Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

14/01/2009

Avec ou sans glace ?

 Le troisième Pôle  :

« Un vent froid souffle, une tempête de neige se lève...

Ylla, une exploratrice scientifique, témoin des métamorphoses climatiques qui l'entourent, part vers le seul pôle encore vierge, encore froid : le troisième pôle.

Durant ce voyage dans la neige et le froid, la fonte des glaces est incontestable et laisse apercevoir des vestiges inattendus. Ylla découvre dans ce territoire qu'elle croyait vierge les traces d'animaux mythiques et les vestiges d'une civilisation perdue. Une Atlantide sous la glace ?

Ce spectacle fera appel à une large gamme de moyens d'évocations.

Ainsi, dans un univers chorégraphique en suspension, la gestuelle singulière de Brenda Clark, comédienne et danseuse aérienne rentrera en interaction avec les objets sonores pour créer une partition musicale et visuelle.

Les objets sonores transmettront de manière toujours transposée, jamais illustrative, la force des sons de la nature à l'état brut : la puissance sonore d'un iceberg en mouvement, le crissement de la glace, la force d'un chant de baleine mais aussi les pas dans la neige, dans l'eau, les cailloux... une exploration sonore du bout des orteils...

Un dispositif de projection d'images diapositives révélera les souvenirs, les rêves d'Ylla et les images du monde perdu et englouti.

« Le troisième pôle est une fable écologique. Sans moralisme ni didactisme, nous voulons avec ce spectacle évoquer, en filigrane derrière un voile de poésie, la beauté de la nature, sa richesse et son lent mais détectable changement, le marasme écologique à venir, probable mais non inéluctable.


En suivant un personnage solitaire dans sa conquête d'un territoire vierge, nous voulons évoquer ce que la nature encore intacte peut nous offrir à voir, entendre et sentir. Nous voulons signifier de manière ludique la nécessité de cultiver ce quelque chose de profond qui nous lie à elle, qui est de l'ordre des sens et de l'intime poésie. Cette nature qui nous dépasse peut nous engloutir si nous ne la protégeons pas et la prochaine Atlantide pourrait être la nôtre ! »

Compagnie Au cul du loup »

http://info-culture.com/public/manifestation/43816

08:03 Publié dans Écologie | Lien permanent | Commentaires (0)

Condition humaine

Le Mode de vie  des  uns se répercute sur la   condition humaine des autres, les plus démunis,  et à court terme maintenant, sur les chances de survie  de la planète.

"Ici, on accepte tout ce que la capitale ne veut plus. Bouteilles en plastique, vieux téléviseurs, anciens livres, polystyrène, verre pilé, cartons, poutres en acier. Car tout se traite, et tout peut se revendre, sous une forme ou une autre. Pour chaque matériau, une ou plusieurs familles sont spécialisées. Le plus souvent, le tri s'effectue devant la porte du foyer, en plein air, malgré le froid et le vent de l'hiver."

 

http://www.aujourdhuilachine.com:80/article.asp?IdArticle...

 

07:49 Publié dans Écologie | Lien permanent | Commentaires (0)

13/01/2009

"Mangeurs d'ombres"

" Le « Stabat Mater » est un chant moyen-âgeux évoquant la souffrance de la Vierge Marie devant la crucifixion de son fils. A la maison de la Poésie, c’est une prière laïque, celle d’une femme qui exhorte son frère, son père et tous les « mangeurs d’ombres » à lâcher leur gâchette. Déchirée, elle refuse de comprendre pourquoi d’une jeune fille heureuse vivant aux pieds des « trois oliviers », respirant le basilic et embrassant « l’étranger », pourquoi de cette fille qui fut rieuse, n’est restée qu’une femme fu-rieuse… Peut-être que “le grincement des os de la femme qu’on écarte pour le viol” lui sonne encore dans ces oreilles… Guitare électrique à la main, la furieuse en appelle à l’armée des doux qui « plus effarouchés que la jonquille » seront incapables de tenir une arme.

Anne Conti est comédienne et touchante chanteuse. de sa bouche, le poème de Jean-Pierre Siméon est comme un long cantique : tantôt douloureux gémissements, tantôt serments chuchotés. Le spectateur suit ses multiples variations en se délectant de la langue sensorielle, charnelle presque, du poète." 

 

http://www.laboiteasorties.com/2009/01/stabat-mater-furio...

07:48 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)