai fait ce que je pouvais, à une époque de l'avant-internet, pour rechercher   le soldat décrit dans ces papiers, et cela m'entraîna sur un territoire complètement inconnu. Les documents parlaient de la mort d'Alfred Follows, perdu à jamais sur la Lys, le 12 avril 1918. Son histoire m'a troublé, surtout lorsque je découvris combien de camarades de son bataillon étaient morts ce jour-là et combien peu avaient une tombe. Pourquoi un garçon venant de la campagne noire des Midlands était-il dans une unité que je reconnus comme étant la Barnsley Pals ? Qu'est-ce qui se passait ce jour-là près de Doulieu ? Où était Doulieu de toute façon ? j'ai décidé de regarder plus en profondeur ce qui était arrivé ; je n'avais jamais entendu parler de la bataille auparavant et, bien qu'elle se soit déroulée pas si loin que cela de Ypres, les noms des lieux ne m'étaient pas familiers. Alfred Follows me conduisit sur la Lys.

Lors de l'un de mes premiers voyages vers les champs de bataille de Ypres pour me rendre compte par moi-même, d'autres questions s'insinuèrent. Après avoir étudié mon itinéraire au sud de la campagne valonnée et attrative de la crête de Messines, et celui de Ploegsteert, je fis un détour par Kemmelberg. Les pierres blanches familières et les monuments des cimetières britanniques parsemaient toute la région. En montant la colline, tout ce que je voulais, c'était  profiter de la vue dont je m'étais déjà rendu compte de l'importance stratégique dans cette région en retraversant Messines pour aller vers les tours de la Halles aux Draps d'Ypres."

Chris Baker  

17:37 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0)

led to him

"He says the rise in demand in the 1990s for traceable high quality beef led to him creating a small group of cattlemen who could provide certified animals."

"Il indique que la croissance de la demande, dans les années 1990, de bœuf  de haute qualité retraçable de la ferme à la table l'a conduit à former une petite association d'éleveurs capables de fournir des bestiaux certifiés"

Commentaire : Il faudra un jour arrêter l'élevage de gros animaux pour des questions de protection de la planète. Nous devrons nous rabattre sur les frites et les œufs...  ou le quinoa au raisins secs bananes, pour ceux qui font un régime. La production intensive de quinoa poserait aussi un problème écologique, toutefois moins important que celui des bovins. Cela dit, pour en revenir à la grammaire, nous avons affaire, dans la phrase citée en exemple, au "simple past" du verbe "lead", verbe qui se construit comme on a pu le constater : suivi de "to" et d'un gérondif. Autre exemple : "chatting to an acquaintance at work led to him bringing some family papers to show me." une jolie langue l'anglais, et pleine de surprises du même genre. Traduite en mot à mot, cela peut donner en français un charabia assez incroyable. Lorsque j'ai traduit le texte de Chris Baker, j'ai eu affaire à quelques phrases qui m'ont paru difficiles sur le coup, des phrases à la forme passive assez alambiquées, merci le Net, j'ai trouvé ce site qui remet vite en phase avec la grammaire pour peu qu'on en aie un peu fait au collège, mais avant de vous donner le lien, un exemple d'exercice que l'on trouve sur ce site : "They should have told him", à mettre au passif, la réponse étant (j'ai vérifié) "He should have been told". Ils vous expliquent clairement dans ce site, qu'avec le modal should vous vous retrouvez, à la forme passive, à devoir le faire suivre d'un passé de l'infinitif passif. Passionnant les règles de grammaire, non ? Un jeu de construction. Je m'en vais maintenant jeter un coup d'œil  à la grammaire française, tout aussi émoustillante. Le site de grammaire anglaise :

http://www.e-anglais.com/cours/voix_passive.html